background preloader

Argentine

Facebook Twitter

Les quartiers enclos à Buenos Aires : la ville privatisée ? 1Depuis le début des années 1990, la région métropolitaine de Buenos Aires a été le théâtre d'importantes mutations urbaines.

Les quartiers enclos à Buenos Aires : la ville privatisée ?

Avec ses 12 millions d'habitants, Buenos Aires est la capitale hypertrophiée d'un pays qui a été le “bon élève” du FMI et de la Banque mondiale pendant toutes les années 1990 et a connu, outre une vigoureuse croissance économique, un véritable changement de paradigme socio-économique, amorcé en fait dès la dictature militaire (1976-1983). En effet, l'économie et la société, dans le modèle de développement qui prévalait jusque-là étaient très encadrées par l'État, à travers de grandes entreprises publiques et d'importants syndicats qui géraient pour leurs membres aussi bien les caisses de sécurité sociales que des complexes balnéaires. 2Parallèlement à ces mutations socio-économiques, le paysage urbain a évolué.

La capitale argentine a connu un important boom immobilier sur un segment très spécifique du marché. Du dirigisme au laissez-faire. Argentine, Buenos Aires. Capitale fédérale de l'Argentine, Buenos Aires, ville de près de 11 millions d'habitants est située sur la rive ouest du Rio de la Plata qui sépare l'Argentine de l'Uruguay.

Argentine, Buenos Aires

Fondée en 1536 par Pedro de Mendoza et nommée alors Nuestra Señora Santa Maria del Buen Aire en souvenir des vents cléments qui avaient mené son bateau jusqu'au Rio de la Plata. Ville Port, Buenos Aires est la plaque tournante du commerce et de l'administration . Argentine. Argentine : guide voyage Argentine. Dictature argentine : Les responsabilités civiles et économiques convoquées. La parole a un sens.

Dictature argentine : Les responsabilités civiles et économiques convoquées

La sémantique tient son rôle. On ne parle plus de dictature militaire mais bien de dictature civilo-militaire en Argentine car cela couvre tous les pans de la société. Les années passant, alors que le travail de mémoire et de justice avance en Argentine malgré les embûches, la pieuvre apparaît sous de nouveaux contours, ou plus exactement sous son vrai jour, moins limitatif que le seul joug militaire.Au fil des enquêtes et des procès impliquant des membres de l’armée, de la police ayant participé aux exactions de la dernière dictature, une vérité plus criante émerge. Ils ne sont pas les seuls coupables ou complices.