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Représentation graphique de données statistiques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carte figurative des pertes successives en hommes de l'armée française dans la campagne de Russie 1812-1813 par Minard Histoire[modifier | modifier le code] C'est à la fin du XVIIIe siècle, avec la publication en 1986 par William Playfair (1759-1823) d'un ouvrage intitulé The Commercial and Political Atlas, dans lequel l'auteur trace une série de graphiques de séries temporelles représentant l'évolution de données économiques concernant l'Angleterre et notamment l'évolution de sa balance commerciale au cours du XVIIIe siècle, que naît la représentation graphique moderne des données.

Dans le même ouvrage, l'auteur représente aussi le premier diagramme en bâtons de l'histoire[5],[6],[7]. C'est aussi à William Playfair que l'on doit le premier graphique circulaire connu. Publié en 1801 dans The Statistical Breviary, le graphique représente la superficie, le montant des revenus et le montant des taxes de chaque pays[8]. Exemple de nuage de points. Choisir les meilleures représentations graphiques dans ses enquêtes. Articles du dossier De l'art d'utiliser le bon graphique L’automatisation de la phase de restitution des résultats renforce la propension actuelle à substituer des éléments visuels impactants aux longs discours. Encore faut-il que ces éléments remplissent leur objectif en étant à la fois clairs et bien présentés.

Jadis, quelques tableaux et graphiques venaient illustrer, dans le rapport d’étude, de multiples développements rédigés. Aujourd’hui, c’est plutôt le contraire : les textes viennent le plus souvent appuyer et expliquer des résultats communiqués principalement dans des formats visuels. Si des tableaux ou des graphiques explicites et bien présentés peuvent vraiment remplacer de longs discours, une mauvaise représentation peut être creuse, inutile, voire trompeuse. Il est vrai que l’on fait appel, dans le choix du format de visualisation à la logique et au sens de la communication. Qu’est-ce qu’un bon graphique ? Les graphiques usuels dans les études.

OWNI, News, Augmented. MOOC Comment devenir un bon datajournaliste. Le journalisme « hacker » À New York, Chicago, Londres, Helsinki ou Buenos Aires, plusieurs centaines de personnes se rencontrent régulièrement, souvent dans des arrières salles de bars ou des salles de conférences [1]. Ils sont étudiants, journalistes, programmeurs ou chefs de projet web, et ils appellent ces réunions informelles des rencontres « hacks/hackers ». « Hacks » est une façon de dénommer les journalistes tandis que « hackers » désigne des passionnés d’informatique.

À travers la présentation d’applications informatiques développées pour des sites d’information, la formation à des langages de programmation ou plus simplement la mise en relation de journalistes et de programmeurs, les animateurs de ce réseau veulent relier le monde de la presse aux mondes informatiques de façon à transformer et même « réinitialiser » le journalisme. Les liens entre la presse et les mondes informatiques se sont incontestablement développés ces dernières années. Pourquoi des codeurs s’intéressent-ils à la presse ?