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Développement durable

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Permaculture Research Institute of Australia » A Refrigerator th. Sometimes there are simple solutions to universal needs that don’t require coal fired electricity, fossil fuels, or even solar panels or wind turbines. Around a third of the world’s population have no access to electricity. If you’re like me, you’ve spent your entire life being able to plug in.

Do we ever give a thought to what life would be like if the various appliances we’ve come to rely on were to suddenly stop working? One of the most energy guzzling appliances in our carbon footprint portfolio is the refrigerator. One modern day genius, mindful of this basic need to preserve food, has solved the problem for many. From a family of pot-makers, Mohammed has made ingeniously simple use of the laws of thermodynamics to create the pot-in-pot refrigerator, called a Zeer in Arabic. Here’s how it works. You take two earthen pots, both being the same shape but different sizes, and put one within the other. Vivre en plus petit : la nouvelle frugalité américaine | Rue89. Maisons, voitures, alimentation : en crise économique et écologique, l’Amérique redécouvre avec entrain les vertus de la sobriété. Des modèles de petites maisons vendus aux Etats-Unis (DR) (De Raleigh, Caroline du Nord) Frugalité, simplicité, vivre mieux avec moins...

On se croirait revenus à l’époque des gentils hippies, quand « small » était « beautiful », et surtout fun. Sauf qu’aujourd’hui, la crise force la société américaine à reconsidérer ses valeurs. A en croire la presse ces derniers mois, les habitants de ce pays sont devenus des modèles de sobriété : petites voitures, petites maisons, cartes de crédit à la poubelle, repas à domicile, sans oublier la vogue des potagers et poulaillers personnels. Ces nouveaux comportements sont parfois contraints, parfois volontaires, histoire de prendre les devants sur les changements inéluctables qui s’annoncent, dus -sans ordre précis- aux crises économique et écologique.

L’Amérique profonde réagit à sa façon. S’entraîner à vivre pauvre. Etats-Unis : ma maison écolo est plus grosse que la tienne | Rue. Les riches Américains se piquent de conso verte et craquent pour des bâtisses grand luxe étiquetées développement durable. L’ ’Ecomanor’, bâtisse grand luxe mais écolo (EcoManor) Quand les super riches Américains font assaut de bonne volonté écologique, on ricane.

Quand le reste de la société s’y met, parce que c’est « cool », rentable, et même bon pour l’environnement, ça devient plus dur de se contenter de dédaigner. C’est devenu une tarte à la crème : le vert fait vendre. Encore plus aux Etats-Unis qu’ailleurs, parce qu’il y a plus d’argent en circulation, et que cette société est basée sur le consumérisme (et qu’on ne dise pas que c’est mieux chez nous). La crise ? Tout le monde n’est pas encore à la rue.

Une étude menée en juillet par la Yale School of Forestry and Environmental Studies le montre : même ceux qui tirent la langue assurent qu’ils payent volontiers un peu plus pour des produits verts quotidiens, comme des détergents, des ampoules ou du papier. HOME - un film de Yann Arthus-Bertrand. Ecologie : pour sauver la planète, les petits gestes ne suffisen. Deux ouvrages, aux Etats-Unis et en France, montrent les limites des efforts individuels, et prônent une rupture avec le capitalisme. Che Guevara écolo (Audrey Cerdan et Yann Guégan). Sortir du capitalisme pour sauver la planète, c’est dans l’air des deux côtés de l’Atlantique. Mais là où les Américains prennent des précautions de sioux pour ne pas être accusés de communisme, les Français n’ont pas ces pudeurs : ils osent volontiers les mots « utopie », « coopérative » et autres « rapports de classe ».

Deux auteurs, l’un français, l’autre états-unien, représentent ce courant qui a pris une ampleur inattendue avec l’emballement de la crise actuelle. Tous deux théorisent les fondations du nouveau monde nécessaire, qui ferait presque totalement table rase de l’actuel. Encore que l’Américain soit un peu moins radical, question de contexte historique sans doute. Couverture de ’The Bridge at The Edge of the World’ Gus Speth y pose notamment la question suivante : « Comment expliquer ce paradoxe ? Pour sauver la planète, sortez du capitalisme. L’édition de poche du livre est parue en collection Points, avec une préface originale et au prix de 7 €. Eléments récents de cette page : Le député lit le livre à l’Assemblée. C’était le 23 juillet 2013.

Encore une de ces assommantes séances de questions au gouvernement. Que faire pour ne pas mourir d’ennui ? Lire un bon livre, a décidé Pascal Cherki, député PS de Paris : Source : Le Lab, Europe 1 En Algérie, recension par Maurice Tarik Maschinodans El Watan : "Lisez d’urgence L’oligarchie, ça suffit, vive la démocratie, le petit livre – accablant, effrayant – d’un journaliste essayiste, le 25 avril 2013. Sommes-nous en dictature ?

En réalité, nous sommes entrés dans un régime oligarchique, cette forme politique conçue par les Grecs anciens et qu’ont oubliée les politologues : la domination d’une petite classe de puissants qui discutent entre pairs et imposent ensuite leurs décisions à l’ensemble des citoyens. Lire des extraits : Les 20 premières pages "Pourquoi ne se rebelle-t-on pas ? " Der Stadtteil "Quartier Vauban" in Freiburg stellt sic. Choosing Voluntary Simplicity. The Simple Living Network.