background preloader

Génération-C

Facebook Twitter

Des jeunes branchés... sur leurs amis! (Agence Science-Presse) (Québec) - Ils se jouent des contraintes, ils mentent sur leur profil. La seule chose qui importe : leurs amis. Si les jeunes investissent les réseaux sociaux, ce n’est pas parce qu’ils sont fous des technologies, mais bien parce qu’ils aiment socialiser! Cliquer sur la photo pour agrandir « Si autrefois, les jeunes fréquentaient les centres d’achats pour rencontrer leurs amis, c’est vers les réseaux sociaux qu’ils se tournent aujourd’hui », explique Danah Boyd, ethnographe reconnue à l’échelle mondiale et conférencière au colloque international du Cefrio présenté cette semaine à Québec. Et s’ils les investissent, c’est parce que leurs parents interdisent les sorties par peur du danger, parce qu’ils doivent se concentrer sur leurs devoirs ou parce qu’ils sont tout simplement trop occupés pour sortir avec leurs amis.

À rester à la maison, autant en profiter pour socialiser en ligne. S’ils se racontent peu, les jeunes communiquent beaucoup. Pour en savoir plus. Une école pour les natifs de l’univers numérique - TIC et éducation au Canada : l'Infobourg. Dans un essai publié en ligne en 2001 (Digital Natives, Digital Immigrants), Marc Prensky, auteur, chercheur, consultant et concepteur de jeux vidéo, ne pouvait que constater à quel point les élèves d'aujourd'hui diffèrent de leurs enseignants. Selon Prensky, «ces jeunes sont de la toute première génération à avoir grandi avec les outils numériques. Depuis leur naissance, ils se sont approprié et ont maîtrisé ces "instruments" que sont les ordinateurs, les jeux vidéo, les baladeurs numériques, les caméras vidéo et les appareils photo numériques.

Ils sont de cette génération qui n'a pas connu un monde sans Internet, et surtout, sans Web. Tous ces outils font dorénavant partie de leur vie. Et cela a comme impact qu'aujourd'hui, ces natifs du numérique pensent et assimilent l'information d'une tout autre façon que nous, simples immigrants du monde numérique.» Tout un fossé générationnel entre «natifs» et «immigrants» du numérique. Marc Prensky: enseignant avant tout. Génération C, Danah Boyd et Québec, pour octobre 2009. Les temps changent ! Le saviez-vous ? “C” partout! | GénérationC. Daphnée Dion-Viens : La génération C prend la toile d'assaut. La génération C, vous connaissez? Il s'agit de ces jeunes qui sont tombés dans la marmite technologique quand ils étaient petits. Le cyberespace fait maintenant partie de leur vie et transforme leur quotidien. À la maison, Internet remplace désormais la télévision.

Voilà l'un des constats que l'on peut tirer d'une enquête réalisée par le Centre francophone d'informatisation des organisations (CEFRIO), dont les résultats ont été dévoilés hier à l'occasion d'un colloque qui se déroule dans la capitale. Il s'agit de la plus vaste enquête jamais réalisée au Québec sur l'utilisation des technologies de l'information par les 12 à 24 ans.

Après la génération Y, voici la génération C, ces «natifs du numérique» qui prennent la toile d'assaut pour «communiquer, collaborer et créer». Au quotidien, ces jeunes passent beaucoup de temps dans le cyberespace, au détriment du petit écran, du sport et de la lecture. Et que font-ils, une fois bien branchés? À lire aussi: Profs débranchés Textos au boulot. Décrochage: la génération C à l'assaut de l'école traditionnelle | Daphnée Dion-Viens.

«Il y a un écart considérable entre ma génération et leur génération. Des fois, je l'avoue, ça me fait peur.» Hier, près de 800 personnes étaient réunies à Québec lors du colloque de la Fédération des commissions scolaires portant sur la persévérance scolaire. Lors d'une animation présentée en guise d'ouverture, un enseignant a résumé le «choc des générations» qui se vit au quotidien dans sa classe.

«Ils parlent un langage que je ne comprends pas, dans une langue que je comprends encore moins», a-t-il lancé, non sans provoquer des rires dans la salle. Mais plutôt que de se borner à se dire qu'on n'y comprend rien, il faut faire preuve d'ouverture et faire confiance aux jeunes de la génération C, a affirmé le professeur Réal Jacob, lors de la conférence d'ouverture. Une plus grande collaboration - qui passe forcément par les nouvelles technologies - devient une façon de lutter contre le décrochage scolaire, affirme-t-il.

Enseigner à l'ère de Google Les exemples sont nombreux. La génération C: comprendre et s'adapter aux jeunes technophiles. Après les baby-boomers, les X, les Y, voilà la génération C, pour «Communiquer», «Collaborer» et «Créer». La génération des jeunes de 12 à 24 ans, mais surtout son utilisation des TIC, intéresse les gouvernements, les chercheurs et les enseignants. Survol des constats exprimés lors du colloque Génération C, êtes vous prêts ? De l’organisme Cefrio. Les natifs du numérique sont ceux qui, comme Obélix, sont tombés dans la marmite technologique dès le début. Les adeptes de la vitesse à « 100 textos à l’heure » changent complètement la donne dans la société, qui devra revoir tous ses repères en éducation, en sociologie, en économie, etc. Ces propos tenus par la présidente de la Chambre de commerce de Québec Liliane Laverdière, dans le cadre d’un colloque consacré à la génération C qui avait lieu les 20 et 21 octobre au Centre des congrès de Québec, résument l’enjeu collectif de la société québécoise lorsqu’elle prend le pouls de cette nouvelle génération.

Éducation: le fossé du numérique. La génération C contre les dinosaures. Le milieu de l'enseignement et le secteur privé se demandent comment s'adapter à la génération des 12-24 ans, dite «génération C», qui a grandi avec le Web et qui a développé sa propre culture des communications. Un colloque se penche sur la question à Québec. Québec — Pour la chercheuse américaine Danah Boyd, les enseignants d'aujourd'hui qui ne se servent pas du Web pour communiquer avec leurs élèves passent à côté d'une belle occasion. «Les professeurs doivent investir cet espace», a plaidé cette éminence grise de la Toile, qui est chercheuse au Microsoft Research New England et membre du Berkman Center for Internet and Society de la Harvard Law School. Mme Boyd présentait hier la conférence inaugurale du colloque du Centre francophone d'informatisation des organisations (CEFRIO) sur la génération C des 12-24 ans, événement qui se termine aujourd'hui au Centre des congrès de Québec.

Intérêt marqué pour la possibilité de voter en ligne. Comment entreprendre le virage 2.0 » génération C. Marketing d’influence : Pour en finir avec le «score social» Par Raymond Morin Vers une plus grande personnalisation de l’offre Les derniers mois ont été particulièrement fertiles dans les médias sociaux. Les fusions et les acquisitions d’entreprises se sont multipliées, apportant une plus grande profondeur aux principaux joueurs de l’industrie. Celle de Klout, le «standard de la mesure d’influence», par Lithium Technologies aura assurément un très gros impact sur le marketing dans les médias sociaux. Avec cette acquisition, Lithium Technologies fait converger les informations mensuelles de plus de 100 millions de consommateurs, avec la banque de données de plus de 500 millions de d’utilisateurs touchés par l’outil de mesure d’influence dans les médias sociaux. Doit-on craindre le profilage commercial? Avec un accès aussi ciblé d’informations personnelles sur les consommateurs, doit-on craindre le profilage commercial?

Le profilage commercial ne représente pas que des désavantages.