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Politique

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Botanique. Pour reprendre le fil de mon histoire où je l’avais laissée (oui, chez Babordages, on feuilletonne aussi, c’est un scandale !) , nous avons donc les défenseurs du #PlanA (appelons-les les DPA) qui ne voient que les arbres individuels (quand ce ne sont pas les branches, les brindilles, les feuilles, les fleurs ou les bourgeons), et les défenseurs du #PlanB (les DPB, vous m’avez vu venir) qui ne voient que la forêt (y compris par image satellite, ce qui permet de percevoir l’ampleur de leur dévastation, mais c’est une autre histoire, qui fera certainement l’objet d’un nouveau billet (même si, feuilletonner, c’est franchement dégueulasse !)). Si vous ne me croyez pas, faites l’expérience suivante : Prenez un DPA, et déclinez la liste longue comme le bras des mesures d’inspiration libérale prises par le gouvernement depuis un an (la forêt).Le DPA vous rétorquera aussi sec « et les mesures d’embauche dans l’éducation nationale, c’est du pipi de chat ?

Fin de l’expérience. À propos de sknob. "La solution à la crise, c'est l'endettement !" L'économiste et analyste financier Michel Santi est membre du World Economic Forum, de l'Institut français des relations internationales et du collectif des "économistes atterrés". Dans Splendeurs et misères du libéralisme (L'Harmattan, 17,10€), cet "apôtre de la dette", qui s'insurge contre "l'idolâtrie néolibérale" et les politiques d'austérité, appelle à un changement de paradigme. Selon vous, la réduction des déficits publics n'est pas une solution.

Pourquoi ? Pour réduire ces déficits, il faut passer par la case austérité. Or, l'austérité assèche la conjoncture économique européenne, entraînée dans une spirale déflationniste. Les Etats devraient mettre en place une politique expansionniste, comme cela se fait aux Etats-Unis par l'injection de centaines de milliards de dollars dans l'économie, par exemple à travers des achats d'actions. Il faudrait donc aggraver les déficits pour sortir de la crise ? Mais l'Etat ne peut pas vivre au-dessus de ses moyens ! La réforme de la gouvernance économique européenne. Le Trans-Carrés de luzerne Trade et Investment Carottes Partnership, ou Le Marché Transtlantique expliqué aux enfants. Il était une fois la famille des lapins bleus, et des lapins blancs. Les terriers des lapins bleus avaient été mis sous bonne garde par les chefs des lapins bleus, et les terriers des lapins blancs étaient gardés par les chefs des lapins blancs.

Il y avait aussi des lapins argentés, mais ceux là voyageaient beaucoup d’un carré de luzerne à un autre. Les lapins blancs vivaient dans le carré de luzerne blanc, et les lapins bleus dans le carré de luzerne bleue. Et puis un beau jour, ils décidèrent de signer un Traité commun sur une épluchure de carotte officielle. (Ici, le carré de luzerne des lapins blancs) Un de nos enquêteurs chez les léporidés a réussi contre quelques carottes à en récupérer une version non officielle. Nous en reproduisons ici cette version de travail qui donne mandat au Haut-Terrier des chefs des lapins blancs de négocier avec le Haut-Terrier des chefs des lapins bleus (Malheureusement sans l’Annexe). 1.

(Ci-dessus, l’entre de la salle de négociations du Haut-Terrier) 2. Quelles leçons tirer des assemblées constituantes récentes en Europe et en Afrique ? Venezuela : L'AFP manipule le discours d'Hugo Chavez (Vidéo) Les fronts de la gauche. Les fronts de la gauche On aimerait ne plus parler de Nicolas Sarkozy, mais la gauche va devoir faire avec les 48,36 % des électeurs qui ont voté pour lui. Un bilan calamiteux, cinq années de droite dure, le mensonge érigé en art de gouverner, une politique économique et fiscale de classe, sans fards, un ministre de l’Intérieur devant la justice pour injures raciales, un Président de la République qui glose sur les « Français d’apparence musulmane », des mouvements sociaux puissants, mais méprisés, dans l’université ou contre la réforme des retraites, une fin de campagne outrancière, témoignant du fait qu’il n’y a plus guère aujourd’hui de différences entre l’extrême droite et ce qu’on appelait jusqu’à présent la droite républicaine : tout laissait espérer que l’exaspération teintée d’humiliation accumulée au cours de ce quinquennat pénible allait se traduire par une sanction massive dans les urnes.

Quel que soit le résultat des législatives, cela n’a pas été le cas. Détaillons. Ricardo PETRELLA - Désarmer le pouvoir financier - 09/98. Après la présentation des trois associations et de Petrella, Emilie, des Amis du Diplo, a introduit les termes du débat : "Le désarmement implique déjà la guerre, et c'est le pouvoir financier qui a les armes. Les victimes, atomisées, ne disposent ni des munitions, ni de l'argent. Elles ont les mains nues. " La parole à Riccardo Petrella : Pour changer le monde, les associations doivent coopérer. Face à la puissance des dominants, ceux qui veulent "raconter une autre narration" - ceux qui veulent une autre mondialisation, ceux qui veulent une autre économie, une autre entreprise, un autre syndicat - ont à travailler ensemble. " La citoyenneté est au coeur de tout. "Dans vingt ans, on sera 8 milliards de gens sur la terre. Nous allons "aller au coeur de ce que j'appellerai le réacteur de l'économie mondiale et de la société mondiale : à la fois la finance et la technologie, c'est la même chose pratiquement.

Quelques questions à propos d'un fait récent C'est révoltant. Le rôle de la finance. Le CAC 40, l’UMP et ses sous-valets, les Le Pen – Oui, c’est Krupp qui a fait Hitler ! Irrité par toutes ces théories qui font du FN l’ennemi principal, je rétorquais ici une fois de plus, que le FN n’était que la succursale de l’UMP. UMP et FN sont blanc bonnet bonnet bi, on l’a vu sous le gouvernement et dans la campagne de Sarkozy. De 1981 à 2012, le FN « monte » et « descend » au gré de la classe dominante et de ses médias aux ordres.

L’oligarchie, le CAC 40 jouent avec le FN. Ils créent les conditions matérielles de son existence, attisent les discours idéologiques qui lui permettent de se développer, puis s’en servent au gré de leurs besoins politiques pour diviser, berner, écraser le salariat. Je disais donc qu’il ne fallait pas se tromper d’ennemi mais qu’il fallait combattre en priorité le grand capital, pas le petit commerce abusé par lui. Ce combat doit être central, classe contre classe, gauche contre droite, et non un « sous combat », dérivé, extrême gauche contre extrême droite. Une lectrice FdG nous répond : « Non ce n’est pas Krupp qui a fait Hitler ! Marx-Engels Archives marxistes.

Europe

France. Alexis Tsipras conférence de presse avec le Front de gauche.