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La fonte des glaces

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Nouveau record de fonte des glaces en Arctique | Science. Une photo des glaces en Arctique prise au nord-ouest de l'Alaska. Photo : U.S. Coast Guard / NSIDC La banquise de l'océan Arctique a atteint un nouveau record de fonte, selon des chercheurs de l'Université du Colorado, qui y voient un nouveau signe des effets à long terme du réchauffement climatique. La banquise a rétréci de 70 000 kilomètres carrés depuis le dernier record de fonte, qui remonte à septembre 2007. Dans un communiqué, les scientifiques du Centre national américain de données sur la neige et la glace affilié à l'université américaine affirment que la banquise ne s'étend plus que sur 4,10 millions de kilomètres carrés.

Comme l'été n'est pas encore terminé, les scientifiques estiment que le phénomène pourrait s'intensifier dans les semaines à venir. . « Ce record n'est qu'un chiffre [...], mais aussi le signe d'un changement fondamental de la couverture glaciaire de l'Arctique », a averti Walt Meier, scientifique à l'Université du Colorado. Dégel de l'Arctique. Faribanks, Alaska – À l’autre extrémité du spectre polaire, on retrouve les glaciers. Ces monstres, dont certains sont grands comme l’île du Prince-Édouard, parlent aussi du réchauffement. Ils sont en retraite pratiquement partout dans le monde. C’est ce qu’a constaté Anthony Arendt, du Geological Institute à Fairbanks, en Alaska.

Ce Canadien d’origine avait travaillé auparavant sur les glaciers du Haut Arctique canadien et des Rocheuses. Comme le glacier Peyto. En 100 ans, ce glacier a régressé d’un kilomètre. « Qu’un glacier grandisse ou rapetisse dépend de la quantité de neige qu’il reçoit pendant l’hiver et de la température pendant l’été. En Alaska, on a utilisé une caméra montée sous un avion pour mesurer le relief des glaciers. À peine une centaine de glaciers sont suivis sur une base régulière, parmi les quelque 200 000 glaciers de la planète. Bien sûr, ce n’est pas la même chose en Alaska. . © Radio-Canada.ca 2003. La fonte des glaces polaires s'accélère. La fonte des glaces polaires s'est accélérée ces vingt dernières années sous l'effet du réchauffement climatique, surtout au Groenland, contribuant pour 20% à la montée des océans sur cette période, selon l'estimation la plus précise jamais faite à ce jour et publiée jeudi.

Une équipe internationale de chercheurs a effectué cette étude importante, qui paraît dans la revue américaine Science du 30 novembre au moment où se déroule la dernière conférence de l'ONU sur le climat à Doha, au Qatar. Le niveau de la mer s'est élevé en moyenne depuis 1992 de plus de 55 mm (3 mm par an), dont la plus grande partie est attribuable à l'expansion thermique de l'eau. Ces scientifiques ont estimé à 11,1 mm au total l'élévation des océans ayant résulté de la seule fonte des deux plus grandes calottes glaciaires de la planète.

Estimations plus précises Ces dernières estimations se situent dans la fourchette du rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) en 2007. Greenpeace lance "Save the Artic" Greenpeace surveille l’Arctique Depuis des années déjà, l’Arctique est menacé par le réchauffement climatique. Cette région se situant au pôle Nord se réchauffe, fond et disparait peu à peu avec la biodiversité qu’elle abrite.

Au cours des trente dernières années, la banquise de l’Arctique a perdu un tiers de sa surface. Les activités humaines ne font pas bon ménage avec l’environnement. D’ici à 2030, elle pourrait complètement disparaître, a expliqué l’association écologique Greenpeace qui lance sa campagne « Save the Arctic ». La colonisation sans frontièresL’Arctic Sunrise et l’Esperanza, deux bateaux de Greenpeace, vont justement pouvoir être les témoins des mutations qu’a subit l’Arctique ces dernières années. Ils pourront également observer les manœuvres entreprises par Shell. Les grandes compagnies pétrolières ont déjà engagé leur argent dans le forage de cette zone restée éloignée des activités polluantes pendant longtemps. Crédits photos : Pierre Gleizes / Greenpeace. Nouveau record de fonte de glace pour le pôle Nord - Sciences.

L'Arctique fond et fond même à vue de satellite. Des scientifiques de la NASA et du National Snow Ice Data Center (NSIDC) ont expliqué lundi que la calotte glacière a atteint sa plus petite superficie dimanche dernier. Cela fait déjà 30 ans que des satellites permettent de mesurer la banquise de la mer arctique. Chaque été, la banquise fond jusqu'à un « minimum » puis se reconstruit avec le retour des temps plus froids.

Ce 26 août 2012, la calotte glacière ne faisait plus que 4,10 millions de kilomètres carrés. Le dernier record de fonte datait du 18 septembre 2007 où la superficie de la banquise était de 4,17 millions de kilomètres carrés soit 70000 kilomètres de plus. Les données sont surprenantes car les experts expliquaient le record de 2007 par un contexte climatique exceptionnel. Aujourd'hui, à part une tempête au début du mois d'août, le climat ne favorisait pas forcément la fonte. Mais ce qui étonne les spécialistes cette année c'est la précocité de ce phénomène. Fonte de glace record en Arctique. La fonte des glaces dans l’Arctique s’accélère Alors que les ours polaires pâtissent déjà depuis des années des bouleversements climatiques, la glace en Arctique aurait fondu encore plus vite cette année, affirment National Snow, le gouvernement des États-Unis et l’Ice Data Centre (NSIDC).

Le diagnostic n’est pas réjouissant pour l’état de la glace dans l’Arctique. Effectuées par des chercheurs de l’Université de Washington, les observations par satellite montrent en effet que la banquise, qui se régénère naturellement chaque année, couvre… 508 800 kilomètres carrés de moins cette semaine de juin par rapport à celle de l’année dernière, soit un peu moins la superficie de la France (!) Le réchauffement climatique Le mois de juin 2012 est à cet égard le pire depuis 1979 et le début des relevés de données. La glace de mer disparaît donc à vitesse grand V, d’où un risque réel et de plus en plus élevé de mettre à mal la régulation climatique de la planète dans son ensemble. La banquise arctique pourrait complètement disparaître d'ici à quatre ans.

La fonte des glaces de mer du pôle Nord s'accélère au point qu'elles pourraient avoir totalement disparu, en été, entre 2015 et 2016, selon Peter Wadhams, de l'université de Cambridge. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric La fonte de la banquise arctique s'accélère au point qu'elle pourrait avoir totalement disparu en été d'ici à quatre ans. C'est la mise en garde de l'un des plus grands spécialistes du sujet, Peter Wadhams, dans le Guardian, lundi 17 septembre, alors que la superficie des glaces de mer de l'hémisphère Nord est sur le point d'atteindre son plus bas historique.

Wadhams, qui dirige le département de physique de l'océan polaire à l'université de Cambridge, en Angleterre, a passé de nombreuses années à recueillir des données sur l'épaisseur de la glace grâce aux mesures de sous-marins parcourant l'océan Arctique. "UNE CATASTROPHE MONDIALE" en 2015 OU 2016 Peter Wadhams appelle alors à "des mesures urgentes" pour limiter l'augmentation des températures.