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Corps/Sexualité

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Pourquoi est-ce que je ne me maquille pas «pour moi» J’ai commencé à me maquiller après une thérapie de choc au Brésil, le pays où des ongles non vernis sont interprétés comme un signe d’homosexualité évident.

Pourquoi est-ce que je ne me maquille pas «pour moi»

Alors qu’ici, je n’étais simplement pas très «féminine», là-bas j’étais carrément «masculine». Des inégalités dans la douleur. La vulgarisation scientifique adresse régulièrement la question floue des inégalités dans la douleur.

Des inégalités dans la douleur

De glissements sémantiques en approximations, de déductions hardies en affabulations, c’est finalement de tout autres phénomènes qu’elle nous parle involontairement. Le 4 mai dernier, l’émission On n’est pas que des cobayes ! Toutes les femmes sont des catins… Beaucoup de femmes trouvent normal qu’un inconnu leur offre un verre pour «rompre la glace».

Toutes les femmes sont des catins…

D’autres estiment que si un homme veut sortir avec elles, il doit offrir le restaurant. Pour elles, c’est le «minimum de la galanterie». A l’homme de raquer. Est-ce juste ? Dans les années 1980, une anthropologue, Paola Tabet, remet complètement en cause la distinction habituelle entre sexualité vénale et sexualité sentimentale. Pour Paola Tabet, l’accès à la sexualité fait TOUJOURS l’objet d’une transaction qui implique l’argent à un niveau ou à un autre.

Historiquement, c’est une question de survie, explique Paola Tabet. Pregnant, and No Civil Rights. WITH the success of Republicans in the midterm elections and the passage of Tennessee’s anti-abortion amendment, we can expect ongoing efforts to ban abortion and advance the “personhood” rights of fertilized eggs, embryos and fetuses.

Pregnant, and No Civil Rights

But it is not just those who support abortion rights who have reason to worry. Anti-abortion measures pose a risk to all pregnant women, including those who want to be pregnant. Such laws are increasingly being used as the basis for arresting women who have no intention of ending a pregnancy and for preventing women from making their own decisions about how they will give birth. How does this play out? Based on the belief that he had an obligation to give a fetus a chance for life, a judge in Washington, D.C., ordered a critically ill 27-year-old woman who was 26 weeks pregnant to undergo a cesarean section, which he understood might kill her. In Utah, a woman gave birth to twins; one was stillborn.

Crêpe Georgette - The Friendzoner vs The Nice Guy. « Examen à l’anglaise » : on n’est pas obligées d’écarter les cuisses chez le gynéco. Certains médecins acceptent d’examiner les femmes « à l’anglaise », allongées sur le côté.

« Examen à l’anglaise » : on n’est pas obligées d’écarter les cuisses chez le gynéco

Une position moins gênante, et une petite révolution dans la relation entre la patiente et son médecin. 557 communautés se réunissent pour déclarer publiquement leur abandon de l’excision au Sénégal. 557 communautés du département de Médina Yoro Foulah, au Sénégal, se sont réunies le 24 novembre 2013 pour faire une déclaration publique.

557 communautés se réunissent pour déclarer publiquement leur abandon de l’excision au Sénégal

No, It's Not OK to 'Steal Kisses' Judith Jarvis Thomson: A Defense of Abortion. Judith Jarvis Thomson: A Defense of Abortion From Philosophy & Public Affairs, Vol. 1, no. 1 (Fall 1971).

Judith Jarvis Thomson: A Defense of Abortion

(Reprinted in "Intervention and Reflection: Basic Issues in Medical Ethics," 5th ed., ed. Le consentement masculin. La question du consentement des hommes au sexe se pose assez peu puisqu'il est admis par tous et toutes qu'un homme est toujours partant pour du sexe.

Le consentement masculin

Et si par hasard, il ne l'était pas, il aurait un sacré problème. «Féminisme à la française» Dans les débats qu’a ouverts l’affaire DSK, celles et ceux qui ont pris le parti de ce dernier ont insisté (une fois de plus) sur le fait que les Américains confondaient les charmes de la séduction et la violence du viol.

«Féminisme à la française»

Bernard-Henri Lévy, par exemple, a dit de Dominique Strauss-Kahn qu’il était «un séducteur, un charmeur», pas un «violeur». Parmi les spéculations sur le déroulement exact des faits eux-mêmes, le doute a été jeté sur la véracité du témoignage de la femme qui s’est déclarée être la victime : l’a-t-on payée pour qu’elle porte plainte ? Non, les femmes ne se sont pas battues pour accoucher à l’hôpital. Parmi les idées reçues qui circulent sur l'accouchement, il y a celle qui consiste à croire qu'accoucher en sécurité à l'hôpital serait le résultat d'une longue lutte des femmes.

Non, les femmes ne se sont pas battues pour accoucher à l’hôpital

Et incidemment, que mes critiques sur la façon dont les femmes sont traitées dans les maternités serait une remise en question d'avancées féministes, ce qui serait pour le moins fâcheux pour la féministe que je suis. Un petit détour par l'Histoire démontre pourtant que les femmes ne se sont jamais battues pour mettre leur enfant au monde à l'hôpital, et que les féministes ne se sont d'ailleurs jamais réellement intéressées à la question de l'accouchement.

Prenons une date au hasard : 1663. Cette année-là, Louise de la Vallière, alors maîtresse de Louis XIV, s'apprête à mettre au monde le premier enfant issu de leur relation illégitime. A cette époque, les femmes accouchaient à la maison. 1949. Alors, en ce début du 21ème siècle, on peut se mettre à rêver. Sources :