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New Google tool lets you share email when you die — but not your books and music. Google users can share access to email and social media from beyond the grave thanks to a new feature that sends out password information if a user has been offline for a long time. The tool comes at a time when people are leaving beyond fewer physical artifacts like letters or photographs for loved ones to remember them by. The new “Inactive Account Manager” is intended to help users manage their “digital afterlife,” said Google in a blog post on Tuesday. The tool works by instructing Google to email passwords to as many as ten “trusted contacts” in the event that a user has not signed in for three or more months. Alternately, users can tell Google to simply delete the accounts; in either case, users receive a text message before Google takes action.

You can find the tool by going to Settings -> Accounts in your Gmail account or by clicking the link in Google blog. Here’s a screenshot of what it looks like: Tool box - Cómo organizar la muerte digital, en plena vida física. Cada ser humano elige cómo pararse ante su propia muerte. Para algunos pensar en el día en que ya no se los contará entre los vivos es un asunto definitivamente desagradable y, como tal, deciden no invertir esfuerzos vitales en hacerlo. Otras personas optan por planear cada paso de su tránsito por el mundo, y por eso también proyectan aspectos de su muerte: quién se quedará con cuáles de sus posesiones materiales, quién cuidará a su ser más preciado, qué dirá su obituario y cómo deberá organizarse su funeral.

En medio de estos extremos los matices son variopintos. Pero sólo en contadas ocasiones los adultos del presente, incluso los más organizados, deciden planificar su muerte digital en vida. A esta altura del partido, en la que hasta la persona menos adepta a la tecnología tiene al menos una decena de cuentas virtuales entre correo electrónico, redes sociales y alguna otra herramienta digital, el hecho llama la atención. ¿Qué pasará con tu cuenta de Facebook cuando mueras? Le concept de cimetière virtuel fait du chemin | Martin Francoeur | Actualités. L'idée n'est pas complètement nouvelle. Des firmes privées et des salons funéraires, notamment aux États-Unis, offrent cette possibilité à des particuliers qui souhaitent léguer du matériel graphique, vidéo ou audio sur support informatique. Le hic, c'est que personne ne peut assurer une pérennité à ces legs qu'on souhaite laisser, comme une trace de notre passage sur terre.

Andréa Richard, ex-religieuse qui a mené plusieurs combats pour la laïcité, s'intéresse à cette idée de «cimetière virtuel». En gros, résume-t-elle, il s'agit d'un espace qu'on pourrait réserver sur un site web pour placer de la documentation sur la vie de quelqu'un. Pas besoin, insiste-t-elle, d'être quelqu'un de connu. Le concept est semblable à celui des cimetières. Leur instinct a été de se tourner vers les villes. Une récente rencontre avec le maire de Trois-Rivières, Yves Lévesque, a permis de mettre en lumière certains écueils potentiels.

«Un projet comme ça, ça m'interpelle. Internet : éternité virtuelle vs mort numérique. La Cnil a publié coup sur coup, les 29 et 31 octobre, deux intéressants articles intitulés respectivement "Mort numérique : peut-on demander l’effacement des informations d’une personne décédée ? " et "Mort numérique ou éternité virtuelle : que deviennent vos données après la mort ? " et qui évoquent cette situation étrange de sites ou de blogs qui persistent en ligne après la mort de leurs auteurs, simplement par absence de notification du décès de ces personnes.

C 'est un des aspects ultimes de l'e-réputation (cyber- ou web-réputation, ou encore réputation numérique) d'une personne. Le phénomène n’est pas forcément que sur Internet et chacun sait que longtemps après la mort d’une personne, les entreprises de démarchage par correspondance continuent d’envoyer des courriers postaux aux défunts, tant que quelqu’un ne leur a pas notifié le décès de la personne ou formulé une simple demande de radiation.

Le concept de mort numérique et ses incidences juridiques Un mini-guide des démarches. How to be prepared for death in a digital age. Death isn’t something most of us want to spend time thinking about, but it is inevitable for all of us, and we need to think about passing on our digital assets as well as our physical and financial ones. Most of us know that we should have a will and beneficiaries designated on investment accounts so that our assets are distributed to the right people, but many people don’t even take this first step. However, those of us who live and work online really need to go further, and think about how our loved ones should have access to our digital assets, accounts and information. This is a very personal post for me, since I am dealing with the sudden death of my father, a fellow geek and web worker. He died without a will and without any way for us to access his password-protected computers.

He did freelance work for clients as well as in-home computer repair for individuals. Here are a few things that you should consider: Password management. Photo used courtesy of Ken Mayer.