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Théorie du genre à l'école : comment Facebook et les SMS servent à blanchir la rumeur. SMS reçu par un parent d'élève le 21 janvier 2014 (capture LePoint.fr) Cet appel au "boycott d'un jour de classe" a ceci d'intéressant qu'il est très politisé, très réfléchi, et que les réseaux sociaux et autres canaux viraux ont servi à blanchir son origine. Nous ne sommes pas face à un mouvement spontané d'internautes, mais face à une instrumentalisation mûrement réfléchie.

"Je l'ai vue sur Facebook" J'ai discuté la semaine dernière sur Facebook avec des gens qui parlaient de cette "théorie du genre qu'on enseigne à nos enfants à l'école". Ils étaient scandalisés. Je leur ai demandé d'où provenait cette "information". On touche ici au fonctionnement même de la rumeur. Des interactions créées pour faire un effet de masse C'est exactement ce qu'il s'est passé avec cette supposée "théorie du genre" enseignée à l'école et à l'origine du "jour de retrait".

Cet effet de masse s'est appuyé sur les réseaux sociaux, sur des listes de mails et sur des chaînes de SMS. L'agenda médiatique à l'épreuve des réseaux sociaux - Le blog de François Kuss. Jeudi 1 novembre 2012 4 01 /11 /Nov /2012 15:19 Parce que les médias sociaux n'existaient pas il y a encore dix ans, parce que leur démocratisation et leur usage n'étaient pas encore si large il y a ne serait-ce que cinq petites années, force est d'admettre que leur rôle dans la définition de l'agenda médiatique demeure pour l'heure, relativement sous-estimé.

Quelques prémices avaient déjà émergé lorsqu'en 2005, à l'occasion du référendum sur le traité constitutionnel européen, des bloggueurs porteur du NON avaient fait irruption dans le débat médiatique qui fonctionnait en vase-clos autour du OUI, démontrant ainsi qu'au delà de l'opinion publiée, il existait une opinion publique qui pensait autrement. Depuis, la déferlante des médias sociaux a fait de tout citoyen non seulement le récepteur d'une communication descendante traditionnelle de la part des médias et des institutions, mais avant tout un émetteur de contenus (vidéos, photos, articles, inforgaphies, etc..).

Sonar - #BringBackOurGirls, quand les réseaux sociaux font l'agenda médiatique. Martin Schulz crée le buzz sur les réseaux sociaux. 01net. le 22/05/14 à 18h48 Parce que les élections européennes ne passionnent pas les foules, on s’attendait à ce que les candidats à la présidence de la Commission ne suscitent pas beaucoup d’intérêt non plus sur les réseaux sociaux. Eh bien ce n’est pas le cas. La plate-forme Focusmatic a scruté pour 01net le nombre de messages portant sur les candidats ou émis par eux sur Twitter, Facebook, Youtube, les forums, les blogs et Instagram du 12 au 12 mai. Et les résultats montrent que ces hommes politiques suscitent même presque autant d’enthousiasme que nos candidats les plus médiatisés au Parlement.

Martin Schultz est le plus cité Ainsi, Martin Schulz, le prétendant du groupe socialiste européen, a été cité dans 15 000 messages cette semaine. Les discussions autour des candidats sont focalisées sur l’économie Lorsque l’on analyse la teneur des messages émis par ou sur les candidats à la présidence de la commission, seules deux thèmes ressortent nettement. Lire aussi :

Le Brésil fait sa révolution en ligne. Le fact checking jouera-t-il un r?le dans la campagne pr?sidentielle ? Le fact checking est-il une pratique qui fera trembler le monde politique ? La vérification des faits en temps réel permet de mettre le doigt sur les incohérences des discours politiques. A l’occasion d’une séance du Social Media Club à la Cantine (Paris 2è) le 23 janvier dernier, nous avons pu aborder cette question : « Le fact checking va-t-il influencer la campagne présidentielle 2012 ? ». Cette pratique a trois impacts majeurs sur la campagne la présidentielle : elle donne un nouveau rôle au web dans le débat, elle renouvelle l’intérêt pour la précision dans les discours politiques, elle apaise et elle enrichit le débat. > De nouveaux outils de vérification grâce au numérique Le fact checking est clairement un produit du web. Un des exemples les plus intéressants de ce que permet le fact checking ? De plus, sur le web, le fact checking provoque un télescopage de la réaction rapide et de la réflexion profonde.

> Renouveler l’intérêt pour le travail d’enquête Pour aller plus loin : Twitter: l'attaque des robots hollandistes. - Gundam / Dr Colossus via FlickrCC License by - Mercredi 28 septembre, 20h50. Quelques minutes après la fin du deuxième débat entre les candidats de la primaires citoyenne, le mot-clé «fhollande» s'emballe sur Twitter. Plusieurs centaines de tweets similaires sont postés quasiment en même temps. publicité Mais que se passe-t-il? En fait, l'équipe de campagne de François Hollande vient d'appuyer sur un bouton et a ainsi activé son armée de robots humains. François Hollande reprend là une idée des Jeunes Populaires de l'UMP qui ont mis en place un service un peu similaire, Twitpop, une légion de «moutons 2.0» comme l'écrivait Diego San sur le site du Nouvel Observateur.

Comme un vulgaire marchand de viagra, François Hollande se lance donc dans le spam. Il faut en fait valider à l'aveugle la case pour pouvoir ensuite les découvrir. En somme, l'équipe de François Hollande peut tout faire sur le compte Twitter du militant, sauf lire ses messages privés et voir son code confidentiel. Crise à l'UMP : Nadine Morano supprime un tweet embarrassant. LE SCAN POLITIQUE - «Pour les menteurs et fraudeurs la sanction doit être exemplaire assortie d'une inéligibilité à vie», écrivait l'ancienne ministre en 2013. Un message supprimé lundi soir du réseau social. «Pour les menteurs et fraudeurs la sanction doit être exemplaire assortie d'une inéligibilité à vie». C'est ce qu'écrivait Nadine Morano sur Twitter il y a environ un an, au lendemain des aveux de Jérôme Cahuzac sur l'existence d'un compte en Suisse.

Une déclaration qui prend un autre relief, alors que Jean-François Copé est empêtré dans un scandale de fausses factures liées au financement de la campagne de Nicolas Sarkozy. L'ancienne ministre, proche du président de l'UMP démissionnaire et de l'ancien chef de l'État, l'a bien compris. C'était sans compter sur la vigilance des internautes, qui ont rapidement repéré la suppression du tweets et se sont amusés à partager le message sur leur propre compte. On buzze - E-reputation : haine et passion et Jean François Copé… Publié le 28 mai 2014 La démission du président de l’UMP suite à l’affaire Bygmalion a transcendé le Web. Analyse de cette « transe » amplifiée comme il se doit par les médias sociaux. Par Franck Perrier d’Idaos… Au lendemain de l’annonce de la démission du président de l’UMP Jean-François Copé, nombre de conversations traitant de ce thème a explosé sur les différentes plateformes conversationnelles (réseaux sociaux, blogs, forums, sites médias...).

Retour sur les principaux chiffres au travers d’une analyse livrée par France Perrier de l’agence Idaos aidée de Linkfluence… Quelle volumétrie pour les conversations ? Ce premier graphique nous présente les évolutions volumétriques des conversations autour de Jean-François Copé entre le 25 mai et le 28 mai. Premier constat : les conversations liées à l’affaire Bygmalion étaient depuis quelques jours en augmentation permanente essentiellement sur les sites de médias, les forums et quelques blogs. Franck Perrier. Le gouvernement Américain veut créer un détecteur de sarcasme pour Twitter. Twitter peut rendre compliqué le travail des services secrets chargés de prévenir d’éventuels actes de terrorismes. Compliqué, car certains s’amusent à faire du sarcasme ainsi que des blagues douteuses sur le sujet. On se souvient par exemple de l’adolescente qui avait menacé American Airlines pour le lulz il y a quelques mois.

Mais le Département américain de la Sécurité Interieure veut trouver un moyen de différencier les vraies menaces des fausses. En effet, l’agence a publié une appel d’offres pour développer un logiciel capable de repérer le sarcasme ainsi que les fausses menaces sur Twitter. Le web n'est pas aussi méritocratique que vous le pensez - World Economic Forum. Les actions décentralisées des citoyens peuvent-­elles régénérer la démocratie.

L’activisme en ligne et le combat pour les libertés internet préfigurent-ils un renouveau de la relation entre citoyens et politiques ? C’est ce qu’avance Philippe Aigrain, l’un des fondateurs de la Quadrature du Net, qui voit dans les processus participatifs inédits qui naissent au croisement des technologies et de la participation citoyenne, un espoir à la crise économique et démocratique européenne. Ces alternatives sont-elles notre seul espoir face à l’horizon de politiques régressives, autoritaires et xénophobes ? La crise démocratique La démocratie est par nature toujours en crise : les citoyens des régimes démocratiques leur reprochent d’échouer à atteindre les objectifs qu’ils affirment viser, ou même doutent de leur capacité à le faire.

Alors que la révolution numérique a rendu possible qu’un nombre croissant d’activités se déroule sans transactions monétaires, la pensée politique est dominée par un économisme étroit. Les réponses citoyennes à la crise démocratique. Twitter : grand gagnant des élections américaines ? Le 22 octobre s'est tenu le dernier débat opposant Barack Obama à Mitt Romney. Si l'heure est à l'analyse, il semblerait que ce soit les utilisateurs de Twitter, et non pas les bloggeurs ou les experts, qui décideraient des vainqueurs dans leur course à la présidence américaine.

C’est en tout cas ce qu’écrit Stephen Mills sur le site du Guardian. Explications. « L’élection présidentielle américaine de 2012 montre clairement que le court moment où les blogs politiques ont façonné le discours politique est terminé et que nous sommes maintenant dans l’ère de Twitter » explique le journaliste. Petit retour en arrière pour mieux comprendre : en 2008, les blogs politiques étaient les principales armes des partis et des militants pour porter leurs idées en ligne.

Combiné au multi-écran, le réseau social s’est mué en terrain d’arbitrage, et exerce désormais une pression majeure sur les personnalités politiques, notamment dans la campagne présidentielle américaine. Elections américaines : Twitter traque les candidats tweet après tweet. Twitter vient de mettre en ligne une carte interactive qui mesure la popularité des tweets des candidats Obama et Romney dans chaque état américain.

Le dispositif s’ajoute aux outils crées par Twitter pour prendre le pouls de la campagne d’un Etat à l’autre, et permet de risquer quelques pronostics pour certains « Swing states », ces Etats qui balancent entre les deux partis. Le magazine Wired consacre un article à cette initiative et tente d’en comprendre les motivations. > Les « territoires sensibles » : mode d’emploi Le concept est plutôt simple : la carte interactive évalue la popularité des tweets de Barack Obama et de Mitt Romney dans chaque Etat, ce qui permet aussi de savoir quelles sont les thématiques-clé de la campagne pour chaque territoire.

Il suffit alors de cliquer sur un Etat pour voir quels sont les tweets les plus relayés et cités par les utilisateurs du réseau, au niveau local. > Une évaluation plus qualitative que quantitative. Européennes : laudience des candidats sur les réseaux sociaux. 01net le 19/05/14 à 19h04 Qui sont les stars de ces élections européennes sur les réseaux sociaux ? La plate-forme Focusmatic a scruté pour 01net le nombre de messages portant sur les candidats ou émis par eux sur Twitter, Facebook, Youtube, les forums, les blogs et Instagram depuis le 1er avril. Première surprise : aucun membre du PS ne figure dans le top 10 des candidats ! La première place du palmarès est trustée par Marine Le Pen (Front National) qui monopolise 25% de messages. Elle est suive par Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche) avec 17 % et Christine Boutin (Force Vie) avec 14%.

Un trio de choc qui se distingue également par ses pics d’audience, beaucoup plus marqués que ceux des autres hommes politiques. « Les extrêmes dominent l’audience parce qu’ils sont contestataires vis-à-vis de l’Europe. Notons que la très grande majorité des messages mentionnant ces candidats ne sont pas émis par leur propre camp. Retrouvez l’intégralité de notre dossier sur les Européennes 2014. Twitter s'est affolé durant le débat PS. Le Web, cet espace méritocratique. Vraiment ? Buzz : #BringBackOurGirls – Le hashtag qui secoue (enfin) le Nigéria et le monde.

‏La mobilisation des réseaux sociaux sous le hashtag « Bringbackourgirl » a atteint désormais le monde entier. L’ampleur du phénomène ressemble maintenant à celle atteinte pour sauver Malala, l’adolescente afghane grièvement blessée par les Talibans pour être allée à l’école. L’enjeu, au-delà du sort des adolescentes disparues, est plus large. Boko Haram, le nom des extrémistes qui les ont enlevées et assurent maintenant qu’ils les vendront ou les marieront de force, peut en effet se traduire par « L’éducation (occidentale) est un péché ».

Au Nigéria, dans la confusion, la leader des manifestations pour obliger le gouvernement à agir a été arrêtée, mais là aussi, les réseaux sociaux sont à l’attaque et acculent les politiques. Mary J. Aux Etats-Unis, un mea culpa commence. Des stars telles que Mary J.