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Génocide rwandais

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Génocide rwandais : P. Simbikangwa devant la justice, un procès historique (Partie 2) - #DébatF24. Génocide au rwanda. Tribunal pénal international pour le Rwanda. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Tribunal pénal international pour le Rwanda

Le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) a été mis en place le 8 novembre 1994 par le Conseil de sécurité des Nations unies afin de juger les personnes responsables d'actes de génocide et d'autres violations graves du droit international humanitaire commis sur le territoire du Rwanda, ou par des citoyens rwandais sur le territoire d'États voisins, entre le 1er janvier et le 31 décembre 1994. Son siège est à Arusha en Tanzanie. Les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU qui concernent le TPIR sont : la résolution 955 du 8 novembre 1994 sur la création du TPIR[1] ;la résolution 978 du 27 février 1995 sur la coopération de tous les États-membres de l'ONU avec le TPIR[2] ;la résolution 1165 du 30 avril 1998 sur la création d'une troisième chambre de première instance[3]. Le tribunal a achevé ses travaux en 2010, comme prévu au départ.

Pascal Simbikangwa, premier procès d’un rwandais accusé de génocide en France. Malgré la satisfaction de voir, vingt ans après le génocide des Tutsi, un important responsable rwandais jugé par la justice française, l’association Survie, partie civile dans l’affaire Simbikangwa regrette qu’il ait fallu autant de temps pour que ce premier procès ait lieu.

Pascal Simbikangwa, premier procès d’un rwandais accusé de génocide en France

Dans sa lutte contre la banalisation du génocide, Survie a choisi de modifier ses statuts dès 2004 afin d’être habilitée à ester en justice. Depuis 1995, les plaintes contre des présumés génocidaires vivant en France étaient en effet portées par des adhérents et non par l’association. La nécessité de vérité et de justice est essentielle pour lutter contre l’impunité et empêcher que le silence et l’oubli ne mettent un point final au génocide, ne l’achèvent, permettant aux bourreaux de recommencer.

Pascal Simbikangwa est le premier rwandais à devoir rendre des comptes devant la justice française. Procès, Incitation, Génocide, Homme politique, Rwandais. Rôle de la France dans le génocide au Rwanda. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rôle de la France dans le génocide au Rwanda

La France, entre 1990 et 1994 a apporté un soutien militaire, financier et diplomatique au gouvernement Habyarimana, avant et pendant[1] le génocide au Rwanda déclenché par l'assassinat du Président Habyarimana. L'ampleur de ce soutien et son impact sur le génocide font l'objet de vives controverses, en particulier entre les gouvernements français et rwandais. Le gouvernement français a jusqu'à présent rejeté toute responsabilité dans le génocide, tout en admettant à partir de novembre 2007 que des « erreurs politiques »[2] avaient pu être commises, qui ont empêché de prévenir ou d'arrêter le génocide.

Plusieurs rapports indépendants et des travaux de recherche universitaires ont permis de préciser le rôle joué par la France durant cette période. Mais les résultats sont également contradictoires, voire antagonistes en raison de la politisation de cette question et du militantisme de certains des auteurs en faveur de thèses variées. Le génocide du Rwanda - Guerre et massacre du Rwanda, en 1994. Au début du XXe siècle, les colonisateurs Allemands vantent la supériorité génétique des Tutsi sur des bases raciales et morphologiques.

Le génocide du Rwanda - Guerre et massacre du Rwanda, en 1994

Selon eux, les Tutsis se distingueraient par leur intelligence et la finesse de leurs traits contrairement aux Hutu, maillon manquant entre le singe et le Tutsi. Les Allemands et plus tard les Belges décident de se reposer sur les premiers dans l'administration coloniale, qui auront seul accès aux études (à l'exception du séminaire, accessible aux Hutu) tandis que les Hutus sont employés aux basses besognes. En 1931, une carte d'identité ethnique est mise en place, indiquant le groupe auquel appartient le citoyen : tutsi, hutu ou twa. Elle sera abolie en 2003. Les racines de la haine Le Manifeste des Bahutu rédigé en 1957 par Grégoire Kayibanda est considéré comme le texte fondateur de la politique ethniste qui marquera les premières décennies du Rwanda indépendant.

Autres causes La question de la préparation Cent jours d'extermination Source: wikipedia.org. Le genocide rwandais. Génocide des Tutsis au Rwanda. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Génocide des Tutsis au Rwanda

Le génocide des Tutsi est un génocide qui eut lieu du 7 avril 1994 à juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutus (voir Hutu Power), au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les armes. En réponse, les autorités rwandaises menèrent une double stratégie : se défendre avec l'armée contre l'agression militaire du FPR et « liquider » tous les Tutsi de l'intérieur du Rwanda. Les autorités rwandaises perdirent la guerre civile au profit du FPR mais atteignirent en revanche leur objectif génocidaire contre les Tutsi.

L'ONU estime qu'environ 800 000 Rwandais[1], en majorité tutsi, ont perdu la vie durant ces trois mois. Role of the international community in the Rwandan Genocide. This article details the role of the international community in the Rwandan Genocide.

Role of the international community in the Rwandan Genocide

Background[edit] The genocide in Rwanda was based on two ethnic groups, the Hutu and the Tutsi. The population in the year 1994 was approximately seven million people. Rwanda's population was 85% Hutu, 14% Tutsi, and 1% Twa (a Pygmy tribe). Historically, the Tutsis had been the ruling class, so centuries of Hutu hatred toward the elitist minority had made politics a tense arena in Rwanda. It is estimated that about 800,000 - three quarters of the Tutsi population in Rwanda - were killed in the genocide. The UN and peacekeeping forces stationed there were largely ineffective at suppressing the genocide and eventually all were ordered to leave before the genocide's end, even though many peacekeepers were providing protection to Tutsis that sought refuge.[2] Response[edit] Canada[edit]

Rwanda: aux origines du génocide - Afrique - RFI. Entre avril et juillet 1994, en l’espace de cent jours, près de un million de Rwandais ont été tués.

Rwanda: aux origines du génocide - Afrique - RFI

L’essentiel des victimes appartenaient à la minorité tutsi, alors que les auteurs de cette véritable entreprise d’extermination étaient les Hutus, communauté majoritaire au pouvoir au Rwanda depuis 1962. Plusieurs milliers de Hutus modérés qui n’adhéraient pas à l’idéologie raciste de leurs dirigeants, ont aussi trouvé la mort dans ce bain de sang dont le pays des Mille collines commémore cette année le vingtième anniversaire. Les cérémonies de commémoration ont lieu à Kigali le 7 avril, en présence du secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon et des délégations officielles étrangères représentant notamment l’ancienne puissance colonisatrice, la Belgique, les Etats-Unis et l’Afrique du Sud. La France a elle décidé samedi d’annuler sa participation après les déclarations du président Paul Kagame l'accusant d'avoir participé aux massacres.

Un peu d’histoire.