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Etude

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Coopération entre professionnels de santé : publication de l’arrêté d’application. Ces coopérations consistent en un transfert d’activités ou d’actes de soins, voire en une réorganisation du mode d’intervention auprès des patients, dans la limite des connaissances et expériences des professionnels.

Coopération entre professionnels de santé : publication de l’arrêté d’application

Ces derniers peuvent s’engager, à leur initiative, dans une telle démarche si celle-ci répond à un besoin de santé dans un territoire de santé. La démarche de coopérationconcerne tous les professionnels de santé et quel que soit le secteur et cadre d’exercice (salarié public ou privé, libéral, établissements de santé, centres de santé, cabinet libéral, maison de santé pluridisciplinaire…). À titre d’illustration, dans le cadre du suivi à domicile d’un patient atteint de pathologie cancéreuse, une infirmière pourra évaluer les données cliniques et biologiques du patient, adapter les prescriptions si besoin, par exemple reporter une cure de chimiothérapie, mais aussi adresser le patient à l’hôpital en cas de dégradation de l’état clinique du patient. La coopération entre les professionnels de santé. L’article 51 de la loi HPST du 21 juillet 2009 permet la mise en place, à titre dérogatoire et à l’initiative des professionnels sur le terrain, de transferts d’actes ou d’activités de soins.

La coopération entre les professionnels de santé

Ces initiatives locales prennent la forme d’un protocole de coopération qui est transmis à l’ARS. Coopération entre professionnels de santé. Mise en place d’un système d’information national dédié aux protocoles de coopération entre professionnels de santé : en quelques mots, qu’est ce que l’applicatif « COOP-PS » ?

Coopération entre professionnels de santé

Le contexte L’article 51 de la loi n°2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires pose le cadre juridique des coopérations entre professionnels de santé. Cet article est codifié dans le code de la santé publique (articles L.4011-1 à L.4011-3).Les modalités d’application des articles L.4011-1 à L.4011-3 du code de la santé publique ont été prévues par les textes suivants : Pour faciliter le développement des coopérations entre professionnels de santé, un système d’information intitulé « COOP-PS » a été élaboré. Objet de "COOP-PS" COOP-PS est une application informatique supportant le dossier à utiliser pour toute demande concernant les coopérations interprofessionnelles. Qui est concerné par "COOP-PS" ? Il comprend trois espaces : Les ARS : La coopération entre acteurs de santé. Dans son fonctionnement quotidien, l'hôpital ne peut tout faire seul.

La coopération entre acteurs de santé

Il est donc fortement encouragé à coordonner, voire à partager son activité avec d'autres structures et acteurs intervenant dans le domaine de la santé. Ceci répond à deux objectifs: une prise en charge plus globale et plus suivie du malade, ainsi qu'une optimisation des coûts. La coopération peut prendre plusieurs formes : conventions entre établissements, syndicats interhospitaliers, groupements de coopération sanitaire, communautés hospitalières de territoire... Pour leur part, les réseaux associent de nombreux intervenants - dont l'hôpital, le secteur médico-social et la médecine de ville -, souvent dans l'objectif de mieux prendre en charge une pathologie particulière (sida, toxicomanie, maladies neuro-dégénératives...). Il existe plusieurs types de réseaux : Le secret médical.

Le respect de la vie privée et le secret médical sont deux droits fondamentaux du patient.

Le secret médical

Le secret médical s'impose à tous les médecins. Il couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l'exercice de sa profession, c'est-à-dire non seulement ce que lui a confié son patient, mais aussi ce qu'il a vu, entendu ou compris (article 4 du code de déontologie médicale, article R.4127-4 du code de la santé publique). La loi a cependant prévu certaines dérogations au secret médical (voir l'annexe des commentaires de l'article 4). Le secret "partagé" entre plusieurs professionnels de santé Pour assurer la continuité des soins ou pour déterminer la meilleure prise en charge possible, les professionnels de santé peuvent avoir besoin d’échanger des informations sur le patient qu’ils prennent en charge. Les objectifs. “Hôpital, patients, santé, territoires” : une loi à la croisée de nombreuses attentes. Vademecum_loi_HPST.pdf. REGAIN Coordination - CLIC 47 - Réseau Mnémosyne - EVAL 47. Hospitalisation à Domicile - HAD 47.

Réseaux Gérontologiques Aquitains. Le Réseau Gérontologique et Alzheimer Aliénor permet d'optimiser le maintien à domicile des personnes âgées dépendantes. Une équipe pluridisciplinaire est à votre disposition pour répondre aux questions que vous vous posez et vous accueillir au sein du Centre Hospitalier Intercommunal de Tonneins, dans leurs locaux composés d'un pôle administratif et d'un pôle médico-social. Le bilan gériatrique systématiquement pratiqué sur le patient en cours d'inclusion, permet de faire un check-up complet. Il est effectué par un médecin gériatre au siège du réseau ou le cas échéant au domicile du patient, puis vient la réunion de coordination dans le respect des choix faits en présence des professionnels référents (médecin traitant, pharmacien, kinésithérapeute, infirmier, travailleur social, association d’aide à domicile et l’équipe APA du Conseil Général) . Au terme de cette réunion, les intervenants élaborent un plan d'aide adapté à la personne et à son domicile.

Notre Implantation territoriale. DPC des médecins.