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Philo

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La notion du contrat abregé. Kant qu'esce ques les lumiéres. » Kant: L’éthique de la pensée. Dans la Critique de la faculté de juger, Kant énonce trois maximes que tout homme doit respecter pour faire un bon usage de sa pensée : Penser par soi-même. Kant dit de cette maxime qu’elle est la maxime de la pensée sans préjugés, c’est-à-dire d’une raison qui n’est jamais passive. La raison cesse d’être passive lorsqu’elle conquiert l’autonomie. Car elle commence par être hétéronome. L’allégorie de la caverne ou la réflexion kantienne sur les Lumières montre pourquoi.

Tant que c’est une loi étrangère à celle de la raison qui détermine l’activité de la pensée ; que cette loi soit celle de la nature (le besoin, la pulsion) ou celle d’un tuteur, le sujet est hétéronome. Penser en se mettant à la place de tout autre. C’est la maxime de la pensée élargie. Qu’est-ce, en effet, qui nous sauve de l’arbitraire d’une mythologie personnelle, de la clôture de ce que Kant appelle « une singularité logique » ?

Toujours penser en accord avec soi-même. C’est la maxime de la pensée conséquente. Textes. Philosophie.