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9-11 WTC Biggest Gold Heist in History: $300 Billion in Bars. Attentat de Boston : Tsarnaev plaide non coupable. Barclays Libor scandal: how can we change banking culture? | Business. We don't know each other, but I want to offer you a deal: You each give me £20,000. And that's it. What do you get in return? Well, it's a fair question but I can't even promise to pay it all back. But let me assure you of this: your hard-earned cash will keep me in the style to which I'm accustomed. And that's got to be good for all of us. So I'm sure you'll agree that 20 grand is an absolute bargain. You've probably guessed that the transfer I'm talking about has already happened. According to the IMF, the British stuck £1.2 trillion behind the finance sector. In just a few months, and with barely any public debate, every household subbed £46,774 to the City.

There ought to be a verb for this kind of involuntary donation. Twenty grand each is the sum I've looked out for in the coverage of the latest banking scandal; in vain, of course. But you haven't heard much about the public interest in what will inevitably be dubbed the Lie-bor scam. About time, too. Obama dévoile son plan climatique: centrales au charbon visées. Obama dévoile son plan climatique: centrales au charbon visées Le président américain Barack Obama a dévoilé mardi une vaste initiative pour combattre le réchauffement climatique. Il a promis de s'attaquer aux émissions de gaz à effet de serre produites par les centrales au charbon. Il s'est aussi engagé à promouvoir davantage les sources d'énergie propre et à agir pour mieux protéger les Américains des effets du réchauffement. Selon la Maison Blanche ce plan d'action devrait permettre aux Etats-Unis d'atteindre l'engagement du président de 2009 de réduire, d'ici à 2020, les émissions de gaz à effet de serre de 17% par rapport à leur niveau de 2005.

"Les Américains, partout dans le pays, payent déjà le prix de l'inaction" contre le réchauffement, a martelé M. "La question est de savoir si nous aurons le courage d'agir avant qu'il ne soit trop tard et la manière dont nous répondrons aura un profond impact sur le monde que nous laisserons à nos enfants et nos petits-enfants", a-t-il ajouté. Espionnage : Les parlementaires américains secoués par Snowden. Publié le : 18 juillet 2013 - Avec agence, LE MATIN Des parlementaires américains ont vivement dénoncé mercredi les programmes de surveillance mis en place par l’agence de renseignement NSA, jugeant qu’ils violaient la vie privée des Américains et menaçant de ne pas les renouveler.

Depuis le début des révélations d’Edward Snowden, l’attention du public et des élus s’est davantage portée sur la traque de l’ancien consultant de la puissante agence, chargée des interceptions téléphoniques et informatiques, que sur les faits qu’il dénonçait. Mais mercredi, les élus des deux bords à la commission judiciaire de la Chambre des représentants ont vertement mis sur le grill les représentants des services de renseignement et du ministère de la Justice. Selon eux, la collecte des métadonnées (numéro appelé, durée de l’appel) de communications de millions d’Américains va bien au-delà de ce que la Constitution autorise et de ce que la loi permet.

Capitalisme

Surveillance électronique au G20 : "inacceptable" pour la Turquie. PRISM : Google, Facebook et Microsoft essaient de désamorcer la crise. Suite aux révélations sur le programme de surveillance de la National Security Agency (NSA), intitulé PRISM, les géants du web marchent sur des charbons ardents. Depuis l'explosion du scandale, les entreprises accusées de collaborer avec le renseignement américain s'efforcent, comme Washington par ailleurs, d'en minimiser la portée tout en organisant une communication de crise pour redorer leur image. C'est tout particulièrement le cas de Google, Microsoft et Facebook. Les trois firmes ont une nouvelle fois démenti les allégations selon lesquelles les agences de renseignements américaines ont un accès direct sur leurs serveurs. S'il existe des contacts, ceux-ci se font dans le cadre de la loi et notamment du Foreign Intelligence Surveillance Act (FISA), affirment les trois entreprises.

Facebook Or, c'est justement les requêtes reçues dans le cadre de la loi FISA que Google, Facebook et Microsoft souhaitent désormais publier. Microsoft Google.

Général américain

Manipulation des prix de l'énergie : JPMorgan proche d'un accord.