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Photo symbiose vers de Roscoff

L’épigénétique? - Souris tachetées et méthylation - Epigenome NOE. SVT Lycée Charles de Gaulle biologie géologie. Expression genes homeotiques. Lichens of Belgium, Luxembourg and northern France. Mutualymbio67.pdf (Objet application/pdf) Lichens.pdf (Objet application/pdf) .: Cryptogames :. Qu'est-ce qu'un lichen ?

.: Cryptogames :.

La définition d'un lichen reste un sujet difficile. La définition la plus commode est celle qui consiste à reconnaître un lichen comme une entité morphologique et physiologique autonome, composée d'au moins un champignon (appelé le mycobionte) et d'au moins un partenaire photosynthétique, c'est-à-dire capable de fixer le dioxyde de carbone grâce à la lumière, et dès lors souvent qualifié d'algal (appelé le photobionte). Si la dualité de tout lichen est maintenant bien connue, on ignore souvent que des cas sont connus où un champignon est associé à deux photobiontes, ou encore où un champignon croît sur d'autres lichens dont il détourne le photobionte pour se lichéniser avec lui, aux dépens du "thalle d'origine". La définition d'un lichen est donc d'abord pratique et n'a guère de sens en terme de biologie de l'évolution. Pour en savoir plus [pdf], bibliographie [pdf] Phaeophyscia orbicularis (Necker) Moberg (Un lichen)

Phaeophyscia orbicularis est un lichen foliacé à lobes rayonnants très répandu et très fréquent sur toutes sortes de substrats,ici sur un rebord de fenêtre exposé au nord.Le diamètre du thalle de couleur gris-vert peut atteindre 4 cm.Le spécimen exposé fait 2 cm de diamètre: Les lobes sont larges de 0.2 à 1.2mm.Ils sont bordés par des cils ou rhizines couvrant aussi la face inférieure du thalle.Des soralies sont réparties sur le thalle.A la dessiccation,le thalle change de couleur et vire vers le gris clair,comme c'est le cas au bord du spécimen suivant: Les rhizines grises au bord du thalle sont noires en-dessous: Apothécies et soralies sont présents sur le thalle.Les soralies forment de petits amas arrondis de couleur vert-clair: Les soralies ,agents de reproduction végétative , sont constituées de médulle (hyphes et cellules algales):

Phaeophyscia orbicularis (Necker) Moberg (Un lichen)

Genome moustique resistant. - Séquences nucléiques partielles du super locus A/B (afin de faciliter les traitements des séquences, on a limité la séquence de chaque gène aux 69 premiers nucléotides + codon stop; les gènes sont séparés par 12N, correspondant à des séquences non codantes)

genome moustique resistant

Sequences genes proteines. Rétrovirus. Théorie endosymbiotique. Mycorhize. Quelque soit le groupe systématique considéré, la stèle racinaire, l'ensemble continu que forme le xylème primaire et le phloeme primaire dans la racine, est une actinostele.

mycorhize

Celle ci peut présenter un seul pole xylemien (actinostèle monoarche) ou plusieurs pôles xylemiens (actinostèle pluriarche). Chez tous les végétaux vasculaires actuels, l'actinostèle est toujours exarche : les pôles xylemiens sont toujours situés vers l'extérieur de la coupe, montrant une différenciation centripète. La stèle, par définition de nature primaire, reste parfaitement visible, ainsi que les tissus primaires propres à la jeune racine : endoderme, pericycle et rhizoderme pouvant être doublé de l'exoderme. Tout cet ensemble reste parfaitement observable dans les racines jeunes chez tous les groupes. Elles restent permanentes dans les familles ne développant pas ou peu de structures secondaires, c'est à dire chez les Pteridophytes, les Liliopsides et quelques Magnolopsides primitives.

Racines aériennes. Association mycorhizes. La symbiose mycorhizienne par Jean Garbaye. Jean Garbaye a consacré sa carrière à l’étude de l’écologie forestière et notamment de la symbiose mycorhizienne.

La symbiose mycorhizienne par Jean Garbaye

Interview avec un chercheur qui a les pieds sur terre. Vous avez travaillé trois ans sur ce livre, et consacré votre carrière à la symbiose mycorhizienne. Pourquoi tant d’intérêt ? La symbiose mycorhizienne, bien que connue depuis la fin du XIXème siècle, a très longtemps été considérée comme un phénomène anecdotique. Pourtant l’immense majorité des plantes terrestres ne pourraient pas vivre sans cette association avec les champignons. Celles qui peuvent se passer de cette symbiose doivent forcément être en contact direct avec l’eau et les minéraux : il s’agit des plantes aquatiques, et celles qui vivent sur un sol nu, sans matière organique, comme les plantes de talus ou de haute montagne.

Si ce mécanisme est si répandu, pourquoi n’est-il pas plus connu ? Developpement chauve souris. 1 - Chauve-souris et souris : comparaison des membres antérieurs Ce document permet d'insister sur l'homologie des membres antérieurs de la souris et de la chauve-souris avec notamment la reconnaissance des 3 mêmes segments (stylopode, zeugopode, autopode).

developpement chauve souris

En admettant que le membre antérieur de la souris représente l'état ancestral des membres antérieurs des mammifères, il conduit à dégager les états dérivés des membres antérieurs de la chauve-souris : allongement général du membre, surtout du zeugopode et de l'autopode, avec existence d'une membrane alaire soutenue par le doigt II et surtout les doigts III, IV et V (ces doigts ne sont donc pas libres). S'agissant de l'autopode l'allongement est considérable au niveau des métacarpiens et des phalanges des doigts II, III, IV et V.

Cette comparaison permet d'introduire le problème à résoudre, celui de la nature des innovations génétiques qui ont conduit à cet état dérivé.