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Code de la propriété intellectuelle - Article L335-3. Tatouage sur le visage de Kimberley : 56 étoiles tatouées sur le visage par erreur. Very Bad Trip 2 : L'affaire Du Tatouage De Mike Tyson Est Terminée ! Le tatoueur de Mike Tyson voulait empêcher la sortie de Very Bad Trip 2 : le film avait piqué le dessin de son tatouage sans autorisation.

Et voilà que tout est bien qui finit bien ! Dans le carton Very Bad Trip en 2009, le boxeur Mike Tyson faisait une apparition remarquée dans son propre rôle, surtout lorsqu'il avouait adorer le morceau "In The Air Tonight" de Phil Collins. Deux ans plus tard, avant même la sortie de Very Bad Trip 2, les affiches et bande-annonces du film lâchaient le morceau : Stu (Ed Helms) se réveillait de sa gueule de bois avec la réplique du tatouage facial de Tyson, en hommage à la présence du boxeur légendaire dans le premier film... Cette plaisanterie n'avait pas fait rire S. Victor Whitmill, tatoueur de son métier et auteur du tatouage de Mike Tyson, qui s'est mis à crier au plagiat, le dessin étant un modèle unique !

Il voulait même empêcher la sortie du film, mais la justice américaine avait autorisé la sortie de VBT 2. Prostitution : vote «historique» pour les uns, «poudre aux yeux» pour les autres. Prostitution : une loi davantage portée par les femmes députées. Avec 268 votants pour, 138 contre et 79 députés qui se sont abstenus, la loi pour la lutte «contre le système prostitutionnel» a été adoptée sans surprise ce mercredi à l’Assemblée nationale.

«Je vous remercie de nous donner les moyens de lutter contre les réseaux», s’est réjouie la ministre Najat Vallaud-Belkacem, aux députés, après le vote. Le sujet a bien plus clivé dans la rue et dans les pages des journaux qu’à l’Assemblée nationale. L’analyse du vote, groupe par groupe, montre que les députés ont globalement suivi les consignes de leurs partis: pour au PS et au Front de Gauche, contre ou abstention à l’UMP et liberté de choix pour les autres. Les débats autour de la loi, et notamment les discours des abolitionnistes, ont présenté le client, désormais pénalisé, comme majoritairement masculin et la prostituée, désormais victime, comme étant une femme. En pourcentage, il semble que oui. Une des explications est la plus forte présence de députées à gauche qu’à droite.

Quentin GIRARD. Prostitution : pas séduite, l’Assemblée adopte la loi. Le décalage était à l’image de la confusion politique. Décalage entre les envolées hugoliennes du discours officiel du PS et le vote plutôt mollasson de ce même parti. Le brouhaha et les applaudissements désorganisés donnaient le ton général, hier après-midi à l’Assemblée nationale, pour le vote en première lecture de la loi sur la prostitution, texte prévoyant notamment la pénalisation des clients et sur lequel aucun groupe politique n’a réussi à adopter une position commune. 268 députés sur les 485 présents ont voté pour, permettant son adoption en première lecture. Mais les troupes ont avancé en ordre dispersé, visiblement peu sensibles au parallèle sur l’abolition de l’esclavage que les défenseurs de la loi voulaient établir.

«Injustice». Les élus d’Europe Ecologie-les Verts se sont prononcés majoritairement contre le texte (avec seulement 4 voix pour, sur 17 députés). Racolage. Le texte doit ensuite être examiné au Sénat, où les opposants ne manquent pas. Alice GÉRAUD. Dans les bordels des camps nazis. Quand des milliers de juives étaient envoyées dans des bordels en Amérique du Sud. C'est un chapitre peu connu de l'histoire contemporaine sur lequel se penche cette semaine l'hebdomadaire Der Spiegel. Entre 1860 et 1930, en pleine montée de l'antisémitisme, des milliers de jeunes juives pauvres d'Europe de l'Est ont émigré en Amérique du Sud dans l'espoir d'une vie meilleure, dupées par des proxénètes qui les envoyaient dans des bordels à leur arrivée. A cette époque, les femmes blanches étaient très recherchées sur le marché de la prostitution en Amérique latine, qui se concentrait principalement dans les grandes villes portuaires, comme Buenos Aires et Rio de Janeiro.

En Argentine, les prostituées juives étaient surnommées «esclavas blancas», esclaves blanches, tandis qu'au Brésil on les nommait «Polacas», les Polonaises. L'écrivain Stefan Zweig en a fait une description dans son journal intime après avoir visité le quartier rouge de Rio en 1936: Image: Une prostituée juive. Photo: Une prostituée juivre. Publicité Devenez fan sur , suivez-nous sur. Une expo raconte la prostitution forcée dans les camps nazis. Dans les bordels de l'armée française. Les anciens combattants sourcilleux n'apprécieront sans doute pas le cadeau; les amateurs d'histoire, si. Jean-Marc Binot, spécialiste des confits du XXe siècle, célèbre d'une façon particulière le 60e anniversaire de la fin de la guerre d'Indochine. Dans un livre dense et passionnant, il lève le voile sur un aspect peu connu, jamais étudié et peu glorieux de ce confit, celui de la prostitution organisée par l'armée française.

Le bordel à soldats, explique-t-il, n'a rien de nouveau. La tradition le fait remonter à la croisade de Philippe Auguste qui, choqué de l'étendue des pratiques sodomites parmi les Francs et des viols qu'ils commettaient, les remit dans le chemin de Dieu en faisant venir de France un plein bateau de filles de joie. L'armée n'a jamais abandonné le principe mais, au XXe siècle, elle en use pour des motifs plus terrestres. La métropole, mais aussi le Sénégal ou le Maroc, d'où viennent les nombreux tirailleurs, sont à trois semaines de bateau. François Reynaert. Jeunes pour l'abolition de la prostitution. La volonté d’abolir la prostitution en France et au Canada. Par Caroline T. Vallet, Docteur en droit.

D’ailleurs, la position française sert d’exemple aux préoccupations canadiennes, ainsi que la Résolution du Parlement européen du 26 février 2014 sur l’exploitation sexuelle et la prostitution et leurs conséquences sur l’égalité entre les hommes et les femmes. Ainsi, l’abolition de la prostitution serait justifiée par le fait qu’elle porterait atteinte à la sécurité des personnes et à la dignité de la personne humaine.

En effet, « 80 à 95 % des personnes prostituées ont souffert d’une forme de violence avant d’entrer dans la prostitution (viol, inceste, pédophilie), 62 % d’entre elles déclarent avoir été violées et 68 % souffrent de troubles de stress post-traumatique – un pourcentage similaire à celui des victimes de la torture » [1]. - En droit Français Suite à un rapport d’information de l’Assemblée Nationale en date du 13 avril 2011 (A), le Parlement a présenté deux propositions de loi (B). A. Par conséquent, la mission d’information préconise, par exemple : B. 1. 2.

. - En droit Canadien. La putain au grand coeur. (11/01/2013 by Spermufle) Dans l’imaginaire commun, la prostitution se décline à travers toute une série d’archétypes. Les plus répandus sont le travesti du Bois de Boulogne, la tapineuse slave des Grands Boulevards, la créature des bois Africaine (qui reçoit à bord de son estafette), l’étudiante occasionnelle, la call-girl aux tarifs prohibitifs, et la pute-au-grand-coeur.

L’existence de cette dernière sert d’alibi aux clients dans leur ensemble, même aux plus dangereux, et il ne me semble pas inutile d’identifier ce qui se cache derrière le discours de la pute-qui-aime-ses-clients et pour qui la prostitution est une source d’épanouissement. Deux figures incarnant cet archétype ont accaparé la lumière médiatique : Griselidis Real, citoyenne Helvétique née en 1929, et Sonia Verstappen, une belge née en 1955, à laquelle une multitude de reportages ont été consacrés depuis vingt ans. Griselidis Real est morte en 2005. Intéressé-e par le soutien d’un projet littéraire abolitionniste ?

Prostitution, "fantasme féminin" François Ozon et Marine Vactch, qui tient le rôle principal de son film "Jeune et jolie", à Cannes, le 18 mai 2013 (ESCHER/SIPA). Si François Ozon n’a aucune légitimité pour parler au nom des femmes (ou de seulement certaines femmes, comme il l’a précisé ensuite en s’excusant), de leur sexualité, de leurs fantasmes, et de ce qu’est la réalité de la prostitution, si ses propos sexistes caricaturaux sont consternants et scandaleux, il n’est, avec son film et ses propos, qu’un des nombreux vecteurs de stéréotypes affligeants sur la sexualité des femmes et – en miroir – sur celles des hommes. Le cinéma, la littérature, les médias, la publicité regorgent de ces stéréotypes sexistes, et la pornographie en fait son fonds de commerce. Selon ces stéréotypes, sexualité et violence sont confondues, de même que désir et addiction au stress.

Une femme pourrait fantasmer, aimer, être excitée et jouir d’être chosifiée, soumise, humiliée, violentée, forcée, prostituée. Mémoire traumatique des agressions. "Je l'ai défoncée comme un goret" Bienvenue chez les porcs. Je vous invite à découvrir aujourd'hui le "retour-client" de clients de prostituées : entre angélisme et misérabilisme, voici un nouvel élément au dossier "prostitution". Qui fait supermal. On découvre sur le Tumblr "prostitueurs" des critiques sans pitié des performances des prostituées... critiques assez faciles à trouver sur les forums dédiés. Les exemples sont d'un cynisme parfait : les mecs qui laissent ce genre de commentaires ont clairement rangé leur âme dans le portefeuille (sans parler de se tirer une grosse balle dans le pied, s'ils sont pour une légalisation scintillante).

Mon avis sur la question : l'argent et l'anonymat ne permettent pas tout, et dans la vie, sauf si j'ai raté un truc, rien ne nous est dû - spécialement pas des relations sexuelles topissimmes. Donc le sexe ne nous est pas dû, même quand on a payé. S'ils espèrent atteindre le nirvana avec un égoïsme pareil, avec un tel manque de générosité : ça n'arrivera jamais. L’utilité de la prostitution. La prostitution. Il y a les pour, les contres, et y a celles qui savent pas. Il y a celles qui n’en ont qu’une très vague idée, et il y a celles qui le font, ou l’ont fait, et témoignent. Il y a celles qui fantasment, parfois un peu trop, en bien ou en mal. Et puis il y a la réalité, multiple, changeante, complexe.

Alors, évidemment, devant un phénomène si mal compris, si compliqué, on se divise, on est pas d’accord, on débat, on se contredit, on se met sur la gueule parfois… Mais, quand on reste entre féministes, il y a quelque chose, ou plutôt quelqu’un, qui est curieusement absent du débat : le client. Je veux dire par là que, non seulement le client ne s’exprime que très rarement sur le sujet dans ces débats (et quand il le fait, il a souvent un discours très partial, ignorant tout ou une partie du problème, s’imaginant des choses tout à fait fausses sur les prostituées qu’il fréquente), mais surtout qu’on ne parle que très peu de lui. Tout ça est bien trop caricatural. Prostitution et drogue pour doper un PIB très mâle. Civilisation Mis en ligne le 03/06/14 I Rédaction par Isabelle Germain La Commission Européenne pousse les Etats membres à faire entrer certaines activités illicites dans le calcul du PIB. Mais le travail domestique reste toujours dans les oubliettes des statistiques.

Compter dans le Produit Intérieur brut (PIB), des activités comme la prostitution et la drogue qui créent de la richesse. C’est ce que demande Eurostat, l’institut statistique communautaire depuis un an aux Etats membres de l’Union européenne. Certaines de ces activités sont illégales dans certains pays, légales dans d’autres. Et comme la contribution de chaque Etat membre au budget européen est en partie calculée en proportion de son PIB, la pression monte. Et la France ? Les normes d’Eurostat (ESA 2010), qui doivent entrer en vigueur cette année précisent : « Les activités économiques illégales doivent être considérées comme des transactions quand toutes les unités parties prenantes le font par accord mutuel. Halte à l'esclavage sexuel ! Prostitution : ce que prévoit la proposition de loi - France-Monde. La proposition de loi visant à renforcer la lutte contre le système prostitutionnel prévoit de sanctionner les clients et d’abroger le délit de racolage, mais contient aussi des dispositions pour accompagner les personnes souhaitant sortir de la prostitution. - Création d’une contravention de 5e catégorie (amende de 1.500 euros) pour les clients ayant recours à la prostitution d’une personne majeure.

La récidive sera un délit puni de 3.750 euros d’amende (Le recours à une prostituée mineure, enceinte ou handicapée est déjà sanctionnée de trois ans d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende). - Création d’un «stage de sensibilisation à la lutte contre l’achat d’actes sexuels» qui peut être une peine alternative aux poursuites ou complémentaire, sur le modèle des stages de sensibilisation à la sécurité routière. A la charge du client, ce stage se déroulera auprès d’associations agréées. - Octroi de places en centres d’hébergement pour les victimes de proxénétisme et de traite.

Proposition de loi sur la prostitution : une étape historique ? La proposition de loi « Lutte contre le système prostitutionnel » a été déposée par le Groupe Socialiste à l’Assemblée nationale le 9 octobre 2013. Elle est porteuse d’un renversement historique puisqu’elle ferait passer la charge pénale sur les « clients » prostitueurs et en libérerait les personnes prostituées par l’abrogation du délit de racolage. Elle créerait de plus un ensemble de mesures cohérentes et coordonnées. Issue du Rapport d’information parlementaire présentée par Maud Olivier le 17 septembre 2013, cette proposition de loi (PPL) aborde enfin la prostitution dans sa globalité.

L’un de ses objectifs est de cesser d’abandonner à leur sort les personnes prostituées : en les délivrant du statut de délinquantes, par l’abrogation du délit de racolage, et en leur permettant d’être accompagnées de manière cohérente et d’envisager des alternatives. Mais de telles mesures seraient dépourvues de sens sans la volonté d’attaquer le système prostitutionnel sous tous ses angles.

Commentaire juridique de l’avis 118 du CCNE sur l’assistance sexuelle | C2. Le Comité consultatif national d’étique pour les science de la vie et de la santé (ci-après « CCNE ») a rendu public son 108ème avis du 4 octobre 2012. Il porte sur la question de l’assistance sexuelle aux personnes handicapées. L’assistance sexuelle est une prestation qui ressemblerait à la prestation d’un personnel paramédical.

Elle consisterait en de l’assistance érotique, des caresses, du contact corps à corps jusqu’au rapport sexuel[1]. L’affaire a pris une tournure politique sous la pression d’associations militant pour la reconnaissance de cette pratique, mais aussi par le film « The Sessions » qui traite de ce sujet. Une lecture juridique de cet avis peut soulever quelques observations. Le Comité aborde la question anthropolotique de la sexualité de manière binaire : elle est une question qui intéresse la société, mais qui reste personnelle (I).

I_ La sexualité, une question sociale mais personnelle A_ la sexualité : conséquence d’une vie sociale et affective Like this: La libre disposition de son corps. Article_715. Suis-je libre de faire ce que je veux avec mon corps ? - Drogues info service : information, aide sur drogues alcool… Cet article ne reflète pas une opinion personnelle et ne prétend pas à l’exhaustivité. Il se veut un modeste éclaircissement du rapport entre droit de disposer librement de son corps et interdiction de l’usage de drogues. N’hésitez pas à prolonger la discussion sur le sujet dans le forum spécialement ouvert pour l’occasion. Pour commencer L’interdit concernant la consommation - même dans le cadre privé - de stupéfiants (terme désignant les drogues illégales) pose la question de savoir si j’ai le droit de faire ce que je veux avec mon corps.

Les drogues ont une action directe sur lui, par la modification les sensations, des perceptions et des réflexes. De plus, elles peuvent être nocives pour l’organisme, selon les modes de consommation (inhalation de fumée, ingestion, sniff, injection…) ou leur nature (certaines sont toxiques pour le cerveau, d’autres pour le foie, d’autres encore pour le cœur…). D’un autre côté, je suis censé pouvoir disposer librement de mon corps.

Un droit garanti… Dossier : Mon corps m'appartient ! Prostitution : Pourquoi et comment j'ai viré anti-abolitionnisme.