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Openspace

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Open space. Réunis pour le meilleur et pour le pire. Travailler en open space: un cauchemar pour les salariés? - A la Une. Votre voisin de bureau tient à vous faire partager sa passion du poney, un autre a choisi une sonnerie de portable baptisée "Yodel", tandis qu'un troisième baisse le chauffage dès que vous avez le dos tourné: bienvenue dans le scénario noir du travail en open space! Inventé par deux consultants allemands, les frères Schnelle, à la fin des années 1950, l'open space ou bureau paysager n'a cessé de se répandre, mais sans toujours convaincre les salariés qui pointent des problèmes de bruit, de chauffage ou de concentration.

Selon Actineo, observatoire de la qualité de vie au bureau, 60% des salariés français ne travaillent plus aujourd'hui dans un bureau individuel et 14% sont dans des open space de plus de quatre personnes. Et selon un sondage rendu public fin mai par l'observatoire, si 83% des salariés en bureau individuel disent pouvoir se concentrer, ils ne sont plus que 51% en open space. "Par exemple, si quelqu'un part à 18 heures, on lui dit +Ah, tu prends ton après-midi? Prendre au sérieux la question de la dispersion au travail. De prime abord, le titre de cet article [1] Je remercie le personnel de l’agence de création d’événements... [1] peut surprendre. En effet, le recours au terme de « dispersion » est pour le moins inhabituel dans la littérature académique consacrée au travail. Pourtant, de plus en plus, le travailleur doit faire face dans un temps très court à une kyrielle d’engagements souvent très différents, les formes contemporaines de travail apparaissant comme particulièrement propices à accentuer cette dispersion.

Trois grandes tendances parmi d’autres permettent d’illustrer cette assertion. Au premier rang, la diffusion massive des TIC : véhiculant information et communication, ces technologies conduisent fréquemment le travailleur à suspendre, actualiser ou reconfigurer son activité, et donc à se disperser. Ces tendances sont particulièrement à l’œuvre dans les formes de « travail complexe », telles qu’elles ont été définies par l’ergonomie et les sciences cognitives. Survivre en open-space. Partager son bureau avec trois ou quatre collègues, travailler sur un plateau.... Depuis quelques années, l'open-space est devenu la norme dans nombre d'entreprises. D? Après Actinéo, une association spécialisée sur la qualité de vie au bureau, 60 % des entreprises auraient adopté ce type d'aménagement.

Les avantages sont nombreux : plus de convivialité entre les équipes, meilleure circulation de l'information, abolition des barrières hiérarchiques.... L? Open-space séduit également pour des raisons économiques car il permet d'installer davantage de personnel dans moins de mètres carrés. Seulement voilà, avec un espace vital qui se réduit comme peau de chagrin (aujourd? Un minimum d'intimité Quelques règles élémentaires permettent cependant de survivre à ce type d'aménagement. L? L’enfer de l’open space, mode d’emploi. Les bureaux sans cloisons gagnent du terrain. Malgré leurs inconvénients : difficultés pour se concentrer, manque de discrétion… Pour rester zen, voici les meilleures techniques. On la tient enfin, la vraie raison de la crise ! Si certains banquiers ont commis ces derniers temps de regrettables erreurs d’inattention, c’est tout bêtement à cause de leurs conditions de travail.

Prenez le service contrôle de gestion de Crédit agricole Asset Management, la filiale gestion d’actifs de la banque verte. Individualistes, les salariés français ? Si ce n’est pas encore le cas, vous devrez peut-être vous aussi passer un jour prochain à la cohabitation. En avant donc pour l’évolution de l’espèce. Pour les plus mal lotis, ceux qui se trouvent sur un chemin de passage (vers les toilettes, la machine à café, la sortie, le bureau du chef), ces miniconversations (que les Anglais appellent «small talks») constituent un véritable cauchemar.

Pourtant ce ne sont pas les occasions qui manquent. Lire aussi: DPactineo1911DEF.pdf (Objet application/pdf) Open space : l'enfer, c'est les autres !