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L'arnaque de la "compensation pour perte de biodiversité" Partout dans le monde, les écosystèmes (et donc les communautés qui en dépendent) sont mis à mal par de grands projets d’infrastructure, les sites d’extraction et les marchés financiers [1]. Afin de faciliter ces activités, des entités tant publiques que privées mettent sur pied des mécanismes pour ‘compenser’ leur impact sur l’environnement. Ces mécanismes pourraient aggraver la situation, et plus inquiétant encore, ils font de la nature une marchandise. C’est pourquoi les organisations signataires mettent en garde contre cette fausse solution et refusent les mécanismes de compensation pour perte de biodiversité. La compensation pour perte de biodiversité, c’est la promesse de remplacer ce qui est détruit dans la nature à un endroit par de la nature ailleurs. À qui profite le crime ? Introduire ces compensations permet, voire encourage, la destruction de l’environnement en faisant croire qu’un habitat peut être recréé ailleurs.

La nature est unique et complexe. 1. 2. 3. 4. Notes. Jardin ! l'Encyclopédie.

Sauvages comestibles

Biodiversité. Untitled - 1_Formation_Plantes_exotiques_envahissantes_Presentation_CBNMC_L_CHABROL.pdf. Formation environnement : catalogue de formations environnementales pour les professionnels. Paysage et patrimoine. Tuto. Les prairies permanentes : une ressource rentable à protéger. Support de biodiversité, pollinisation, régulation climatique, etc. si les prairies permanentes rendent de grands services écosystémiques, leur surface se réduit depuis 2006. Une chute de 6,3% des surfaces déclarées en prairies permanentes (PP) entre 2006 et 2010 (dont 3% sur la seule période 2009-2010) : c'est le constat d'un rapport du Commissariat général au développement durable (CGDD).

Cette évolution affecte plus particulièrement les régions agricoles du Nord-ouest et Sud-est de la France. Dans les Pyrénées, au sud des Alpes, en Rhône-Alpes, en PACA et dans le nord du Languedoc-Roussillon, ce recul s'est produit en même temps qu'une forte augmentation des surfaces de landes. En Bretagne, en Normandie, dans les Pays de la Loire, comme dans le Centre et en Limousin, les prairies permanentes s'effacent au profit des prairies temporaires ou de façon moins marquée des surfaces en céréales et oléoprotéagineux (SCOP).

Un artéfact déclaratif ? Une valeur économique de 600 €/ha/an.

Nature urbaine