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SQL

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Exercices

20.1 Syntaxe de CREATE TRIGGER. 15.7.4 Contraintes de clés étrangères FOREIGN KEY. Le SQL de A Z - cr ation des sch ma - CREATE, DROP, ALTER. Les assertions sont des contraintes dont l'étendue dépasse les types de données, les colonnes et la table pour permettre des règles de validation entre différentes colonnes de différentes tables.

Le SQL de A Z - cr ation des sch ma - CREATE, DROP, ALTER

Les assertions au sens de la norme SQL sont donc des objets de la base de données. La syntaxe de création d'une assertion est la suivante : NOTA : les règles de déférabilité seront discutées lors de la partie consacrée aux contraintes de table. Par exemple vous pouvez définir une règle de gestion qui indique que le montant des commandes non réglées ne doit pas dépasser 20% du montant du chiffre d'affaire déjà réalisé par le client.Pour réaliser notre exemple nous avons besoin des tables T_CLIENT, T_FACTURE et T_COMPTE, définies de manière simpliste comme suit : Dans ce cas, l'assertion prendra la forme : Exemple 56 Autre exemple, considérons que l'unicité d'une clef doit porter sur deux tables. Exemple 57 La voila la grosse partie du DDL qui vous passionne. En gros, disons que : Exemple 58 Exemple 59.

13.5.1.3 Syntaxe de GRANT et REVOKE. 13.5.1.1 Syntaxe de CREATE USER. Le SQL de A Z - la gestion des privil ges. La notion d'utilisateur possède une lacune importante dans SQL car elle fait l'impasse sur la façon dont on créé un utilisateur...

Le SQL de A Z - la gestion des privil ges

NOTA : SQL 2 a prévu des règles d'accès spécifiques pour les différentes familles d'ordre SQL. Ainsi pour la création d'un schéma (une base de donnée en fait) ou d'un catalogue (un ensemble de bases de données), il laisse la règle à l'appréciation de l'éditeur du SGBDR. En revanche pour les ordres CREATE, ALTER et DROP, l'utilisateur courant doit être le même que l'utilisateur propriétaire (auteur) du schéma modifié.

Rapellons que la création d'un utilisateur se fait au moment de la création du schéma. Par défaut ce dernier est le créateur des objets. Souvent dans les implémentation commerciales, on trouve un pseudo ordre SQL du genre CREATE USER nomUtilisateur, ou encore une procédure stockée permettant de définir un nouvel utilisateur. Ainsi, pour MS SQL Server : Exemple 1 sp_adduser 'nomConnexion', 'nomNouvelUtilisateur' Exemple 2. 5.6 Gestion des comptes utilisateurs de MySQL. 5.5 Règles de sécurité et droits d'accès au serveur MySQL. 13.2.7 Syntaxe de DROP INDEX. 13.2.4 Syntaxe de CREATE INDEX. 13.2.5 Syntaxe de CREATE TABLE. 13.1.1 Syntaxe de DELETE. 13.1.10 Syntaxe de UPDATE. 13.1.4 Syntaxe de INSERT. 13.3.1 Syntaxe de DESCRIBE (obtenir des informations sur les colonnes) 13.2.2 Syntaxe de ALTER TABLE.

13.2.8 Syntaxe de DROP TABLE. 13.1.7 Syntaxe de SELECT. Le SQL de A à Z - le SELECT sur plusieurs tables. Le SQL de A à Z - les sous-requêtes. La structure de la base de données exemple, ainsi qu'une version des principales bases utilisées sont disponibles dans la page "La base de données exemple".

Le SQL de A à Z - les sous-requêtes

Vous trouverez des compléments d'information sur le sujet aux pages 154 à 174 de l'ouvrage "SQL", collection "La Référence", Campus Press éditeur. Avec SQL il est possible d'imbriquer des requêtes un peu à la manière de poupées gigognes. Mais pour toucher du doigt ce que l'on peut faire avec des sous-requêtes, posons nous la question : Où placer une sous-requête ? Observons les types de résultats qu'une requête produit pour déterminer les emplacements qu'elle peut prendre au sein d'un ordre SELECT : Voyons maintenant comment imbriquer cela dans une autre requête. Nous verrons qu'il existe des opérateurs spécialisés, comme EXISTS pour traiter particulièrement de cas d'imbrication.

Chaque fois que vous voudrez mettre une sous-requête dans un ordre SQL, assurez-vous que la sous-requête est comprise dans une paire de parenthèses. Le SQL de A Z - SGBD, SQL et types de donn es. NOTA : La structure de la base de données exemple, ainsi qu'une version des principales bases utilisées sont disponibles dans la page "La base de données exemple".

Le SQL de A Z - SGBD, SQL et types de donn es

Vous trouverez des compléments d'information sur le sujet aux pages 53 à 127 de l'ouvrage "SQL", collection "La Référence", Campus Press éditeur. Le SELECT est la commande de base du SQL destinée à extraire des données d'une base ou calculer de nouvelles données à partir d'existantes... Voici la syntaxe générale d'une commande SELECT : SELECT [DISTINCT ou ALL] * ou liste de colonnes FROM nom de table ou de la vue [WHERE prédicats][GROUP BY ordre des groupes][HAVING condition][ORDER BY ] liste de colonnes NOTA : dans cette syntaxe, les mots clef du SQL sont en gras, les paramètres en minuscule et entre crochets on trouve les parties optionnelles.

Cours et tutoriels sur le langage SQL. Le SQL de A à Z - SGBD, SQL et types de données. NOTA : La structure de la base de données exemple, ainsi qu'une version des principales bases utilisées sont disponibles dans la page "La base de données exemple".

Le SQL de A à Z - SGBD, SQL et types de données

Vous trouverez des compléments d'information sur le sujet aux pages 53 à 127 de l'ouvrage "SQL", collection "La Référence", Campus Press éditeur. Le SELECT est la commande de base du SQL destinée à extraire des données d'une base ou calculer de nouvelles données à partir d'existantes... Voici la syntaxe générale d'une commande SELECT : SELECT [DISTINCT ou ALL] * ou liste de colonnes FROM nom de table ou de la vue [WHERE prédicats][GROUP BY ordre des groupes][HAVING condition][ORDER BY ] liste de colonnes NOTA : dans cette syntaxe, les mots clef du SQL sont en gras, les paramètres en minuscule et entre crochets on trouve les parties optionnelles. Introduction au langage SQL. Le SQL de A Z - SGBD, SQL et types de donn es. Parler du SQL de nos jours comme d'une nouveauté, serait une gageure… cependant, ne faut-il pas voir en cet indestructible langage, une tentative un peu tardive, mais souhaitable, au travers des différents middleware disponibles, de standardisation d'un mode d'interrogation des données ?

Le SQL de A Z - SGBD, SQL et types de donn es

Force est de constater que même les bases de données objet et le web se mettent au SQL. Le poids du passé sans doute... Mais alors que faire ? Squeezer SQL ou s'en accommoder ? Il y a plus d'une vingtaine d'années le COBOL était, disait-on, assuré d'une mort certaine et à court terme. Vous trouverez des compléments d'information sur le sujet aux pages 29 à 51 de l'ouvrage "SQL", collection "La Référence", Campus Press éditeur.

Et d'abord, SQL est-il un vrai langage ? Les meilleurs tutoriels SQL. Cours SQL - Tutoriel SQL. SQL (Structured Query Language) est un langage de programmation informatique destiné à stocker, à manipuler et à retrouver des données enregistrées dans des bases de données relationnelles. Le langage SQL est apparu pour la première fois en 1974, lorsqu’un groupe d’IBM a mis sur pied le premier prototype d’une base de données relationnelle. La première base de données relationnelle a été commercialisée par Relational Software (plus tard Oracle). Cours SQL. Cette page recense des cours de SQL pour apprendre à communiquer avec une base de données (lecture, écriture, suppression de données …).

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Les cours sont simplifiés pour se remémorer la syntaxe des commandes importantes et des tutoriels sont disponibles pour permettre d’apprendre à partir de zéro. De plus, des explications sont données pour apprendre à optimiser les performances d’une base de données. Cours SQL en PDF. Le SQL (Structured Query Language) est un langage indispensable en informatique pour stocker et lire des données.

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Structured Query Language. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Structured Query Language

SQL (sigle de Structured Query Language, en français langage de requête structurée) est un langage informatique normalisé servant à exploiter des bases de données relationnelles. La partie langage de manipulation des données de SQL permet de rechercher, d'ajouter, de modifier ou de supprimer des données dans les bases de données relationnelles. Outre le langage de manipulation des données, la partie langage de définition des données permet de créer et de modifier l'organisation des données dans la base de données, la partie langage de contrôle de transaction permet de commencer et de terminer des transactions, et la partie langage de contrôle des données permet d'autoriser ou d'interdire l'accès à certaines données à certaines personnes. Créé en 1974, normalisé depuis 1986, le langage est reconnu par la grande majorité des systèmes de gestion de bases de données relationnelles (abrégé SGBDR) du marché.

En 1979, Relational Software, Inc. Cours et Tutoriels sur le Langage SQL.