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Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 6.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ?

Le rôle des documentalistes Le blog ( que votre rapporteur a ouvert dans le cadre de cette mission a très bien montré que les documentalistes étaient très désireux de pouvoir exercer des fonctions pédagogiques en matière d'éducation aux médias. D'aucuns semblent même atteints d'un certain spleen lié à la différence entre les compétences qui leur sont demandées au concours et celles qu'ils ont le sentiment de mettre en oeuvre. Comme l'a bien souligné M. Frédéric Bleuche, le volet « Information » des centres de documentation et d'information, est largement inexploité106(*).

Par la circulaire de mission de 1986, l'éducation nationale a effectivement confié des fonctions gestionnaires et éducatives au professeur documentaliste. Le rôle des professeurs-documentalistes fait l'objet d'une longue analyse dans le rapport de M. . - en premier lieu, en tant que premiers formateurs des élèves à la recherche documentaire. Ce constat est assez accablant. . * 106 Audition du 3 juillet 2008. [APDEN] Étant défini par le même décret n° 2014-940 du 20 août 2014 que les autres professeurs certifiés du second degré, le problème de leur traitement en matière d’indemnité doit pouvoir être examiné.

[APDEN]

Cette définition statutaire commune implique de fait que les professeurs documentalistes soient rattachés, à ce sujet, aux termes du décret n°93-55 du 15 janvier 1993. Pour autant, nous n’avons pu en lire aucune confirmation explicite, pas plus que nous n’avons pu en constater l’application par les rectorats, qu’il s’agisse de la part fixe ou de la part modulable de l’ISOE. Les réponses contradictoires données aux différentes questions récemment posées par les députés et sénateurs à ce sujet, ne peuvent être considérées comme satisfaisantes, en ce qu’elles n’apportent pas la clarification nécessaire sur ces questions [2] Olivier Ertzscheid : « Aucune technologie sociale n’est neutre » – Le Comptoir.

Auteur de plusieurs travaux sur l’identité numérique et la publication en ligne, Olivier Ertzscheid est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université de Nantes.

Olivier Ertzscheid : « Aucune technologie sociale n’est neutre » – Le Comptoir

Il contribue à populariser les débats contemporains autour du numérique et des nouvelles technologies en utilisant les réseaux sociaux ou par l’intermédiaire de son blog, Affordance. Défenseur du logiciel libre, observateur compulsif de l’évolution de notre société et très critique du rapport aux nouvelles technologies qu’entretiennent nos politiques, il a aimablement accordé un entretien au Comptoir autour de ces questions. Le Comptoir : Sur votre blog, vous avez récemment publié un billet dans lequel vous dénonciez l’argumentaire de la ministre de l’Éducation Nationale Najat Vallaud Belkacem, qui a conclu un partenariat avec Microsoft. Les établissements scolaires sont-ils en train d’être vendus aux grandes multinationales ?

Olivier Ertzscheid : Non. Bonne question et vieux débat. Synthèse Rapport Assouline 2008. Pourquoi faire le choix du numérique ? - L'école change avec le numérique. Mobilité de l'information : le cas Snapchat, du ludique à l'informatif. Snapchat, enfin Snap Inc. est sur les derniers mois au coeur de l’actualité, changement de design pour une mise en avant de certaines fonctionnalités (Discover), Géofiltres, Géostickers, Bitmoji … ce réseau social a réussi à faire plier Facebook enfin Instagram, en copiant sa fonctionnalité phare : les stories, Instagram montre sa difficulté à innover !

Mobilité de l'information : le cas Snapchat, du ludique à l'informatif

L’art est souvent imité, mais jamais égalé à sa juste valeur… Depuis quelques années notre rapport à l’information a changé, l’information est devenue mobile et dans cette mobilité de l’information, certains réseaux ont réellement dédié leurs contenus aux mobiles. Snapchat est peut-être le réseau social qui m’a le plus surpris depuis quelques années ! Pour avoir une petite base de recherche sur la « mobilité de l’information l’information petite poucette » afin d’écrire cet article, j’ai tweeté, il y a quelques semaines, un sondage sur le canal utilisé pour accéder à l’information de type « média » :

Bien penser à l’ère numérique. Théoricienne majeure de la mutation numérique, l'américaine Katherine Hayles explore ce qu'internet et, plus largement, les médias font à nos cerveaux depuis au moins le XIX e siècle. « Internet rend-il bête, Siri ?

Bien penser à l’ère numérique

» « Je fais de mon mieux, Sylvain » m’a répondu le robot qui habite, depuis quelques années, mon téléphone intelligent. Internet rend-il bête ? Dès 2010, l’éditorialiste américain Nicholas Carr posait cette question, ou plutôt, cette question était choisi comme titre de l’édition française de son essai The Shallows : What is Internet doing to our Brains. Ce qu’Internet fait à nos cerveaux. Le lien vers les livres de codes en ligne.