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Société Générale repart à l'offensive sur la BFI - Les Echos. Politique Le Sénat bascule à droite et comptera deux élus FN La poussée de la droite attendue aux élections sénatoriales s’est confirmée ce dimanche. Le FN fait son entrée dans la Haute Assemblée avec deux élus. Le... Qui sont les deux sénateurs FN A l’issue des élections sénatoriales, le Front national fait son entrée au palais du Luxembourg , avec deux élus : Stéphane Ravier (Bouches-du-Rhône) et... Diaporamas Sénatoriales : les entrants et les sortants La moitié des sièges du Sénat sera renouvelée dimanche. Les marges des banques menacées - Les Echos. Etats Unis Christine Lagarde : "En zone euro, il n’y a pas d’austérité... Interview exclusive de la directrice générale du Fonds monétaire international. Elle appelle le gouvernement à accélérer les réformes pour relancer...

Politique Hollande et Manuel Valls tentent de "tenir bon" Attaqué sur sa légitimité, affaibli, l’exécutif a appelé la gauche à la « responsabilité ». Europe Le grand virage "renziste" de Valls se précise Malgré les critiques de l’aile gauche de son parti, Matteo Renzi bénéficie d’un taux de confiance record de 64% selon les derniers sondages. Pourquoi les banques françaises réalisent des résultats en demi-teinte - Les Echos. US banks warn on ‘excessive’ risk-taking. Les banques européennes, loin de leurs objectifs de rentabilité. * Un ROE de 6,6% en moyenne pour les banques européennes cotées * Un niveau de 40% inférieur à celui de l'ensemble des valeurs cotées * Amélioration du ratio d'exploitation malgré les amendes et les provisions * Les exigences de fonds propres pèsent sur les rendements par Laura Noonan LONDRES, 17 avril (Reuters) - Les grandes banques européennes sont encore loin des objectifs de rentabilité des fonds propres (ROE) qu'elles se sont fixé après la crise financière, pénalisées par la faible croissance du crédit et le niveau élevé des pertes sur prêts qui annihilent les progrès réalisés dans la maîtrise des coûts.

Les 30 premières banques européennes cotées ont certes amélioré leur coefficient d'exploitation l'année dernière malgré des milliards d'euros d'amendes et de provisions pour risques juridiques. Les deux tiers de ces banques ont affiché des objectifs chiffrés de ROE d'au moins 10% dans tous les cas, de 12% voire plus pour la plupart et de 15% ou autour de ce seuil pour quelques unes. Les autorités américaines voudraient attaquer au pénal BNP Paribas et Credit Suisse. Les résultats des banques françaises résistent malgré la morosité ambiante.

Affaire BNP Paribas : vers un accord à plus de 8 milliards de dollars, Impôts. Impôts Affaire BNP Paribas : vers un accord à plus de 8 milliards de dollars La banque devrait payer entre 8 et 9 milliards d’amende selon le « Wall Street Journal ». Et n’échapperait pas à l’interdiction d’effectuer des... Editos & Analyses Affaire BNP Paribas : le droit à l'heure de la mondialisation La notion d'extraterritorialité est au coeur des déboires judiciaires de BNP Paribas outre-Atlantique.

Marchés Financiers L’homme qui voulait faire tomber BNP Paribas Inconnu il y a deux ans, l’américain Benjamin Lawsky est devenu l’ennemi numéro 1 des banques. Les résultats des banques françaises résistent malgré la morosité ambiante. C’est le montant de la dépréciation d’écart d’acquisition (« goodwill ») enregistrée par la Société Générale sur sa filiale russe Rosbank. - AFP Fortement implantée en Russie, via sa filiale Rosbank, la Société Générale a lourdement pâti de la crise ukrainienne et de ses conséquences : chute du rouble, hausse de la prime de risque en Russie et ralentissement économique.

De sorte que la banque a déprécié sa filiale à hauteur de 525 millions d’euros, passant dans ses comptes l’intégralité du « goodwill » ou écart d’acquisition résiduel de Rosbank. Au cours des trois premiers mois de l’année, le résultat d’exploitation de sa filiale a aussi fondu de 61 millions d’euros au premier trimestre 2013 à 7 millions d’euros. Engagée à hauteur de 17 milliards d’euros dans le pays (en terme de risque de crédits), la banque de la Défense cherche à cantonner le foyer d’inquiétude, en maximisant la part de financement autonome de sa filiale, via sa collecte de dépôts.

Montebourg s'en prend aux salaires des patrons de banques. Arnaud Montebourg n'a jamais été tendre avec le secteur bancaire. Ce jeudi 17 avril, le ministre de l'Economie s'en est plus précisément pris aux dirigeants des établissements français. "Les rémunérations des dirigeants de banques ont progressé dans des proportions absolument indécentes", a-t-il déclaré devant les sénateurs. "Le PDG du Crédit agricole (…) a eu une augmentation de 38%, Natixis +14, BPCE +29. Donc il va falloir qu'on discute de tout cela avec la place bancaire", a-t-il poursuivi.

La Finance "c'est comme le cholestérol" "On ne peut pas avoir un système bancaire défaillant et des rémunérations et des profits qui s'envolent dans des proportions qui sont à nos yeux disproportionnées", a continué Arnaud Montebourg. "Donc il va y avoir un petit rendez-vous de discussion, le Premier ministre me l'a demandé donc je vais évidemment le faire". En septembre dernier, Arnaud Montebourg avait déjà eu le verbe assassin. Euronews | actualité internationale et européenne, les infos en direct sur euronews.

Santander s'ouvre les portes du marché français. Another day, another billion-dollar legal charge for one of the world’s largest banks - Quartz. These days, the job of a bank analyst is even more thankless than usual. Banks already publish the most impenetrable financial statements in the corporate world, making assessments of their earnings potential and balance sheet strength a herculean task. And just when you think you have a handle on things, yet another big scandal rears its head and wrecks your forecasts. Today it was BNP Paribas’s turn to thwart expectations. Analysts predicted it would report €1 billion ($1.4 billion) in net profits for the fourth quarter, but France’s largest bank instead recorded quarterly earnings of only €127 million, a 75% plunge from the previous year.

This was thanks to a whopping $1.1 billion provision it set aside to cover a potential legal charge relating to its alleged handling of payments between parties subject to US sanctions. In recent weeks, “unexpected” legal charges have also dented profits at Credit Suisse, Deutsche Bank, and Lloyds Banking Group. 185.000 Australiens lancent une « class action » contre les agios bancaires. Goldman Sachs’s bonuses are going the way of its shrinking business - Quartz. Goldman Sachs, the, er, gold standard for bank bonuses, appears to be losing its magic touch. The New York-based investment bank’s bonus packages for its 32,900 staff, announced internally this morning, are flat to down relative to last year’s bonuses, sources tell Quartz. Some bankers are seeing cuts as great as 5% to 10% in some areas, said one person familiar with the firm’s pay.

The bonuses for US and European staff were communicated this morning after CEO Lloyd Blankfein, president Gary Cohn and CFO Harvey Schwartz held a meeting with the firm’s managing directors to discuss the firm’s performance. A Goldman spokesman declined to discuss individual bonuses. Overall compensation is down about 3% compared to a year ago. That said, in some areas of the bank, pay is still going up. Citigroup: Bond trading giveth, and taketh away. PDG JPMorgan Chase doublement émoluements. When Deutsche Bank sneaks out its results on a Sunday night, they can’t be good.