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Syrie

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Syrie. Édith Bouvier serait arrivée au Liban - Conflits. International : Les blindés d'Assad à l'assaut de Homs. Sur les quatre journalistes pris au piège des combats, seul le Britannique Paul Conroy a gagné le Liban. Pris au piège des combats avec ses compagnons depuis plus d'une semaine, le photographe britannique Paul Conroy a réussi à quitter Homs encerclée et pilonnée par l'armée syrienne, pour arriver mardi matin à Beyrouth. Utilisant les périlleuses voies clandestines par lesquelles la poignée de reporters étaient entrés dans la ville, le photographe du Sunday Times a pu passer la frontière libanaise sain et sauf. Il a été pris en charge par l'ambassade de Grande-Bretagne à Beyrouth.

Mais l'incertitude demeurait mardi soir quant au sort de ses trois compagnons: notre collaboratrice Édith Bouvier et son photographe William Daniels, ainsi que le journaliste espagnol d'El Mundo, Javier Espinosa. Paul Conroy, 47 ans, avait été blessé dans le bombardement qui avait tué le 22 février dernier Marie Colvin, journaliste américaine au Sunday Times, et le photoreporter français Rémi Ochlik. Les journalistes français blessés à Homs appellent à l'aide. Confusion autour de l'évacuation de la journaliste Edith Bouvier. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Alors que la situation des deux journalistes occidentaux, restés plusieurs jours cloîtrés à Homs, semblait s'être débloquée, mardi 28 février, la confusion demeure autour du sort de la journaliste française, Edith Bouvier, que personne ne semble être en mesure de localiser précisément.

Dans un premier temps, un responsable libanais a affirmé qu'elle était arrivée au Liban, ce dont s'est félicité Nicolas Sarkozy, "heureux que ce cauchemar prenne fin". Mais le chef de l'Etat est revenu peu après sur ses déclarations, expliquant qu'"il n'est pas confirmé qu'elle est aujourd'hui en sécurité au Liban". "Je me suis montré imprécis, je m'en excuse auprès de vous" a-t-il encore ajouté, expliquant que la situation est "extrêmement complexe".

Dans la foulée, la direction du Figaro, pour qui Edith Bouvier travaille, a affirmé qu'elle n'était "pas au Liban mais toujours en Syrie", sans préciser où dans le pays. En Syrie, le régime promet une nouvelle Constitution, la répression se poursuit. Le pouvoir syrien a annoncé mercredi la tenue le 26 février d'un référendum sur un projet de nouvelle Constitution qui mettrait fin au monopole du parti Baas, au pouvoir depuis près de 50 ans, sans pour autant cesser de réprimer la révolte. «Le système politique sera basé sur le principe du pluralisme politique et le pouvoir sera exercé démocratiquement à travers des élections», assure le texte du projet de Constitution, publié par les médias officiels syriens. Aux Etats-Unis, le porte-parole de la Maison Blanche a qualifié cette annonce de «plaisanterie».

Depuis 11 mois, «les promesses de réformes ont généralement été suivies d'une augmentation des violences et n'ont jamais été concrétisées par ce régime», a déclaré le porte-parole, Jay Carney. La Russie, grande alliée de Damas, a en revanche estimé que cette idée était «la bienvenue». Le chef de la diplomatie russe doit rencontrer son homologue français Alain Juppé jeudi à Vienne pour discuter de la situation en Syrie.

M. Damas ne convainc pas les Occidentaux. Syrie. Sarkozy demande à Medvedev son "plein soutien" au plan de la Ligue arabe - Monde-France. International : Syrie : Homs pilonnée, une centaine de civils tués lundi. VIDÉO - Devant la poursuite de la répression, d'autres pays européens ont fait de même. Le chef de la diplomatie russe, en visite à Damas, a par ailleurs déclaré que Assad allait bientôt annoncer la date du référendum sur une nouvelle constitution. • La France, l'Italie, l'Espagne et les Pays-Bas ont rappelé leur ambassadeur en Syrie La France a rappelé mardi pour consultations son ambassadeur en Syrie, une décision qui fait suite à une mesure similaire prise par plusieurs pays européens.

«Face à l'aggravation de la répression menée par le régime de Damas contre sa population, les autorités françaises ont décidé le rappel en consultations de l'ambassadeur de France en Syrie», a déclaré le ministère des Affaires étrangères. Les monarchies arabes du Golfe ont quant à elles annoncé avoir décidé d'expulser les ambassadeurs syriens dans leurs pays et de retirer les leurs en poste à Damas, dénonçant «le massacre collectif» commis par le régime. • 21 civils tués mardi. International : Syrie : nouvelle nuit meurtrière à Homs. VIDÉO - Nicolas Sarkozy a demandé mercredi à Dmitri Medvedev de soutenir le plan de la Ligue arabe, afin de convaincre Assad de quitter le pouvoir. • Au moins 70 morts mercredi Alors que les violences ont fait 121 morts depuis lundi dans le pays, au moins 50 civils ont encore été tués ce mercredi à l'aube dans des bombardements menés par l'armée syrienne à Homs, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

«Depuis l'aube les bombardements ont été extrêmement intenses et ils utilisent des roquettes et des (obus de) mortier», a indiqué Omar Chaker, un militant de Homs. Selon lui, les bombardements sont destinés à préparer le terrain à un assaut terrestre. Dix-neuf autres personnes dont des femmes et des enfants ont péri ailleurs en Syrie, notamment à Zabadani près de Damas et à Rastane (centre), où les troupes ont lancé également des opérations pour faire plier ces places fortes de la contestation. Désolé, cette vidéo n'est pas disponible sur votre appareil. Syrie : pourquoi Moscou et Pékin ont bloqué l'Onu. Repères Pourquoi Moscou et Pékin ont-ils bloqué la condamnation du régime syrien à l'Onu ? Russes et Chinois ont campé sur leur ligne traditionnelle : pas d'ingérence dans les affaires intérieures. Ils ne voulaient pas de ce texte qui entérinait un plan de la Ligue arabe. Il aurait imposé à Assad de céder le pouvoir.

Même si la résolution excluait l'emploi de la force, Moscou et Pékin se méfient du précédent libyen : leur abstention à l'Onu avait, implicitement, ouvert la porte aux bombardements de l'Otan contre Kadhafi. La Russie protège son seul allié au Proche-Orient. Sa marine militaire dispose, depuis 1971, d'une base dans le port de Tartous, qui lui permet de se projeter en Méditerranée et dans l'océan Indien. Quelles conséquences aura ce veto ? Selon le plan de la ligue arabe, Bachar el-Assad aurait dû transférer ses pouvoirs au vice-Président, lequel aurait formé un gouvernement d'union nationale, chargé d'organiser des élections libres.

Syrie: Bachar el Assad bientôt destitué? Les signes s'accumulent en Syrie, qui pointent vers un retournement de situation. Pour de nombreux observateurs, il n'y a désormais plus de retour en arrière possible. Et la balle est clairement dans le camp des opposants.' 'Nous sommes à la croisée des chemins'', juge Haytham Manna, le numéro deux du Comité de coordination national pour le changement démocratique (CNCD), une des principales organisations politiques d'opposants. Lors d'une audition devant la commission du renseignement du Sénat américain, le directeur national du renseignement (DNI), James Clapper, a jugé que le départ de Bachar el Assad n'était qu'une ''question de temps''.

Quels sont ces signes? Au point de vue international, l'opposition est en train de gagner la bataille politique, en ralliant à sa cause un par un les autres pays, désormais persuadés que le départ de Bachar el Assad est une condition sine qua non. ''En moins d'un mois, la militarisation a triplé'' Un conseil militaire créé La route est encore longue. Journée décisive pour le Conseil de sécurité de l'ONU sur la Syrie. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le "Nous venons devant votre Conseil pour vous demander de prendre vos responsabilités [et] de traiter la tragédie humanitaire qui se déroule en Syrie. " L'appel a été lancé, mardi 31 janvier, par le premier ministre du Qatar, cheikh Hamad Ben Jassem Al-Thani, aux chefs de la diplomatie des Etats-Unis et de plusieurs pays d'Europe. Ces derniers étaient réunis pour une réunion au Conseil de sécurité des Nations unies destinée à soutenir le plan de paix arabe en Syrie.

"Nous ne demandons pas une intervention militaire […], nous ne sommes pas en faveur d'un changement de régime, mais nous prônons des pressions économiques pour que le régime syrien comprenne", a ajouté M. La réunion s'est ouverte à 15 heures (21 heures à Paris) par un exposé du secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil Al-Arabi, qui a enjoint l'assistance à prendre des "mesures rapides et décisives". Lire notre éclairage : "Le Conseil de sécurité face au blocage russe" Syrie: résolution de l'ONU en projet. Souvent décrite comme bureaucratique, sans poids politique, ou simplement inutile, l'ONU a joué un rôle important en Libye. En sera-t-il de même en Syrie? Depuis dix mois, l'organisation n'a quasiment rien fait, notamment en raison de la ferme opposition de la Russie à lâcher son allié de toujours.

La voilà maintenant qui reprend du poil de la bête. Un nouveau projet de résolution a été examiné à l'ONU ce mardi 31 janvier. La Ligue arabe a imploré les Nations unies de sortir de leur inaction face à "la machine à tuer" du régime syrien, mais Damas et son allié russe ne semblaient pas prêts à céder à la pression mise par les pays occidentaux au Conseil de sécurité. Les 15 pays membres du Conseil, dont plusieurs représentés par leur ministre des Affaires étrangères, ont entendu le représentant de la Ligue arabe leur demander de mettre fin à la "tragédie humanitaire" qui a fait au moins 5.000 morts depuis mars dernier, en adoptant un projet de résolution. Sanctions peu efficaces. SYRIE. L'ONU doit stopper la "machine à tuer", somme la Ligue arabe - La révolte syrienne.

Le ministre français des Affaires étrangères Alain Juppé a appelé mardi 31 janvier le Conseil de sécurité de l'ONU à sortir de son "silence scandaleux" sur la Syrie en adoptant une résolution soutenant les initiatives de la Ligue arabe. Damas fera face à ses "ennemis", a répliqué l'ambassadeur syrien à l'ONU. "Aujourd’hui, nous nous réunissons pour que cesse le silence scandaleux de ce Conseil", a lancé le ministre des Affaires étrangères lors d'une réunion du Conseil de sécurité à laquelle assistaient ses homologues américain et britannique Hillary Clinton et William Hague. "Nous sommes réunis aujourd’hui pour que le Conseil de sécurité prenne ses responsabilités face à un peuple qui souffre". Une "tragédie humanitaire" Hillary Clinton a de son côté affirmé que si le Conseil de sécurité n'agissait pas rapidement dans le pays, "la crédibilité des Nations unies" s'en trouverait amoindrie.

Opposition de la Chine et de la Russie. Syrie : répression en hausse selon les observateurs - Monde. Syrie/Ligue arabe: Bachar el Assad refuse le plan. Pas de plan arabe pour la Syrie, qui continuera à subir un bain de sang. Après la réunion de la Ligue arabe dimanche, le régime de Bachar el Assad a rejeté en bloc le plan proposé à cette occasion. Dans un discours aux accents guerriers, le ministre des Affaires étrangères Walid Mouallem a au contraire réaffirmé la détermination du régime à combattre les "groupes armés'', affirmant que le peuple syrien appuyait "la solution sécuritaire" pour mettre fin à la crise. Le plan prévoyait à terme le départ du président Bachar el Assad. Mais le ministre des Affaires étrangères a considéré qu'il s'agissait d'une "atteinte" à la souveraineté syrienne. "Fini les solutions arabes", a-t-il lancé lors d'une conférence de presse à Damas; Le ministre syrien n'a pas non plus apprécié la proposition de la Ligue arabe faite dimanche au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon de le rencontrer à New York pour lui présenter le plan de sortie de crise et demander l'appui du Conseil de sécurité.

L'émir du Qatar favorable à l'envoi de troupes arabes en Syrie - Monde. Le régime syrien annonce une amnistie générale - Monde. Mort de Gilles Jacquier : le temps des soupçons. Un autre journaliste présent sur place estime que ce drame n'est pas "le fait du hasard". L’émotion n’est pas encore retombée après le décès du journaliste Gilles Jacquier que, déjà, de lourdes questions se posent sur les circonstances de sa mort.

Le journaliste de France 2 avait obtenu un visa officiel des autorités syriennes pour effectuer son reportage. L'un de ses confrères n'hésite pas à parler de "manipulation". Gilles Jacquier, grand reporter chez France 2, a été tué mercredi à Homs, dans le centre de la Syrie. Ce dernier a été victime d’un tir d’obus ou de mortier qui est tombé en plein centre-ville, alors qu'il effectuait une sortie très encadrée au sein d'un groupe de journalistes. "Je pense qu’on a été grandement manipulé" "Nous étions à Homs dans le cadre d’un voyage autorisé par le gouvernement syrien, on nous avait promis une liberté de mouvement totale. Les médias syriens (trop) réactifs ?

Le contexte syrien alimente les soupçons. Syrie: le journaliste français Gilles Jacquier tué à Homs. Le journaliste français Gilles Jacquier, 43 ans, a été tué ce mercredi alors qu'il se trouvait en reportage à Homs, dans le centre de la Syrie. Gilles Jacquier était "en mission autorisée par le gouvernement syrien" avec un autre journaliste de France 2, pour un reportage destiné au magazine de la rédaction "Envoyé spécial". Lire le portrait de Gilles Jacquier. Gilles Jacquier faisait partie d'un groupe d'une quinzaine de journalistes en mission à Homs, place forte de la contestation au régime de Bachir Al Assad, avec l'accord des autorités syriennes, qui limitent les déplacements des médias étrangers en Syrie. Il s'agit du premier journaliste occidental tué en Syrie depuis le début de la révolte contre le régime, le 15 mars.

Les circonstances de sa mort Le témoignage de Joseph Eid, photographe de l'AFP "C'était le chaos. Le Figaro.fr rapporte lui le témoignage d'un journaliste de la BBC, Mohammed Ballout, présent dans le même voyage de journalistes: Juppé : "que toute la lumière soit faite" Journaliste tué : que s'est-il passé à Homs ? Un journaliste français tué en Syrie. Syrie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Scierie. République arabe syrienne الجمهوريّة العربيّة السّوريّة (ar) Al-Jumhūriyyah al-‘Arabīyyah as-Sūriyyah (ar) La Syrie, ou plus exactement la République arabe syrienne, en arabe Sūriyyah, سوريا et Al-Jumhūriyyah al-‘Arabīyyah as-Sūriyyah, الجمهورية العربية السورية, est un pays arabe du Proche-Orient situé sur la côte orientale de la mer Méditerranée : le bassin Levantin.

Jusqu'au XIXe siècle, la Syrie se nomme Bilad al-Cham (بلاد الشام). De février 1958 à fin septembre 1961, l'Égypte et la Syrie s'unissent brièvement dans la République arabe unie, jusqu'au coup d'État du général Haydar al-Kouzbari. En 1970, après une série de dictatures militaires instables, Hafez el-Assad, alors ministre de la Défense, prend le pouvoir par un nouveau coup d'État. Étymologie[modifier | modifier le code] L’origine du nom « Syrie » n'est pas certaine.

En 1865, il devient le nom officiel d’une province, celle du vilayet de Damas. Discours de Bachar al-Assad : "Comme d’habitude, il ressort le complot de l’étranger" - SYRIE. Syrie: le président Assad accuse des parties étrangères de chercher à "déstabiliser" le pays - Monde. Le président syrien Bachar al-Assad, dont le régime est contesté par la rue depuis 10 mois, a estimé mardi que son pays faisait l'objet d'un "complot étranger" et a promis d'y répondre, la Ligue arabe dénonçant de son côté des attaques contre ses observateurs dans le pays.

Dans un discours retransmis par la télévision, M. Assad a accusé des pays étrangers de "comploter" contre le régime. "Ce qui se passe aujourd'hui en Syrie avait été préparé pour la région depuis des décennies. Mais leur rêve tournera au cauchemar. Il s'en est pris notamment aux "médias internationaux" qui tentent selon lui "sans relâche de pousser la Syrie à l'effondrement". Il a affirmé que le rétablissement de la sécurité était "la priorité absolue" du régime, promettant de frapper les "terroristes" d'une main de fer.

"Nous allons faire face" au terrorisme et au chaos, et "les résultats seront rapides", a insisté le président syrien. Il s'est par ailleurs défendu d'avoir donné des ordres de tirer sur son peuple. M. Syrie: l'opposition s'en prend à la Ligue arabe. Syrie: la Ligue arabe veut poursuivre et renforcer sa mission. Nouvelles violences en Syrie: 21 morts - Monde. Une flotte russe accoste en Syrie. La Ligue arabe réitère son appel à Damas mais n'invite pas l'Onu. International : La Ligue arabe ménage Bachar el-Assad. Nouvel attentat sanglant à Damas. Actualités en temps réel - journal d'information.