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Hongrie

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La droite hongroise fait déferler ses manifestants pour soutenir Orbán. Hongrie : « La démocratie est suspendue » - Avertissement. Basta !

Hongrie : « La démocratie est suspendue » - Avertissement

: Le Premier ministre Viktor Orbán a-t-il « enterré la démocratie » avec la nouvelle Constitution entrée en vigueur le 1er janvier 2012 ? Krisztina Keresztely et Mario Dellamaistra : C’est une claire remise en cause de la démocratie. Le changement de Constitution sert, sur le long terme, le parti politique au pouvoir. Le nouveau système électoral, à un seul tour, assure la victoire presque systématique du Fidesz (Union civique hongroise, parti de Viktor Orbán). Le nombre de signatures nécessaires pour se présenter à des élections a augmenté, ce qui écarte les petits partis. Ces décisions ne peuvent-elles pas être remises en cause ? Même après un changement de gouvernement, ces nominations et certaines lois vont perdurer : elles ne peuvent être remises en cause qu’avec une majorité des deux tiers.

La Hongrie se dit prête à régler vite ses différends avec l'UE. Par Gergely Szakacs BUDAPEST/BRUXELLES (Reuters) - Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a promis mardi à Bruxelles de travailler rapidement à un règlement de ses différends avec l'Union européenne concernant des projets de loi jugés liberticides.

La Hongrie se dit prête à régler vite ses différends avec l'UE

La Hongrie en passe d'être sanctionnée par l'UE pour déficit excessif. Le gouvernement Orban fait les premières concessions, Actualités. Hongrie: Des milliers de Hongrois se mobilisent pour sauver une radio d'opposition. Des milliers de Hongrois se sont rassemblés dimanche à Budapest pour réclamer la poursuite de la diffusion de la radio d'opposition Klub, protestant contre ce qu'ils considèrent comme une tentative du pouvoir de museler ses détracteurs.

Hongrie: Des milliers de Hongrois se mobilisent pour sauver une radio d'opposition

La manifestation intervient au lendemain d'un défilé de 100.000 partisans d'un gouvernement dans la tourmente, qui s'est dit prêt à accepter un compromis avec l'Union européenne pour s'assurer une aide financière internationale vitale. Le gouvernement de centre-droit du Fidesz, le parti du Premier ministre Viktor Orban, s'est attiré les foudres de l'étranger pour avoir pris des mesures vues par ses opposants comme une façon de faire pression sur les médias.

Des procédures judiciaires enclenchées Des journalistes favorables au pouvoir s'immiscent régulièrement dans les journaux télévisés des chaînes publiques, selon une poignée de journalistes qui a organisé le mois dernier une grève de la faim. Hongrie: Viktor Orbán, un leader autoritaire et inquiétant. (De Budapest) Qui est vraiment Viktor Orbán ?

Hongrie: Viktor Orbán, un leader autoritaire et inquiétant

Et vers quelle destinée mène-t-il son pays ? A ces questions, nombre de Hongrois paraissent n’avoir pas de réponses. A Budapest, sur les rives du Danube, l’année qui commence a pour beaucoup le goût d’une persistante gueule de bois. "On connaissait le personnage, raconte Gábor, étudiant en école d’ingénieurs, attablé dans un bar près de la place Kálvin. Mais jamais je n’aurais cru qu’il deviendrait aussi dur et radical. " En cause, la nouvelle Constitution voulue par le Premier ministre et chef du parti conservateur Fidesz, mise en application le 1er janvier.

"Rendez-nous notre Hongrie ! " Mercredi, c’est du côté de la Galerie nationale, dans le quartier historique qui surplombe la ville, que s’est retrouvée une poignée d’activistes : "Rendez-nous notre Hongrie ! " Plus loin, dans un quartier au nord de la capitale, un autre bras de fer contre le gouvernement s’est engagé. Les critiques venues de Bruxelles, de Washington, du FMI ? Hongrie : nouveau laboratoire social.

Des voix s’élèvent – dans les rues de Hongrie et dans les institutions de l’UE – contre la Loi fondamentale que le gouvernement ultra-nationaliste d’Orban vient de mettre en vigueur.

Hongrie : nouveau laboratoire social

Mais nous dénonçons une seule et même politique antisociale et antidémocratique, qu’elle soit menée par le capital transnational ou avec le label hongrois ; nous le faisons avec ceux qui, en Hongrie, ont pu voter pour l’adhésion de leur pays à l’UE en espérant (à tort) que cela les protégerait de la montée d’une extrême droite raciste, antisémite, affichant ouvertement des sigles nazis. La Hongrie a été le premier pays de l’UE (membre depuis 2004), à avoir recours aux prêts du FMI (20 milliards d’euros en octobre 2008) assortis de conditions drastiques : gel des salaires, recul de l’âge de départ en retraite à 65 ans pour les hommes et les femmes, chasse systématisée aux pauvres pour réduire ou supprimer les aides sociales, suppression massive d’emplois publics, etc. Hongrie : le site satirique Index viré du Parlement. La Hongrie en butte au dogmatisme monétaire européen.

(Dessin de Louison) Reprenons le point constitutionnel qui fâche entre la Hongrie et l’Union Européenne. « La tension monte entre la troïka — Commission européenne, Fonds monétaire international (FMI), Banque centrale européenne (BCE) — et Budapest.

La Hongrie en butte au dogmatisme monétaire européen

En cause, deux lois, proposées par le gouvernement conservateur de Viktor Orbán et adoptées fin décembre par le Parlement hongrois, visant à réduire l’indépendance de la Banque centrale de Hongrie... » (Libération, 3 janvier ). L’indépendance des banques centrales est un principe inscrit dans le traité de Maastricht et farouchement défendu par la BCE et par l’Allemagne. L’affaire est assez grave pour qu’une visite de la Commission européenne et du FMI à Budapest ait été interrompue mi-décembre. Daniel Cohn Bendit : sus à la Hongrie et sa « constitution stalinienne » !