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Musique, Internet,, Loi

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Silvio Berlusconi encadre la publication de vidéos sur Internet. 01net le 20/01/10 à 19h07 Les Italiens vont-ils être soumis aux mêmes obligations que les chaînes de télévision ? Comme elles, ils vont en tout cas devoir obtenir une autorisation avant de diffuser des vidéos. En effet, le Parlement italien vient d'adopter un décret qui impose aux citoyens transalpins d'être accrédités par le ministère des Communications avant de pouvoir « diffuser et distribuer sur Internet des images animées, accompagnées ou non de son ».

Cette autorisation sera obligatoire. Un danger pour la démocratie Les FAI et les sites de partage de vidéos italiens estiment quant à eux qu'ils ne peuvent pas être reconnus responsables des contenus postés par les internautes. Selon le commissaire de l'Autorité italienne des communications, Nicolas D'Angelo, « l'Italie devient le seul pays européen dans lequel il est nécessaire d'avoir l'autorisation du gouvernement pour développer ce genre ce service [la mise en ligne de vidéos, NDRL]. Moozar.com veut « indemniser » les artistes que vous avez piraté. Amis téléchargeurs, Moozar mise sur votre mauvaise conscience.

Celle qui vous étreint parfois lorsque vous parcourez votre bibliothèque musicale à zéro euro. A partir du 26 février, le site proposera aux internautes de dédommager les artistes dont ils ont téléchargé les oeuvres. Au passage, il touchera 20% de commission sur les montants versés. Par défaut, Moozar vous proposera de verser 1 euro par chanson.

Le créateur du site, David Brami, se base sur deux sondages commandés à l’Ifop et à l’institut américain Zogby. Payer la musique a posteriori Selon lui, les utilisateurs attendaient depuis longtemps la possibilité de payer la musique a posteriori, non plus pour le support en lui-même, mais pour le plaisir qu’ils en ont tiré. . « Moozar est une initiative libérale, qui vise à rémunérer l’artiste en fonction de ses performances. En 2006, David Brami avait déjà essayé de monter ce projet en fédérant des internautes. La perspective d’une association avec Deezer laisse perplexe. Dvd acheté vs Dvd téléchargé.

Neutralité

Jamendo cherche un repreneur pour éviter la faillite - Numerama. Mise à jour : Le service de musique libre Jamendo a finalement trouvé son sauveur. La société MusicMatic a racheté l'ensemble des parts que détenait le fonds d'investissement Mangrove Capital, et augmentera le capital de Jamendo. Spécialiste de la diffusion de flux musicaux dans les réseaux de points de vente (Saint-Maclou, Eram, Camaïeu, Pizza Hut, Intersport...), MusicMatic devrait ainsi utiliser le fonds de musique libre de Jamendo pour amoindrir ses frais de licence d'exploitation, via la diffusion d'artistes membres de Jamendo Pro.

Désormais, Jamendo sera dirigé par Alexandre Saboundjian, directeur de MusicMatic. Laurent Kratz, l'ancien directeur de Jamendo, conserve un poste d'administrateur. Article du 7 janvier 2010 - Peut-on gagner de l'argent avec de la musique libre ? C'est le pari un peu fou qu'a tenté la société luxembourgeoise Jamendo, qui n'a pas lésiné sur les moyens pendant plusieurs années.

Hadopi

Deezer, ou les raisons d’un beau gâchis - Web 1,2,3 - ElectronLi. Avec le limogeage de Jonathan Benassaya à la tête de Deezer, le rêve de voir émerger un champion du streaming en France s’envole, et avec lui celui de transformer l’essai du succès d’estime incontestable remporté l’an dernier par les acteurs de ce marché, par manque de vision et d’investissement, dans le marketing et l’innovation logicielle. La nouvelle avait de quoi surprendre. Un confidentiel d’Electronlibre annonçait vendredi, à la veille de l’ouverture du Midemnet, le limogeage de Jonathan Benassaya à la tête de Deezer, fleuron de l’industrie du streaming en France. Un communiqué de presse sibyllin tentait de démentir l’information dans l’après-midi mais ne parvenait pas vraiment à lever le doute.

En fin de journée, Electronlibre, sûr de son fait, enfonçait le clou sur la foi d’autres sources, évoquant la déception des actionnaires de Deezer devant l’échec du lancement de la formule payante du service. Les raisons d’un échec Ce n’était plus vraiment une surprise pour grand monde. Un trio à la tête de Deezer : pour le meilleur ? Chez Deezer, on aime les DJ mais aussi les DG. Afin d’apaiser les tensions à la direction de la société, Odyssey Music Group, la maison-mère du service de musique en streaming, a procédé à la nomination d’Axel Dauchez en qualité de directeur général . Une arrivée qui permet de « consolider le management de la société et d’ouvrir de nouveaux horizons internationaux », assurent les co-fondateurs Jonathan Benassaya (qui reste P-DG) et Daniel Marhely, cités dans le communiqué de presse.

Un trio de managers à la tête de Deezer, cela fait beaucoup (trop ?) Pour une start-up ? Axel Dauchez, le nouveau pilier de Deezer, est un professionnel qui vient du monde des médias interactifs et du marketing. Son parcours est riche : issu de Polytechnique, il a pris des postes de responsable marketing stratégique chez Procter & Gamble puis atterit ensuite chez Bossard Consultant. Dans ce nouvel ensemble, Axel Dauchez prend progressivement les fonctions de co-P-DG. "Je ne sais pas ce que c'est Twitter et l'Ipad." Jean-Louis Mass.