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Mars

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« Sans Kadhafi, la Libye serait un paradis. Mais la moitié de Tripoli le soutient ! » La guerre de Libye va-t-elle être un échec de plus? Libye: « les troupes sont déliquescentes des deux côtés» Libye : une guerre juste mais mal engagée. Libye, ingérence, une nouvelle controverse de Valladolid? Libye : faut-il intervenir au sol contre Kadhafi ? Libye: Le double jeu de la Ligue arabe. Béji Caïd Essebsi : «la Libye est une affaire intérieure tunisienne»

Libye-Côte d’Ivoire: l’ingérence à géométrie variable. Libye: soutien mitigé des peuples arabes à l'intervention militaire. En Libye, Kadhafi continue à faire le zouave. La Libye fait tourner les têtes des intellos et des politiques. Libye: il faut saluer l'action de Sarkozy. (capture d'écran Dailymotion - BFMTV - cc) On pouvait ne plus y croire, mais la note d’Alain Juppé sur son blog pouvait laisser présager une issue plus positive : le ministre des Affaires étrangères pouvait-il s’exprimer de la sorte s’il ne croyait plus à une intervention ? L’essentiel est là, une coalition internationale va intervenir en Libye. Du même auteur L’espoir renaît à Benghazi Comment ne pas se sentir fier et heureux de la décision prise par le Conseil de Sécurité? De la France et de l’Union Européenne Cet épisode démontre également que, contrairement à ce que les déclinologues avancent, la France fait partie des quelques pays qui peuvent encore changer le destin de l’humanité.

Libye: l'Allemagne entre incertitude et cynisme. Intervention en Libye : enjeux militaires, diplomatiques et juridiques. Libye : pour une fois, Sarkozy aurait-il raison ? (capture d'écran Dailymotion - BFMTV - cc) Du même auteur Chère Lana, En 1999, tu étais fier de moi parce que je dénonçais les conditions dans lesquelles la France avait capitulé devant le diktat de Madeleine Albright. La secrétaire d’Etat de Bill Clinton était arrivée à la hâte à Rambouillet, pour bousiller l’accord obtenu par Hubert Védrine notamment. A chaque fois, Lana, il m’est apparu que tu étais davantage attristée par ce que tu entendais en boucle sur télés, radios et ce que tu lisais dans les journaux que par les décisions en elles-mêmes. Libye: pourquoi personne n'intervient? (capture d'écran Dailymotion - euronews-fr - cc) Du même auteur Et voilà, ça discutaille, ça discutaille, et comme d'habitude, les tyrans écrasent leurs populations.

L'ONU vote des résolutions, alors que l'urgence serait d'assurer un appui aérien aux insurgés libyens. Sarkozy a joué les cow-boys, mais maintenant, c'est le silence radio. Qui peut douter un seul instant que Kadhafi répandra la terreur si jamais il reprend le contrôle de son pays ? L'Europe est nullasse, comme d'habitude, à la traîne des USA dont elle n'est jamais capable de faire autre chose que de suivre le mouvement dans le meilleur des cas. Libye: la semaine de trop... Exit Juppé ! Libye : quand faut y aller, faut y aller ! Sarkozy et Cameron relancent le droit d'ingérence en Libye.

(capture d'écran Dailymotion - elysee - cc) Du même auteur Jeudi 10 mars, 15h01. Le Mariannaute Nicolas Sarkozy fait le tour des blogs. Soudain, il tombe sur un appel intitulé « Droit d’ingérence : l’Europe doit aller au bout ». La curiosité et l’excitation le saisissent d’un coup. 17h14. On sait que l’artillerie militaire est généralement précédée par l’artillerie médiatique. Libye : la France se replie sur des « frappes ciblées » Du même auteur En Libye, la communauté internationale ne sait toujours pas si elle doit agir et surtout comment le faire. Alors qu'un sommet européen doit se tenir vendredi à Bruxelles, en présence des chefs d'Etats et de gouvernements, la France apparait bien seule dans sa volonté d'intervenir militairement, à l'exception peut-être des Britanniques.La priorité serait de faire voter une résolution par les Nations-Unies, ce à quoi Paris et Londres s'activent mais sans grand succès.

Des désaccords avec les Américains se font jour : Washington reste très réservé face à l'hypothèse d'une intervention aérienne et, au cas où il faudrait le faire, souhaite que l'Otan soit impliqué. Pas question pour Alain Juppé, le nouveau ministre des Affaires étrangères. Au Quai d'Orsay, on avance ... Lire la suite sur : Secret défense. Droit d'ingérence: l'Europe doit oser aller au bout. Il faut en finir. L’actualité dramatique de ces derniers jours devrait nous pousser à vaincre nos peurs, nos réticences, nos hésitations.

Les autocrates de la planète doivent le comprendre : le monde a changé. Nous ne pouvons plus les laisser indéfiniment fouler aux pieds les droits de l’homme et insulter nos valeurs. Combien de temps encore permettrons-nous à un sanglant dictateur de massacrer son peuple ? L’heure n’est plus aux atermoiements diplomatiques, aux prudences tactiques, aux scrupules de jeunes filles : l’Occident, riche de son séculaire combat humaniste, n’a pas à douter de lui-même. L’heure n’est plus, non plus, aux concessions coupables faites aux nostalgiques des souverainetés nationales. Chacun le sait : ces dernières ne servent que de paravents derrière lesquels les dirigeants croient pouvoir se soustraire aux obligations du village global. Assez d’indulgence, assez de complaisance. Cette détermination ne doit pas souffrir d’exception. Libye: « Le droit d'ingérence est hors d'usage » Un opposant libyen: « Cibler Khadafi, oui, intervenir non ! » Libye: reportage au cœur des camps de réfugiés.

(capture d'écran Dailymotion - euronews-fr - cc) Du même auteur La révolution libyenne est en marche. Les centaines de milliers de damnés de la terre travaillant dans le pays, aussi. Mais pour eux il s’agit d’une marche forcée, une fuite éperdue pour échapper aux combats entre pro et anti-Kadhafi comme aux vexations et aux brutalités émanant quelquefois des deux côtés.

Objectif de cette transhumance chaotique: Ras Jedir, le poste frontière séparant la Libye de la Tunisie, à quelques dizaines de kilomètres des usines à touristes de Zarzis et Djerba la douce. Pendant dix jours, le sas est resté grand ouvert, suffisamment en tout cas pour que plus de 80 000 sous-prolétaires égyptiens et bengalis accompagnés de quelques milliers de Chinois, Vietnamiens et Coréens en condition notablement meilleure puissent le franchir. . « Pas question de nous laisser envahir. Sur la route de Ras Jedir, les Égyptiens ont constitué une des cibles privilégiées de l’hostilité des populations locales. Réfugiés de Libye: l'UPM ça eut payé! Théâtre d’un mouvement de contestations et de manifestations sans précédent à l’encontre du régime, alors que l’opposition se rapproche de Tripoli, la Libye n’a jamais été aussi proche du chaos. La ligue libyenne des droits de l'homme avance le chiffre de 6.000 morts dont 3.000 à Tripoli.

Outre la situation diplomatique et politique, la situation économique, la question migratoire apparaît désormais prioritaire. La situation à la frontière entre la Libye et la Tunisie a atteint un niveau critique après le passage de 70.000 à 75.000 personnes ayant fui les répressions depuis le 20 février. Une foule venant de Libye s'étendant « sur des kilomètres et des kilomètres à perte de vue » se presse à la frontière tunisienne, a déclaré mercredi une porte-parole du HCR, qui a lancé un nouvel appel pour que des « centaines d'avions soient affrétés » afin d'évacuer les gens. Environ 40.000 personnes, notamment des Egyptiens, attendent aujourd'hui à la frontière côté libyen, selon le HCR.

Libye: à Brega, sous le feu des mercenaires à la solde de Kadhafi. (Marie-Lys Lubrano : Droits réservés) Mercredi 10 heures du matin. Partis de Benghazi la veille à minuit, pour tenter de gagner Tripoli, un groupe de 25 jeunes insurgés arrive aux portes de la ville de Ajdabaia, quand un avion fait feu dans leur direction. « Rentrez dans la voiture » hurle Saleh, 25 ans à peine, tandis qu'un de ses copains se précipite sur un pick-up à l'arrière duquel est installée une batterie anti-aérienne. Il a à peine le temps de s'en servir que l'avion s'éloigne déjà vers la ville voisine. « Il faut prévenir Benghazi », crie Saleh a ses copains, « les miliciens vont reprendre Brega ! ». Une véritable armée populaire Deux heures plus tard, sous les yeux ébahis des garçons, des centaines de voitures, transportant des milliers d'hommes, armés de grenades, de Kalachnikov, de fusils, de mitraillettes, de lance roquettes, de canons et escortes par des tanks arrivent à Ajdabaia. « ALLAH wakbar!

Des journalistes sous les bombes et des ambulances en feu Du même auteur. Libye: les USA veulent sous-traiter une intervention trop risqué. (Wikimedia Commons - MSCBot - cc) Du même auteur Et l’on retrouve - à Washington - les mêmes discours, les mêmes arguments, le même mode opératoire surtout, celui qui consiste à obtenir l’assentiment de la communauté internationale et de ses institutions.

Il est question d’un dictateur. Il est question de ses agissements. Il est question de sa dangerosité, pour son peuple particulièrement. Pourtant, quelque chose a changé malgré l’apparente similitude.Cela concerne, et le passage à l’acte, et le traitement effectif de la situation sur le terrain.L’administration Obama, contrairement à celles qui l’ont précédée - celles des Bush père et fils notamment - bénéficie du recul historique et donc des leçons de la désastreuse intervention militaire américaine en Irak.