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Sustainable Dev.

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Infographic: In 80 Years, We Lost 93% Of Variety In Our Food Seeds. Seeds are tricky things. On one hand, we have the whole Omnivore’s Dilemma argument, that industrialized and genetically engineered food is probably bad. And on the other, we have strains of vegetables that can grow four times as much produce on the same plot of land as their heirloom counterparts—a successful, man-dictated genetics that we’ve actually been fueling for millennia.

After all, we wouldn’t have the heirloom seeds of today if our grandfather’s grandfather’s grandfather hadn’t saved the seeds from the sweetest watermelons or the most drought-resistant cantaloupes. I don’t know that any of us can honestly assess the repercussions of our actions, but I do know one thing: This National Geographic infographic by John Tomanio is staggering. Using the metaphor of a tree, it charts the loss of U.S. seed variety from 1903 to 1983. And what you see is that we’ve lost about 93% of our unique seed strands behind some of the most popular produce. [Image: NixPhotography/Shutterstock] Université : vers de nouveaux entrepôts de cours ouverts. Le programme Open CourseWare (Wikipédia) du Massachusetts Institute of Technology, lancé en 2001 et ouvert en 2003 a été un modèle imité depuis par de nombreuses universités de par le monde – et non des moindres.

Ce sont désormais plus de 200 universités et plus de 13 000 cours qui sont librement accessibles en ligne via le consortium Open CourseWare, comme s’en félicitait le MIT en avril dernier en fêtant les 10 ans de son programme. Reste que pour l’essentiel, ce matériel se compose de vidéos, de présentations et de textes. S’il est un répertoire de connaissance sans égal, il ne permet pas d’acquérir de diplômes et propose rarement des exercices interactifs pour mieux appréhender les notions que les professeurs dispensent. Est-ce que cela serait en train de changer ? Le 10 octobre, Peter Norvig et Sebastian Thrun, deux spécialistes de l’intelligence artificielle de l’université de Stanford, vont se lancer dans une nouvelle forme de cours gratuits en ligne.

Les cours en ligne, plus efficaces que les salles de classe. « Les étudiants dont les cours ont lieu en tout ou partie « en ligne » obtiennent, en moyenne, de meilleurs résultats que ceux qui assistent aux mêmes cours, mais de façon traditionnelle, en face à face. » La conclusion de l’étude que vient de publier le ministère américain de l’éducation, a le mérite de la clarté. Le New York Times n’hésite d’ailleurs pas à titrer que « l’éducation en ligne bat la salle de classe« .

L’étude en question est moins péremptoire, et incite à plus de modération. Les auteurs, membres du Centre pour la technologie dans l’éducation de SRI International (l’ex Standford Research Institut), insistent en effet sur le fait que sur les 1132 études publiées entre 1996 et 2008 qu’ils ont analysées, seules cinq se penchaient de façon expérimentale et explicite sur les mérites comparés des cours en ligne et des classes traditionnelles auprès d’enfants et d’adolescents.

CC Quang Minh (YILKA) Usages, mésusages. C’est en lisant Paul Ariès (Wikipédia), rédacteur en chef du Sarkophage – notamment La simplicité volontaire contre le mythe de l’abondance -, que j’ai mieux compris les limites qui me chiffonnaient dans la consommation collaborative. Celle-ci nous est souvent présentée sous les atours du partage et du don, alors qu’elle n’en est pas toujours. Le covoiturage et l’autopartage ne sont pas inspirés par une vision altruiste, comme on l’entend trop souvent. Le premier moteur du covoiturage et de l’autopartage n’est pas le partage, mais l’économie. Ce n’est pas sauver la planète qui motive les covoitureurs et les autopartageurs, mais amoindrir l’impact de la crise sur leurs finances personnelles, comme le soulignait déjà l’étude 2010 de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (.pdf). Les utilisateurs de ces services sont d’abord à la recherche de revenus complémentaires. La consommation collaborative… c’est encore de la consommation De l’usage au mésusage Hubert Guillaud.

Green - Issue 05. How Can We Measure Currencies like Sustainability & Corporate Social Responsibility. I came across a few cool projects today that made me wonder when we’ll have a currency for sustainability. I’ve written a bunch about how our conceptualization of “money” and “currency” is being expanded as we find new ways to measure and make transparent aspects of wealth that were previously hidden. For example, services like PeerIndex and Klout seek to measure influence, authority, trust, and how well your message resonates with an audience, hence establishing online reputation currencies.I’ve also read before about the weakness of GDP in determining the actual health or wealth of a nation, as it misses out on major indicators of human and environmental well-being – which are arguably more important than the measurement of consumption.

So how do you begin to get these metrics? Reading through that project’s wiki led me to discover a lot of interesting resourcesfor other projects working to define the true cost of things. . — other bits: Like this: Like Loading... L’énergie renouvelable doit-elle être gratuite. Contrairement à ce qu’on a longtemps pensé, l’efficience énergétique serait un leurre.

Elle ne suffirait pas à réduire la consommation énergétique. C’est le paradoxe de l’efficience énergétique, comme le soulignait récemment David Owen pour le New Yorker (sur abonnement). L’efficience énergétique est un leurre L’augmentation de l’efficience énergétique permet de réduire les consommations d’énergie, à service rendu égal. Pour l’automobile par exemple, elle consiste à réduire toujours plus la consommation énergétique au kilomètre. En d’autres termes, l’augmentation de l’efficience énergétique est profondément corrélée à la prospérité. Image : Le compteur CurrentCost qui mesure votre consommation électrique pour vous inciter à la réduire par Edinburgh Greens. . « Regardez autour de vous et examinez comment une grande partie de la vie moderne dépend de l’énergie par rapport à il y a 100 ans. Il n’y a pas de 5e combustible ! « Nous ne sommes pas en train de réduire notre dépendance énergétique »

Pour une mobilité plus libre et plus ... En entreprise, le développement durable passe par l'innovation. Plus de connexions entre les secteurs d'une société, une meilleure collaboration sur les stratégies innovantes, et l'intégration de technologies propres sont autant d'objectifs pour les équipes dirigeantes. L’innovation doit se situer au cœur des stratégies professionnelles mises en place pour consolider le développement durable d’une entreprise, juge le cabinet Arthur D.

Little dans une étude. Les consultants préconisent du coup un certain nombre de mesures pour replacer les nouvelles technologies au centre du processus. Les équipes dirigeantes ont par exemple tout intérêt à repérer et intégrer des acteurs clés du développement durable au sein de l’entreprise. Des connexions renforcées Un risque à prendre en considération : le manque de collaboration entre les secteurs de l’entreprise. Trouver un équilibre entre le court et le long terme C’est-à-dire ne pas considérer que l’innovation en ce domaine n’est utile que pour effectuer des économies d’énergie, par exemple.

L'ACTUALITE ENVIRONNEMENTALE EN TEMPS REEL. Les jeunes, moteur du développement durable. Par Frédéric Bordage - 19/07/2011 Les jeunes veulent être un moteur du changement et amener une nouvelle vision du développement durable. C’est ce que révèle l’Enquête Mondiale sur les Modes de Vie Durables (Visions for Change: Recommendations for Effective Policies on Sustainable Lifestyles) menée par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) auprès de plus de 8 000 jeunes adultes de 18 à 35 ans, originaires de 20 pays différents.

Première leçon de l’enquête : les rapports à l’environnement des jeunes du nord et du sud ne sont pas les mêmes. La majorité est convaincue que l’état de la planète est un des deux principaux défis mondiaux. Mais cette vision est plus largement partagés dans les pays développés : 82 % en Australie, 74 % au Vietnam et 71 % en Suède, contre seulement 42 % en Egypte, 38 % au Brésil et 34% en Argentine. Deuxième leçon : globalement, tous pays confondus, les jeunes adultes sont très satisfaits de leurs vies. ISOGRIReport_FINAL.pdf (Objet application/pdf) IRI_Transparency-to-Performance.pdf (Objet application/pdf)

TIC et DD - Intercoop. SMEs Corporate Sustainability Reporting.