background preloader

Q4 - Le produit a-t-il un prix ?

Facebook Twitter

Hotel restaurant à Luz Saint Sauveur - Hautes Pyrénées. Pixmania et Starzik : des offres en infraction avec le prix unique ? Hier, le site de e-commerce Pixmania annonçait un partenariat avec le revendeur Starzik, leader des contenus culturels dématérialisés : musique, logiciels, jeux, et... livres et bandes dessinées numériques. Un produit bien spécifique, régi par des règles en vigueur plutôt contraignantes, dont le commerçant n'a visiblement pas pris compte. En effet, les deux revendeurs proposent une formule de paiement bien particulière : plutôt que de payer ses articles au détail, le client peut choisir d'acheter un forfait de 10, 30, 38 ou 150 €, qui lui offrira quelques crédits supplémentaires. « Quelques », mais l'offre s'avère particulièrement intéressante dans le cas de la formule 150 € : 27 % de la somme achetée est ainsi accordé en plus au client. Un principe finalement très proche d'une carte-cadeau. Un principe que l'on avait retrouvé, outre-Rhin, avec des bons cadeaux édités par Apple...

Et qui étaient rapidement tombés sous le coup d'une infraction au prix unique du livre numérique. C'est toujours la jungle des tarifs à la SNCF. La gratuité est-elle l’avenir de l’économie. La gratuité est l’avenir de l’économie clame Chris Anderson (blog) qui prépare dans cet article pour la revue Wired, dont il est rédacteur en chef, son prochain livre intitulé Free. Chris Anderson rappelle tout d’abord que la gratuité s’inscrit dans un processus commercial classique, comme l’a exploré avec succès Gillette, en offrant ses rasoirs et en faisant payer ses lames. Mais avec l’internet, une nouvelle gratuité s’est développée, fondée sur des coûts de reproduction nuls du fait de la numérisation, et sous la pléthore de l’offre qui tire encore plus les prix vers le zéro absolu.

Un peu comme si Gillette devait maintenant offrir le rasoir et la lame et percevoir son argent sur autre chose. « Il n’y a jamais eu un marché plus concurrentiel que l’internet, et chaque jour le coût marginal de l’information devient plus proche de rien du tout », explique le brillant éditorialiste. La gratuité est inexorable 6 grands modes de financement de la gratuité L’immédiateté.

√Hotel Luz Saint Sauveur Hautes Pyrénées Hotel Station Ski Pyrenees. Magasins à prix unique, l'histoire continue. Deux magasins proposant des produits à prix unique, se sont implantés à Rouen : « C’est deux euros » au 28, rue Jeanne d’Arc depuis environ 4 ans et « 2 euros shop », rue Alsace Lorraine il y a 2 ans et demi (anciennement 2 euros store). Depuis la création des premiers magasins à prix unique (Prisunic, Uniprix, Monoprix) dans les années 1930, le concept survit donc, au grand bonheur de certains, surtout en période de crise économique. De la brosse à dents aux objets de décoration en passant par la vaisselle, on trouve de tout et pour l’unique somme de deux euros l’objet. Si certains Rouennais n’ont pas encore osé entrer dans ces boutiques, d’autres ont franchi le pas : « Lorsque je passe devant l’un de ces magasins, je fais volontiers un tour à l’intérieur. Je suis restée un an à Montréal et là-bas, il y a aussi des boutiques de ce genre. Le concept est sympa.

Anne-Sophie, 29 ans, test quant à elle pour la première fois l’une de ces boutiques: « le verdict est plutôt positif. Dates Fête du cinéma 2013 et nouveau prix unique. Vendredi 28 juin 2013 Bon Plan pour la nouvelle Fête du cinéma 2013 : Quand? Quel prix? Avec la fête du cinéma version 2013, les cinéphiles vont pouvoir profiter de places de ciné pas chère du dimanche 30 juin au mercredi 3 juillet 2013. Le tarif unique de la place de ciné est à 3,50 euros la séance mais attention il y aura une majoration pour les films en 3D. Prolongement de la fête du cinéma 2013 avec la BNP Paribas. Tous les articles de la rubrique : Conso. La «cyberutopie» du gratuit en question - Veille - Economie. Le concept de la monétisation des biens virtuels agit sur les internautes comme le phénomène des ovnis. On y croit ou pas. Ou alors, on a un doute. Mais force est de constater que le modèle économique d'Internet est bien, à première vue, celui de la gratuité. Et les nouvelles «marques icônes du Net» prônent toutes ce modèle de libre accès.

Elles sont à la fois gratuites et... milliardaires! Le zéro déclenche l'émotion Deezer, site de streaming musical, n'est plus 100 % gratuit. C'est Chris Anderson, rédacteur en chef de la revue américaine Wired et auteur de l'ouvrage de référence Free qui, le premier, a osé la maxime «La gratuité est l'avenir de l'économie». Les limites du 100 % gratuit Mediapart, fondé par des ex-journalistes du Monde, est un exemple de solution hybride, entre médias à l'ancienne avec abonnement et médias nouveaux, avec blogs, participation des lecteurs et version numérique. Dans son mémoire de fin d'étude à l'ESC Toulouse intitulé «Vous avez dit gratuit?

Yield manager. Sa mission : optimiser la politique tarifaire en gérant les capacités dispo­nibles au plus près de la demande. Si le yield management n’existait pas, on ne trouverait pas de places à 22 euros sur un Paris-Marseille, assure Olivier Sanz, responsable de cette activité à la SNCF. Les TGV du vendredi soir ne suffiraient pas à répondre à la demande des départs en week-end, alors que d’autres circuleraient à vide en début d’après-midi. " Ingénieur des Mines et titulaire d’un MBA, Olivier Sanz manage une centaine de personnes et décrit ainsi sa mission : remplir les trains et donc améliorer la rentabilité de son employeur, en jouant à la fois sur les tarifs et sur la disponibilité.

"Une politique de yield bien conçue se traduit par une rentabilité supplémentaire de 5 à 7%", affirme Thierry Blottin, directeur du cabinet spécialisé RevDev Consultants. Jusqu’à 30 tarifs pour un même vol Une activité en plein boom Marine Relinger Combien ­gagnent-ils ? Leur formation ? Qui les emploie ? L'avalanche du gratuit. Donne, le consommateur te le rendra : de l’économie à l’ère d’Internet, telle semble être la nouvelle loi. Les success stories du numérique sont en effet fondées sur la gratuité pour l’usager : Facebook, Twitter, et surtout Google. La capitalisation boursière de ce dernier a récemment dépassé celle de Microsoft. Son logiciel libre Android équipe 75 % des smartphones vendus dans le monde, son moteur de recherche est devenu l’ami public n° 1 en offrant à la terre entière l’accès libre, légal ou non, à tout : musique, livres et vidéos.

Abécédaire de Gilles Deleuze, Gangnam Style ou gags de chats : Youtube (filiale de Google) débite de la culture à gogo(s). Quand il ne fournit pas lui-même les contenus, l’internaute et son temps de cerveau disponible sont monnayés aux annonceurs. La gratuité financée par la pub, TF1 ou les radios privées le font depuis une paye. Cela n’a, a priori, rien de nouveau. Et ce n’est qu’un début, prophétise Chris Anderson, dans son livre Free ! Comment déterminer le prix juste de son produit. Le prix unique du livre, sauveur des librairies, disait Hervé Gaymard. Les données concernant l'évolution de la librairie en France sont complexes à dénicher sur la toile.

Quelques études ont récemment fleuri, et les Rencontres nationales qui se déroulaient à Bordeaux ont attiré l'attention du public et des médias sur ce métier. En 2009, le rapport Gaymard fit date, largement salué : ce dernier visait à démontrer l'influence bénéfique de la loi sur le prix unique du livre dans le commerce du livre. Faire date, c'est une chose, introduire des notions erronées en est une autre. Hervé Gaymard Que l'on soit clair : il ne s'agit pas de remettre en cause la loi de 81, qui a introduit une fixation par l'éditeur d'un prix unique pour les ouvrages publiés.

Du tout. En revanche, un tour d'horizon des différentes études récentes, et un parallèle avec celles antérieures au rapport Gaymard, semble montrer que l'enthousiasme du député UMP de Savoie. "Le bilan de la loi du 10 août 1981 est donc incontestablement positif. " Je voudrais apporter un éclairage complémentaire. Free ou les deux règles d'or du low cost. La «cyberutopie» du gratuit en question - Veille - Economie. Bruxelles veut casser les prix du mobile depuis l'étranger. Orange attaque Free sur ses marges dans l'Internet fixe. De l'obligation de travailler sa politique de prix face au Showrooming.

TNS et Couponchief ont récemment publiés deux études sur le showrooming mises en infographie - Mobile is both curse and cure at risk for retailer from showroomers à télécharger ici - Showrooming, shopping in-store, saving on line à télécharger ici Si l'on examine les données issues de ces études, c'est la composante prix qui prédomine dans les motivations des showroomers (qui finissent essentiellement leur recherche d'information sur Amazon, qui fait souvent référence de baromètre Prix sur Internet). Certes les showroomers ne sont pas encore qu'une certaine population des consommateurs, mais l'usage du mobile en magasin ne va qu'exploser dans les prochaines années. Alors il est clef d'initier des transformations profondes pour éviter que les craintes sur le Showromming ne s'avèrent dévastatrices dans les prochaines années pour certaines enseignes surtout à l'ère de l'industrialisation des dispositifs web2store, web2shop Quels sont les scénarii possibles.