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Les émotions refoulées et les réactions impulsives. Les émotions refoulées et les réactions impulsives Posted by Une Mère Ordinaire on 30 novembre 2012 · 38 Commentaires Il m’aura fallu plusieurs semaines avant de parvenir à ouvrir le dernier livre d’Isabelle Filliozat qui est venu rejoindre la pile de tout ce que j’ai l’ambition de lire prochainement. Ce livre, "Il n’y a pas de parent parfait", a déjà été abordé ici à plusieurs reprises par Clem la Matriochka ou Vaallos mais, comme cet ouvrage aborde différents sujets, je prends la peine de partager mon ressenti après ma propre lecture.

J’avais lu il y a quelques temps que les blessures de notre enfance étaient gardées dans un coffre dont seuls nos enfants avaient la clé. Sur le moment, je n’avais pas bien compris le sens de ces mots mais à force de me laisser submerger par ce torrent d’émotions à chaque moment de tension, j’ai finalement compris que mes filles devaient avoir trouvé cette fameuse clé… Sur la couverture du livre d’Isabelle Filliozat, il y a une courte phrase qui dit: Au coeur des émotions de l'enfant - Vendredis intellos. Aujourd’hui mon titre, c’est tout juste le titre du bouquin dont j’ai eu envie de vous parler dès que je l’ai eu en mains il y a quelques jours, écrit par Isabelle Filliozat.

La couverture de l’édition que j’ai est un enfant caché par l’immense cœur rouge qu’il tient dans ses mains. Pourquoi je vous donne ce détail ? Peut-être parce que c’est elle qui m’a attiré vers ce bouquin, elle m’a touchée quelque part. Je vais même aller jusqu’à vous livrer la 4ème de couverture, parce qu’une fois que je l’avais lu, le bouquin ne pouvait plus qu’être mien ! « Les parents sont souvent démunis devant l’intensité des émotions de leur enfant. C’est ça, se sentir démuni, et réagir de travers… sûrement. Au début de son livre, l’auteur nous cite fort à propos, Janus Korczak qui dit : « Vous dites : c’est fatiguant de fréquenter les enfants.

Vous avez raison. Vous ajoutez : parce qu’il faut se mettre à leur niveau, se baisser, s’incliner, se courber, se faire petit. Là, vous avez tort.