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Dossier

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Action de la Morphine sur l’organisme - avec definition douleur. Dans cette partie nous allons nous intéresser à l’effet antalgique de la morphine. En effet on constate qu’après injection de morphine, le sujet ne ressent plus de douleur. On peut alors se demander où et comment cette substance agit-elle précisément dans notre organisme ? Pour répondre, il est nécessaire d’étudier avant plus en détail le fonctionnement de la douleur. 1) Le mécanisme de la douleur D’après l’IASP (International Association for the Study of Pain) : « La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite en des termes évoquant une telle lésion ». →Mais a quoi peut-elle servir ? Il existe une maladie génétique extrêmement rare, l’analgésie congénitale ou le sujet ne ressent aucune douleur. Mode d'action et fonctionnement de la morphine. - TPE Morphine. Mode d'action de la morphine A.

Mode d’injection La posologie varie selon le patient, en effet la prescription des doses peut être modifiée selon différents facteurs tels que : -l'âge du patient. -le poids du patient. -l'état de santé du patient. Elles peuvent donc ainsi varier de 20 à 200 milligrammes par jour et ensuite être augmentées en fonction de la réponse du patient. 1. 2. 3. Réservée au milieu hospitalier spécialisé, sous surveillance stricte ; posologie à déterminer en fonction des cas cliniques. B. Les différents types de douleur : Le système nerveux périphérique (SNP) est la partie du système nerveux formés de ganglions et de nerfs qui fait circuler l'information entre les organes et le système nerveux central (SNC) et réalise les commandes motrices de ce dernier.

Les nocicepteurs sont classés en 2 groupes fonctionnellement distincts : ceux qui répondent à des stimulations mécaniques intenses et ceux qui répondent à d’autres types de stimuli nociceptifs**. 2. 3. C. Allo docteurs - Vidéos. NEUROMATRICE DE LA DOULEUR. Quand on se cogne un orteil sur une roche, on ressent une douleur à cet endroit précis de notre corps. Cette douleur est souvent si vive et bien localisée qu’on a presque l’impression que c’est l’orteil qui a mal. Bien sûr il n’en est rien. Les fibres nociceptives de l’orteil transmettent d’abord leurs influx nerveux à la moelle épinière qui les transmet à son tour au cerveau.

Et c’est l’activité nerveuse de certaines régions du cerveau qui va alors nous faire ressentir de la douleur à cet endroit précis. Puis nous faire crier de gros mots, frotter notre orteil, l’éloigner de la source du danger, etc. Quelles sont ces régions et comment collaborent-elles pour nous faire ressentir les nombreuses propriétés de la douleur (localisation, intensité, type de douleur, charge affective négative, etc.) ? Les voies ascendantes de la douleur vont ensuite faire escale dans le grand relais sensoriel qu’est le thalamus. La douleur. EVITEMENT DE LA DOULEUR. On n’observe pas toujours de corrélation entre l’intensité de la douleur et l’importance de la lésion.

Par ailleurs, un même stimulus douloureux ne provoquera pas la même réaction chez différentes personnes. Et une personne donnée peut même réagir très différemment à un même stimulus douloureux, au fil des jours, des mois ou des années. Si notre expérience subjective de la douleur varie ainsi, c’est que de nombreux facteurs influencent sa perception. Il y a d’une part des facteurs biologiques ou génétiques comme le sexe de la personne, le taux de certaines de ses hormones ou sa capacité de réponse au stress. On sait par exemple que le seuil de la douleur varie chez la femme en fonction de son cycle menstruel.

Plusieurs études ont aussi démontré que le seuil de tolérance à la douleur des femmes est inférieur à celui des hommes. De plus, l'hormone mâle, la testostérone, aide à masquer le sentiment d'inconfort de la douleur. Douleur : mécanismes, rôle des enképhalines, de la morphine. EXPERIENCES POSSIBLES.