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16_03_2011

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Aile (oiseau) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Aile. Les plumes de vol déployées sur les ailes sont : Les muscles permettant aux ailes de battre sont les muscles alaires qui s'insèrent sur le bréchet (sternum renforcé). Différentes silhouettes La grande variété des formes d'ailes est classée en quatre grandes catégories : aile elliptique, aile à grande vitesse, aile à grand allongement et aile large munie d'interstices. Plusieurs espèces ont des ailes qui pourraient se classer à mi-chemin entre l'une ou l'autre de ces catégories. Le lien entre les habitats forestiers et l'aile elliptique est visible lorsqu'on compare des espèces apparentées vivant dans des milieux forestiers et des milieux ouverts. Quelques exemples d'espèces avec des ailes elliptiques : Quelques exemples d'espèces avec des ailes à grande vitesse : Quelques exemples d'espèces avec des ailes à grand allongement : Quelques exemples d'espèces avec des ailes larges munies d'interstices :

Poésie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La poésie est un genre littéraire très ancien aux formes variées, écrites généralement en vers, mais qui admet aussi la prose, et qui privilégie l'expressivité de la forme. Sa définition se révèle difficile, et varie selon les époques, au point que chaque siècle peut lui trouver une fonction et une expression différente aussi d'un poète à l'autre. Le terme « poésie » et ses dérivés viennent du grec ancien ποίησις, et s'écrivait, jusqu'en 1878 poësie (le tréma marquait une disjonction entre les voyelles o et e). ποιεῖν (poiein) signifie « faire, créer » : le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives, ce que révèlent aussi les termes du Moyen Âge, comme trouvère et troubadour.

Le poète, héritier d'une longue tradition orale, privilégie la musicalité et le rythme, d'où, dans la plupart des textes poétiques, le recours à une forme versifiée qui confère de la densité à la langue. Histoire[modifier | modifier le code] Mnémotechnique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Exemple de mnémonique visuel, pour aider à mémoriser l'emplacement de sa voiture dans un stationnement. La mnémotechnique est l’ensemble des méthodes permettant de mémoriser par association d’idées, chacune d’elles étant appelée mnémonique. Pour se faire une idée des possibilités, le lecteur peut parcourir une liste de mnémoniques[1].

Les mnémoniques sont souvent verbales, par exemple de courts poèmes ou des mots sans signification particulière, lesquels permettent surtout de se rappeler les listes. Elles complémentent la répétition en favorisant les associations d'idées entre les concepts à l'aide de constructions faciles à mémoriser, soit parce qu'elles sont absurdes, soit parce qu'elles sont familières.

Ces techniques s'appuient sur le fait qu'une personne a plus de facilité à se souvenir de données rattachées à l'espace (exemple, un triangle), à sa personne (ex., date anniversaire) ou à toute autre information significative. Art de mémoire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'art de mémoire (ars memoriae), appelé aussi méthode des loci, méthode des lieux ou plus récemment palais de la mémoire, est une méthode mnémotechnique pratiquée depuis l'Antiquité; le poète Simonide de Céos en serait l'inventeur.

Elle sert principalement à mémoriser de longues listes d'éléments ordonnés. Elle est basée sur le souvenir de lieux déjà bien connus, auxquels on associe par divers moyens les éléments nouveaux que l'on souhaite mémoriser. Art de mémoire, architecture et « palais de la mémoire »[modifier | modifier le code] On conseillait autrefois d'utiliser des endroits existants pour l'usage de l'art de mémoire, par exemple un marché ou une église. Pour utiliser la méthode, on visitait plusieurs fois l'édifice, en examinant toutes ses parties, toujours dans le même ordre. Après plusieurs visites, on était capable de se remémorer et de visualiser chacune de ses pièces avec acuité. Histoire[modifier | modifier le code] Plaine des Cafres. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un bovin abrité sous un vieux tamarin des Hauts dans les pâturages de la Plaine des Cafres.

Elle doit son nom aux Cafres, esclaves noirs, qui y étaient allés cacher.[1] (voir: Esclavage à Bourbon) Géographie[modifier | modifier le code] Occupant le nord-est du territoire communal du Tampon, la Plaine des Cafres est séparée de la Plaine des Palmistes par le col de Bellevue, qui culmine à 1 630 mètres d'altitude. À l'ouest, elle surplombe la vallée encaissée formée par le Bras de la Plaine et par son affluent, le Bras de Sainte-Suzanne. À l'est, elle domine celle qu'a creusée un affluent de la Rivière des Remparts. Au sud, elle s'ouvre sur le reste de la commune, bien plus urbanisé. La Plaine des Cafres constitue un bon point de départ pour une randonnée vers le Piton des Neiges. Faune et flore[modifier | modifier le code] Infrastructures[modifier | modifier le code] La Maison du Volcan. Économie[modifier | modifier le code]

Talève de La Réunion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La talève de la Réunion (Porphyrio coerulescens) était un oiseau de la famille des rallidés endémique des Hauts de la Réunion. Elle a été décrite sous le nom d'oiseau bleu par six voyageurs de la première heure. Ceux-ci l'ont surtout observée dans des zones forestières en montagne, à la Plaine des Cafres essentiellement. On suppose qu'elle était capable de voler mais néanmoins facile à chasser. Son extinction remonterait aux environs de 1730 et serait justement due aux prélèvements humains. La taxonomie de Livezey considère ce taxon comme faisant partie de la même espèce que la talève sultane (Porphyrio porphyrio).

Cette conclusion est contestée par Cheke, qui estime que l'habitat décrit par la plupart des premiers observateurs ne correspond pas à celui de ce dernier oiseau. Taxinomie[modifier | modifier le code] Cette espèce n'est reconnue par aucune autorité taxinomique. Informations complémentaires[modifier | modifier le code] L'Albatros (poème) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Albatros est le deuxième poème de la seconde édition (1861) du recueil Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire. Ernest Chausson a composé une mélodie sur ce poème. La partition en est publiée en 1879. Ce poème qui comporte quatre quatrains composés d'alexandrins avec des rimes croisées est une fable qui apparaît dans la section « Spleen et Idéal » des Fleurs du mal. Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers.

À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées.