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Mikialey

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Un autrichien accepte qu’on lui greffe une main bionique. Un autrichien a décidé de faire un plongeon intéressant au nom de la science – il accepte volontairement que sa main soit amputée afin qu’il puisse avoir un membre bionique.

Un autrichien accepte qu’on lui greffe une main bionique

Le patient, connu sous le nom de « Milo » (ce n’est pas son vrai nom, évidemment), a actuellement 26 ans, et il a perdu l’usage de sa main droite dans un accident de moto il y a 10 dix. Quand son moignon se sera remis de l’opération dans quelques semaines, on lui mettra une main bionique à la place, et qu’il pourra contrôler grâce aux signaux nerveux dans son bras. Cette chirurgie est en fait la deuxième amputation à être effectuée par le chirurgien viennois, le professeur Oskar Aszmann. « Milo » est de nationalité serbe et qui a vécu en Autriche depuis qu’il est enfant, et il a eu un accident il y a dix ans quand il a dérapé avec sa moto et qu’il a percuté un réverbère. « Milo » a eu une expérience avec une main hybride avant de prendre sa décision pour l’opération.

Selon Milo, « L’opération va changer ma vie. Une prothèse de bras contrôlée par la pensée. Le Niortais, Nicolas Huchet, devenu célèbre grâce à sa main bionique - France 3 Poitou-Charentes. Deux-Sévrien d'origine, Nicolas Huchet vient d’être distingué par le prestigieux Massachusetts Institut of Technology (MIT) qui prime les 10 français de moins de 35 ans les plus innovants.

Le Niortais, Nicolas Huchet, devenu célèbre grâce à sa main bionique - France 3 Poitou-Charentes

Il a également reçu le prix 2015 de l'innovation sociale de la revue technologique du MIT. C.Hinckel +S.Grammont Publié le 30/04/2015 | 16:51, mis à jour le 28/07/2015 | 09:43 © Maxppp Nicolas Huchet présente sa main bionique. Nicolas Huchet est né dans les Deux-Sèvres et sa famille y réside encore mais lui vit à Rennes. Amputé, Nicolas Huchet a fabriqué sa propre main bionique.

Au premier contact, la poignée de main semble un peu raide.

Amputé, Nicolas Huchet a fabriqué sa propre main bionique

Normal, sous le gant de plastique se cache une pince articulée qui reproduit les seuls mouvements du pouce et de l’index. La main bionique, elle, est rangée en pièces détachées dans un petit sac de toile que ­Nicolas Huchet ouvre avec précaution. A l’intérieur, une main en plastique orange vif, un moteur, une carte électronique et des capteurs, pour détecter au niveau du coude les contractions musculaires qui commandent l’ouverture et la fermeture des cinq doigts. « Ce n’est qu’un prototype, encore loin des performances des prothèses commerciales, précise-t-il.

Mais on y arrivera, il nous faut juste un peu de temps. » Amputé de la main en 2002 à la suite d’un accident du travail dans l’usine où il travaillait comme ouvrier sur une chaîne de machines, ce Rennais de 35 ans s’est lancé ­depuis deux ans dans la fabrication maison d’une prothèse nouvelle génération, articulée et programmable. Une mine pour bricoleurs. Révolution tech : une main bionique qui dispose du sens du "toucher" L’époque ou les prothèses se définissent comme de « simples » extensions matérielles semble toucher à sa fin.

Révolution tech : une main bionique qui dispose du sens du "toucher"

Il est maintenant possible de créer une interconnexion entre celle-ci et le cerveau de son utilisateur afin de lui rendre ses capacités sensorielles. Pour preuve cette nouvelle main bionique sensitive qui permet de retrouver le sens du « toucher ». Cette main bionique extraordinaire est le fruit du travail des chercheurs de l’Ecole Polytechnique de Lausanne (EPFL) en Suisse et de la Scuola Superiore Sant’Anna (SSSA) en Italie.

Cette main se connecte aux nerfs des bras de la personne amputée. Pour cela, il est nécessaire de pouvoir implanter des électrodes à l’endroit ou la main a été amputée. L’interconnexion établie, la prothèse est alors capable de transmettre des pulsations électriques aux différents nerfs. Le test se déroule à l’aveugle et c’est la sensation de toucher qui doit permettre à la personne amputée de comprendre quel objet est présent dans sa main bionique. Prothèses : la réalité rejoint la science-fiction. © Crédit photo : Max Ortiz Catalan Peau artificielle ultrasensible, mouvements plus précis, interface de contrôle par la pensée, reconstruction bionique… Les prothèses destinées aux bras, aux mains ou aux jambes ont considérablement évolué ces dernières années.

Prothèses : la réalité rejoint la science-fiction

De quoi offrir de belles perspectives aux personnes handicapées. Le docteur Max Ortiz Catalan, spécialiste de l’implantation de prothèses par ostéointégration, une technique récente et prometteuse, nous explique les avancées actuelles (cruciales) et les espoirs (vastes). Qu’apporte l’ostéointégration dans le domaine des prothèses ? Max Ortiz Catalan : L’ostéointégration est un concept développé dans les années 1960 en Suède par le professeur Brånemark.