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Grèce

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Varoufakis et le plan “B” Top cock: Roosters crow in pecking order. Roosters crow in order of seniority—the top cock announcing daybreak while juniors patiently wait their turn, said a study Thursday which revealed a long-guarded secret of chickendom. We are all familiar with that first pre-dawn "cock-a-doodle-doo", quickly followed by others within hearing distance. But how do cockerels decide who goes first? They pull rank, according to a set of experiments with captive birds reported in the journal Scientific Reports.

"The top-ranking rooster always started to crow first, followed by its subordinates, in descending order of social rank," wrote the Japanese authors of the study. "When the top-ranking rooster was physically removed from a group, the second-ranking rooster initiated crowing. " Crowing is thought to be a means for cockerels to advertise their territory—limiting the risk of surprise, potentially aggressive encounters. The strongest, dominant birds subsequently enjoy priority access to food, hens and roosting places. Alexis Tsipras : « L’austérité est une impasse » Grèce, Plan B et implications. La presse internationale a publiée plusieurs articles détaillant les propositions formulées par Yannis Varoufakis à Alexis Tsipras, propositions qui furent rejetées par le Premier ministre Grec. Elles nous éclairent sur le contenu du « plan B » qui existait en Grèce.

Ces propositions montrent que, contrairement à ce que continuent à prétendre certains, dont Pierre Laurent, le secrétaire national du PCF (voir son entretien à Marianne[1]), l’alternative n’était pas entre la « banqueroute » et la capitulation. Il y a eu ici un mensonge conscient quant aux raisons de la capitulation de Tsipras. Il existait bien, en effet, une autre voie et cette dernière n’était pas “rocambolesque”. Mais, celle-ci impliquait, à relativement court terme, une sortie de la Grèce de l’Euro, une position qui semble être acceptée par des collaborateurs de Varoufakis[2]. Il faut en tirer toutes les conséquences. Le contenu de ce plan « B » Les conséquences de la réquisition de la Banque Centrale de Grèce Notes. Tsipras, chef de la pseudo-gauche grecque, passe un entretien d’embauche devant le ministère des Affaires étrangères américain et le FMI.

Home » Nouvelles internationales » Europe » Europe du Sud » Grèce Par Bill Van Auken 2 février 2013 Avec l’aggravation de la crise grecque, le chef du parti d’opposition SYRIZA (Coalition de la gauche radicale) est venu aux Etats-Unis cette semaine pour des réunions à huis-clos avec les représentants du ministère des Affaires étrangères et du FMI, ainsi que pour une série d’apparitions en public. Pendant que le gouvernement grec du Premier ministre Antonis Samaras utilisait des méthodes dignes d’un Etat policier pour briser une grève des travailleurs du métro, Tsipras s’est servi de son voyage pour dire aux représentants américains et à ceux du FMI qu’ils n’auraient rien à craindre s’il arrivait au pouvoir.

Les derniers sondages indiquent que SYRIZA et Nouvelle démocratie, le principal parti du gouvernement de coalition entre conservateurs et socio-démocrates, sont pratiquement au coude-à-coude. Tsipras a pris la parole devant plusieurs auditoires aux Etats-Unis. George Soros funds Greek opposition. Athens, February 26, 2013 There has been a sweeping reaction to publication by the authoritative German business weekly WirtschaftsWoche, according to Аgionoros.ru. The editorial article states that the American multi-millionaire and investor George Soros is funding the second most popular political party in Greece, SYRIZA. According to Wirtschaftswoche, the American financier helped arrange the visit of SYRIZA’s left-wing radical coalition leader Alexis Cipras to the USA, during which the Greek politician became acquainted with influential representatives of American political "establishment".

There Cipras received from them a distinct “go ahead” to “rule”. German journalists suppose that Soros wants to use Cipras’s party to bring pressure on Germany. The SYRIZA coalition has for long time been famous for its anti-German rhetoric; and the speech of the SYRIZA delegation in the USA was full of severe criticism of Angela Merkel’s policy. Pravoslavie.ru. Pour l’Histoire… La vision de Varoufakis. Le seul antidote à la propagande et aux ” fuites” malveillantes est la transparence. Après tant de désinformation sur ma présentation de la position du gouvernement grec à l’Euro-groupe, la seule réponse est de publier les mots précis prononcés. Lisez-les et voyez par vous-mêmes si les propositions du gouvernement grec peuvent constituer une base pour un accord. (18 juin) Chers collègues, Il y a cinq mois, lors de ma toute première intervention à l’Euro-groupe, je vous ai dit que le nouveau gouvernement grec devait faire face à un double enjeu : Nous devions créer une monnaie précieuse sans dépouiller notre patrimoine.

Cette monnaie précieuse que nous devions créer était un sentiment de confiance, ici, parmi nos partenaires européens et au sein des institutions. Le patrimoine important que nous ne pouvions pas nous permettre de dépouiller était la confiance du peuple grec qui aurait à se ranger derrière n’importe quel programme de réformes accepté qui mettrait un terme à la crise grecque. ‘Greatest disaster’: Varoufakis says new Greek bailout doomed. Former Greek Finance Minister Yanis Varoufakis has warned that the economic reforms from Greece’s debt holders are doomed to fail.

The assessment comes as PM Alexis Tsipras has reshuffled his cabinet in efforts to secure a third bailout package. The EU is preparing to start talks with Athens on a third bailout which could reach €86 billion ($93 billion), but the reform program laid down by Brussels as a precondition for the bailout will "go down in history as the greatest disaster of macroeconomic management ever," Varoufakis told BBC.

“This programme is going to fail whoever undertakes its implementation,” he said. Asked when will it fail, he replied, “It has failed already.” Varoufakis stressed that in given conditions Prime Minister Alexis Tsipras, who himself does not believe in the bailout, had little option but to sign the agreement. On Saturday, new cabinet ministers were sworn in after Tsipras replaced hardliners in his government, following the agreement with the EU creditors. La Grèce a choisi la pilule rouge – Merkel doit décider, Hollande le pivot Par Alexis Toulet.

La Grèce a voté. Les Grecs ont choisi de ne pas céder à l’injonction des Institutions, derrière elles des principaux pays créditeurs, d’avoir à voter Oui sous peine d’expulsion de l’Euro. Ils placent les créditeurs au pied du mur et c’est à eux maintenant de prendre position : sont-ils vraiment prêts à utiliser la BCE pour effondrer le système financier grec et ainsi expulser la Grèce de l’eurozone contre son gré ? Europe et Démocratie Quand l’Europe fait pression ? Ça mousse ! Quant à faire peur ? La question démocratique a été tranchée. Raté. Quoi que l’on pense du partage des responsabilités de ce fiasco entre Grèce et Troïka – et les Grecs ont évidemment une part importante – ces méthodes sont scandaleuses en elles-mêmes. Les Grecs étaient soumis à un stress intense.

Indépendamment, encore une fois, des erreurs qu’ils ont pu commettre, il faut du moins les féliciter de cela. Les inconvénients de l’expulsion forcée Apocalypse. Les inconvénients de l’abandon de l’expulsion. Libéré de ses fonctions, Varoufakis sort de son silence et s'en prend à l'Allemagne.