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ENVIRONNEMENT DIVERS

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« C'est notre espèce qui est en danger » La destruction de la nature se fait à un rythme si « alarmant » qu’elle réduit la capacité de notre planète à fournir eau, nourriture, moyens de subsistance et qualité de vie aux êtres humains qui l’habitent. C’est le message lancé hier par 550 scientifiques internationaux travaillant sous l’égide de l’ONU, dans une série de rapports sans précédent découlant de trois ans de travail. « Les meilleures informations scientifiques, récoltées par les plus grands spécialistes internationaux, pointent maintenant vers une seule conclusion : nous devons agir pour arrêter et renverser notre utilisation intenable de la nature. C’est non seulement le futur tel que nous le souhaitons qui est à risque, mais jusqu’aux vies que nous menons actuellement », a déclaré le président de la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques, Robert Watson, dans un communiqué.

L’être humain menacé « Il faut une transformation dans la façon dont nous interagissons avec la nature. Les photos du jour. Brésil : le désastre sans précédent sur lequel tout le monde ferme les yeux... Ça y est. Il y a quelques jours, la vague de la mort a atteint l'océan Atlantique, terminant de tuer tout sur son passage et achevant, inéluctablement, la mort du Rio Doce, cinquième plus grand fleuve du Brésil. Assassiné dans son lit, le "fleuve doux" — c'est son nom, en français — abritait une multitude d'espèces animales, de poissons, d'insectes, de reptiles et d'amphibiens en tous genres.

Il apportait aussi la vie à un bon nombre de foyers situés tout le long de ses berges, pêcheurs, agriculteurs entre autres. Le 5 novembre, un barrage de déchets de minerais de fer, appartenant à la compagnie minière Samarco, cède dans l'État Brésilien du Minas Gerais. La rupture du barrage entraîne une gigantesque coulée de boues toxiques qui a littéralement submergé le village de Bento Rodrigues situé en aval, faisant au moins 13 morts. Cette photo a été prise le 24 novembre 2015 à Regencia, dans l'État d'Espirito Santo. Le Rio Doce est le cinquième plus grand fleuve du Brésil. 2 degrés ? C’est déjà trop ! L’animation choc signée WWF. Un bain de sang planétaire, c’est le symbole alarmant qu’a choisi le Fonds mondial pour la nature pour illustrer son soutien à la Conférence de Paris 2015 sur le climat. À l’approche de la COP21, l’ensemble des ONG environnementales mettent le paquet pour conscientiser l’opinion à l’importance de prendre des grandes décisions collectives maintenant afin d’éviter de dépasser la fameuse limites des deux degrés d’élévation des températures moyennes.

Fait remarquable, pour la première fois, on observe un consensus unilatéral entre les associations « divergentes / non-alignées » comme Sea Shepherd et les multinationales de l’environnementalisme comme Greenpeace. C’est au tour du WWF de faire son entrée sur le sujet avec cette vidéo alarmante où le sang des espèces menacées remplace l’alcool rouge du thermomètre. Un liquide qui, tout comme les océans, se dilate sous l’effet de la chaleur. Et non sans conséquence. Encore des doutes sur le changement climatique ? Source : catsuka.com. La Chine suffoque sous un nuage de smog | Paris Climat 2015. Pékin sous un épais brouillard Photo : Damir Sagolj Reuters Le ciel du nord de la Chine est assombri par un nuage de pollution qui force les autorités de la capitale, Pékin, à décréter une « alerte orange » pour une troisième journée de suite. Le phénomène surnommé « airpocalypse », persiste malgré la fermeture de milliers d'usines pour tenter de juguler la pollution record qui s'abat sur le pays.

L'épaisse chape de brouillard jaunâtre qui recouvre Pékin laisse ses habitants dans une lumière crépusculaire qui réduit la visibilité à quelques centaines de mètres. De nombreux Pékinois ont enfilé leur masque antipollution avant de se risquer dans les rues de la capitale. Une trentaine de vols et des trajets d'autobus interurbains ont été annulés en raison de la faible visibilité.

La pollution entraîne la formation d'un épais brouillard qui a provoqué l'annulation de plusieurs vols. L'épisode de pollution est dû à la combinaison de plusieurs facteurs dont : Pollution meurtrière. Réchauffement: même à +2°, de grandes villes menacées par la montée des eaux. Shanghai, Bombay, ou Hong Kong: sous l'effet du dérèglement climatique, de grandes villes sont vouées, à long terme, à partiellement disparaître sous les eaux, même si le monde parvient à limiter le réchauffement planétaire à 2°C, soulignent des chercheurs américains dans un rapport publié dimanche.

A + 2°C, le niveau des mers continuera à s'élever, pour couvrir des territoires aujourd'hui peuplés de 280 millions de personnes, pointe l'étude de l'institut de recherche Climate Central, publiée à trois semaines de la conférence sur le climat de Paris. Mais à +4°C, le phénomène concernerait plus de 600 millions d'habitants. "Un réchauffement de +2°C représente une menace pour l'existence à long terme de nombreuses grandes villes et régions côtières", souligne Ben Strauss, un des auteurs.

Deux cents ans (ce qui est peu probable) ou 2000, il est difficile d'estimer la vitesse à laquelle la mer va monter, souligne l'étude. - L'Asie en première ligne - Avec la pluie, ce désert s’est transformé en un gigantesque champ de fleurs roses. Le désert d’Atacama au Chili a la réputation d’être l’un des déserts les plus arides de la planète. La pluie y est extrêmement rare. La moyenne annuelle des précipitations n’est que de 0,1 millimètre, explique futura-sciences. Mais cette année, la pluie y est tombée de manière inhabituelle. Certaines régions n’avaient plus été arrosées depuis sept ans. Ces précipitations ont donné lieu à un magnifique phénomène naturel. . « L’intensité de la floraison est sans précédent cette année.

Ph. Source: NY Post. Le contraste saisissant d'enfants du monde et de leur chambre. Certains enfants grandissent dans la pauvreté, le manque de nourriture et d’hygiène, tandis que d’autres naissent dans des pays où les nécessités de base sont prises pour acquis. Le photographe James Mollison a réalisé de nombreux clichés qu’il a rassemblé dans un livre intitulé Where Children Sleep. C’est un recueil d’histoires sur les enfants du monde entier racontées à travers des portraits de leur chambre.

Dans le livre, chaque paire de photos est accompagnée d’une longue légende qui raconte l’histoire de chaque enfant. Que vous pensiez que ce soit touchant ou trop cliché, je vous invite à commenter en bas de l’article à la suite de ces photos : Alex, 9 ans, Rio de Janeiro, Brésil Bilal, 6 ans, Wadi Abu Hindi, Cisjordanie Indira, 7 ans, Katmandou, Népal Ahkohxet, 8 ans, Amazonas, Brésil Dong, 9 ans, Yunnan, Chine Juan David, 10 ans, Medellín, Colombie Ryuta, 10 ans, Tokyo, Japon Joey, 11 ans, Kentucky, Etats-Unis Anonyme, 9 ans, Côte d’Ivoire Bikram, 9 ans, Melamchi, Népal.

Environnement: Actualités, photos et vidéos. Depuis deux semaines, l'Assemblée nationale s'affaire à dépoussiérer la stratégie gouvernementale de développement durable dans l'indifférence médiatique la plus totale. Malheureusement, aucune révolution n'est à prévoir. Ce qui fait la particularité des «Earthships», c'est qu'ils sont construits à partir de matériaux recyclés: pneus usés, canettes de bière, bouteilles de plastique et/ou de vitre, de la terre, du bois et autres matériaux.

Jean-Christophe Pagé Blogueur, passionné des modes de vie alternatifs et des mouvements de contre-culture Les politiciens, concentrés sur les intervalles d'élection, ont de la difficulté à faire face aux questions générationnelles liées à l'environnement. David Suzuki Scientifique et auteur, co-fondateur de la Fondation David Suzuki Les 1700 avions qui se sont posés à Davos durant le Forum économique mondial ont rejeté dans l'atmosphère l'équivalent de 34 769 732 kg de CO2! Stéphane Brousseau Nicolas Perrino Guillaume Rousseau David Raynaud.

'Where Children Sleep' Onf.