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Gérer son eReputation même après sa mort avec les réseaux sociaux pour défunts. Qui héritera de mes données numériques ? Ce mercredi avait pourtant commencé comme tous les autres : réveil, café, jus d’orange, sous le magnifique soleil amiénois.

Qui héritera de mes données numériques ?

Comme chaque matin, Europe 1 en fond sonore, avec comme chaque jour en ce moment les dernières aventures de notre nouveau Président. Seulement ce matin, tout a basculé. Entre deux considérations politiques, voilà que le monsieur de la radio a lâché deux mots impensables dans sa bouche : "Livre numérique". C’est ainsi que tout a commencé. Pour la première fois de ma courte existence, l’édition numérique s’est insinuée dans mon rituel matinal, hors de Twitter et des réseaux sociaux. En cas de décès, Amazon ne veut pas transférer les livres aux héritiers. Il y a quelques semaines, Numerama avait publié une enquête sur la gestion de la mort par les services en ligne.

En cas de décès, Amazon ne veut pas transférer les livres aux héritiers

Nous avions vu à cette occasion que les éditeurs de réseaux sociaux avaient des politiques différentes, mais que tous tentaient avec plus ou moins de souplesse de rendre service aux héritiers de leurs anciens clients décédés. Le funéraire en ligne. La mort à l’heure des réseaux. La lecture de la semaine, il s’agit d’un entretien paru dans la revue américaine The Atlantic, entretien avec un philosophe australien du nom de Patrick Stokes, auteur d’un récent travail de recherche sur la mort dans les réseaux.

La mort à l’heure des réseaux

Le titre du papier : “Comment Facebook permet de vivre après la mort, enfin en partie”. Je n’ai traduit que des extraits de cet entretien. “Mon point de départ pour penser cette question m’est venu de Facebook. Le concept de cimetière virtuel fait du chemin. When Friends Die, Keep Creeps Out of Their Facebook Page - San Francisco Art. Hong Kong launches social network for dead people. Hong Kong's Food and Environmental Hygiene Department has launched a website for Chinese memorial services.

Hong Kong launches social network for dead people

Due to the acute shortage of burial space in the city, friends and family of the dearly departed have been opting to scatter their loved ones' ashes at sea or in memorial gardens. The new online memorial service is perfect for those without the physical space to commemorate their dead. Signing up is simple. Merely provide the name, gender and select the type of service from a drop down menu ("burial in public cemetary", "keeping remains if public columbaria") and the site combs through its database to ensure the person is indeed dead and gone. Once established, memorial pages can be public or private, with an access code needed for visitors to pay their virtual respects on some pages.

Russie : Les réseaux sociaux face à la mort. [Liens en russe] Les réseaux sociaux en ligne révèlent beaucoup d'un individu.

Russie : Les réseaux sociaux face à la mort

1,000 friends, but not one of them helped her - News - Gadgets & Tech. Simone Back, 42, from Brighton, took an overdose of pills on Christmas Day and posted a brief suicide note that evening on the social networking site expressing her intention to die.

1,000 friends, but not one of them helped her - News - Gadgets & Tech

Friends who lived outside the city urged others in Brighton to check on her, but the calls went unread or unheeded. Police found her the next day and she was pronounced dead in hospital. Digital Death and Digital Afterlife: Serious Business. Internet donne l’illusion d’organiser sa vie post-mortem. Un réseau social... pour les morts - Blogs EchosRéseauxSociaux. Comment internet s'intègre dans les rituels funéraires. Mémoriaux en ligne, cimetières virtuels, oraison de "RIP" sur les réseaux sociaux à chaque décès d'une personnalité...

Comment internet s'intègre dans les rituels funéraires

Patrick Baudry est professeur de sociologie à l'université Bordeaux 3, et auteur de La Place des Morts, aux éditions l'Harmattan. Il décrypte le sens de ces nouvelles pratiques numériques. Après moi, que devient mon Internet ? - Faits de société. Que deviennent le compte Facebook, le blog ou la messagerie électronique d’un défunt ?

Après moi, que devient mon Internet ? - Faits de société

De nouveaux sites web se proposent de veiller sur notre succession numérique en cas de décès. Des bouts de soi partout sur la toile « Toutes les photos de mon père étaient sur un disque dur. Internet après la mort - Technologies. «Il faut planifier ce qui arrivera avec nos renseignements numériques comme on le fait avec notre maison et nos enfants.

Internet après la mort - Technologies

C’est important d’ajouter une liste de nos mots de passe à notre testament et d’indiquer ce que nous aimerions qu’il advienne de nos différents comptes», souligne Jean-Michel Vanasse, blogueur techno pour Transcontinental. Cette notion de testament virtuel fait tranquillement sa place considérant que l’utilisation des médias sociaux s’intensifie d’année en année. Selon les derniers résultats de NETendances 2011 sur les médias sociaux, publiés le 20 septembre 2011, la participation des internautes dans les réseaux sociaux est passée de 34% en 2009 à 48% en 2010. RFID Lets the Dead Speak. It's an archetypal scene of transcendent horror: a Nervous Nelly is making his or her way through a graveyard at night.

RFID Lets the Dead Speak

Facebook, une chapelle vivante pour Michael Jackson - Coopération. This is it, le dernier concert programmé de Michael Jackson, restera donc à jamais un spectacle fantôme, rêvé, désiré, fantasmé par ses millions de fans de par le monde. La vie éternelle après la banque. Digital immortality: Difference Engine: Facebook for the dead. Facebook se met au trépas. Un pixel dans la tombe.

Et si, au lieu de se taper les rituels embouteillages de la Toussaint et l’acquisition d’un hideux et dispendieux pot de chrysanthèmes, chacun pouvait honorer la mémoire de son arrière-grand-mère depuis l’écran confortable de son ordinateur ? C’est probablement ce genre de réflexion qui a conduit une société de la Silicon Valley, I-Postmortem Limited, à se lancer dans le marché du réseau social funéraire.

Il s’agit de vendre à des particuliers une I-Tomb , espace virtuel dans lequel les héritiers de la mémé en question peuvent agglomérer des contenus ayant trait à la défunte. Photos, enregistrements audio, films ou tout autre document démontrant à quel point elle était une sainte femme.