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Paula Anta, Nicolas Cambarro | Paysages habités | Toulouse. Le Château d´eau. Communiqué de pressePaula Anta, Amaya Hernández, Concha Pérez, Nicolás Cambarro, Jorge YereguiPaysages habités Le Château d'Eau fait écho à la 17e édition de «Photoespaña», dédiée à la photographie espagnole, en invitant la commissaire Ana Berruguete et son exposition «Paysages habités», qu'elle a conçue à partir du travail de cinq photographes contemporains: Paula Anta, Amaya Hernández, Concha Pérez, Nicolás Cambarro et Jorge Yeregui.

Cette exposition réunit les œuvres d'artiste qui travaillent dans une même perspective autour de la notion de paysage et de l'intervention sur ce dernier, à travers l'action d'habiter. Le mot «habiter», du latin «habitare», signifie «occuper un lieu», «y vivre». Ce qui fait dire au philosophe allemand Martin Heidegger que «nous sommes dans la mesure où nous habitons». Cette appropriation du lieu implique de le construire, de le modifier, d'intervenir sur lui. Gilles Caron. Le conflit intérieur. Dossier documentaire, mode d'emploi Conçu par le service éducatif, en collaboration avec l’ensemble du Jeu de Paume, ce dossier propose aux enseignants et aux équipes éducatives des éléments de documentation, d’analyse et de réflexion.

Il se compose de trois parties : — Découvrir l’exposition offre une première approche du projet et du parcours de l’exposition, des artistes et des œuvres, ainsi que des repères chronologiques et iconographiques. — Approfondir l’exposition développe plusieurs axes thématiques autour du statut des images et de l’histoire des arts visuels, ainsi que des orientations bibliographiques et des ressources en ligne. — Pistes de travail comporte des propositions et des ressources pédagogiques élaborées avec les professeurs-relais des académies de Créteil et de Paris au Jeu de Paume.

Téléchargez le dossier documentaire ci-contre ou en bas de page. Présentation de l'exposition Extrait du texte de Michel Poivert, commissaire de l’exposition. [LAND]SCAPE Échappées landaises - Labouheyre. Exopsition Photo sur la Grande Guerre XIV / XVIII - La chambre à Strasbourg. 1914, l’Europe se déchire dans un conflit sans précédent qui finira par devenir mondial. Chacun garde encore aujourd’hui à l’esprit l’image de ces hommes au regard perdu, reclus de longs mois dans leurs tranchées.

La Grande Guerre aura durablement imprimé l’imaginaire du vingtième siècle. Si ces images nous sont encore si familières, c’est incontestablement lié à l’utilisation de la photographie pendant le conflit, avec une importance grandissante tout au long des quatre années que durera la Première Guerre mondiale. Sera alors mis en lumière le rôle primordial joué par la photographie dans le conflit. La Première Guerre mondiale est l’un des premiers conflits modernes à être aussi largement documenté par l’image, et où chacun comprend l’enjeu que le médium peut représenter.

. © 2 Fi 1069/431 (Fonds Weckerlin-Boesch), Archives départementales du Haut-Rhin – image recadrée 4 place d'Austerlitz, 67000 Strasbourg Entrée libre — Mercredi > dimanche : 14h > 19h. Steve McCurry - Rétrospective - Nice. Le Théâtre de la Photographie et de l’Image présente du 27 juin au 21 septembre 2014 une rétrospective de 127 photographies du Steve McCurry.

Steve McCurry, né à Philadelphie en 1950 s’est fait remarquer en 1979 par son reportage photo réalisé en Afghanistan. Son sens des couleurs, de la lumière, sa sensibilité et sa poésie ont porté son œuvre bien au-delà des frontières journalistiques, pour devenir une référence en photographie contemporaine.Il sait percer l’âme d’un peuple ou d’un pays. Sa jeune réfugiée afghane aux yeux verts (Pakistan, 1984) qu’il a d’ailleurs retrouvée vingt ans plus tard, est l’une des plus célèbres icônes mondiales de la photographie. « De manière inconsciente, je crois, je guette un regard, une expression des traits ou une nostalgie capable de résumer ou plus exactement révéler une vie ». Afghan Girl, Peshawar, Pakistan, 1984© Steve McCurry / Magnum Photos. Exposition LA FNAC – UNE COLLECTION POUR L’EXEMPLE - Chalon-sur-Saône. A l’occasion de ses 60 ans, la Fnac et le musée Nicéphore Niépce, présentent l’exposition « LA FNAC – UNE COLLECTION POUR L’EXEMPLE », du 21 juin au 21 septembre 2014, à Chalon-sur-Saône.

Depuis plus de 40 ans, la Fnac a constitué une collection photo exceptionnelle comptant près de mille huit cents tirages où se côtoient Robert Doisneau, Édouard Boubat, Malick Sidibé, Antoine D’Agata, Martin Parr et bien d’autres. Diffusé dans toute la France en un temps où la photographie s’exposait que très peu dans les musées, ce fonds a permis de sensibiliser le grand public à l’expression photographique. Cette collection reflète une discipline artistique dans toute sa diversité.

Le musée Nicéphore Niépce propose aujourd’hui une première exposition constituée d’une sélection de plus de cinquante clichés. « LA FNAC - UNE COLLECTION POUR L’EXEMPLE » propose une première lecture de cette collection axée sur quelques icônes de la photographie depuis les années 1950. Territoires sensibles - Hennebont. Alger – Climat de France - Hôtel des Arts, Toulon. La Tentation du Paysage - Jumièges.

Les Désastres de la guerre. 1800-2014 - Lens. Cette exposition nous invite à le comprendre. Elle montre en quoi les artistes ont contribué au mouvement de désenchantement face à la guerre, qui s'amorce au tournant du 19e siècle, lors des campagnes napoléoniennes. Depuis toujours placée au centre des valeurs de la société, la guerre comme épisode nécessaire et inévitable allait de moins en moins faire consensus à partir du 19e siècle. Alors que l'art était dominé par la bataille héroïque, la guerre fut alors de plus en plus représentée sous toutes ses faces, y compris ses conséquences les plus atroces sur les humains, les animaux, la nature, les villes, les choses.

En 12 séquences, l'exposition pose les jalons majeurs de cette histoire méconnue, à travers une vingtaine de conflits. Elle rassemble 450 œuvres sur tous les supports : peinture, sculpture, dessin, gravure, photographie, cinéma, vidéo, image d'Epinal, presse, affiche, objet, etc. Expo collective - Chaumont-sur-Loire. Carte Blanche à Square Magazine - Chartres de Bretagne. © Aline Smithson Square au Carré est une exposition réalisée par Square Magazine au Carré d’Art de Chartres de Bretagne.

Square Magazine est une revue publiée sur le web et dont la particularité est de ne publier que des photographies au format carré. Pour cette exposition, Square Magazine a puisé dans les 4 années d’archives de la revue. La vingtaine d’auteurs choisis a une production très diversifiée et ce qui m’a marqué, en visitant Square au Carré, c’est que tous les supports et dimensions sont utilisés pour exposer les travaux: tirages couleur, noir & blanc, Duratrans, petits et grands… Tous les types de photographies sont aussi représentés: paysage, reportage, documentaire, recherche plastique, portrait… Un régal de variété pour les yeux… et rafraichissant en ce début d’été! © Christine MATHIEU « Le carré c’est presque rond, comme un œil. » Christophe Dillinger Rio de Janeiro © Vincent CATALA C’est du 20 février au 29 mars 2014, à la galerie Le Carré d’Art, à Chartres de Bretagne. Les enfantillages pittoresques - Angers. D’un point de vue général, la notion de série est importante dans le travail de l’artiste.

Elle le structure en profondeur. Certaines sont conçues comme des voyages (Petites machines à images), d’autres comme des variations (les Monolithes), d’autres comme des façons de mettre en valeur des rapports différents entre des objets (Derniers jours d’Emmanuel Kant), ou comme un assemblage d’images aux identités distinctes mais rassemblées par un même rapport au paysage (Les Tempestaires). Au travers des séries parfois distinctes formellement se distinguent deux grandes familles d’images : l’une entretenant des contacts étroits avec le paysage, l’autre puisant son inspiration dans de nombreuses références au dessin, replacées dans des environnements plus intimistes, plus repliés sur eux-mêmes, presque abstraits.

Laurent Millet est représenté par La Galerie Particulière à Paris, la Robert Mann Gallery à New York, et la galerie Spectrum à Saragosse. Catalogue de l’exposition. Nouvelle génération - Dunkerque. Vernissage le 17.05.14 à 17H00 Construction, dissolution, désarticulation et réarticulation des identités, émancipation, indépendance. Les postulats implicites de l’adolescence s’ébranlent. Ne pouvant mettre au pluriel un cas singulier, une typologie ne pourrait exister si une vision d’êtres dissemblables n’était fournie. Les artistes présentés s’emploient à en rendre compte. L’exposition se compose de quatre volets : Musique, révolte, mode et passions.

Cette exposition, occupant tout l’espace du Forum (niveau 4) du FRAC/AP2, consiste en une sélection d’oeuvres de la collection du Frac. Avec: Adel Abdessemed, Boris Achour, Emmanuelle Antille, Nina Beier, Bless, Victor Boullet, Elina Brotherus, Angela Bulloch, Tom Burr, Anne Collier, Matali Crasset, Robert Doisneau, David Douard, Ruth Ewan, Jenny Gage, Ryan Gander, Georg Gatsas, Daiga Grantina, Ali Hanoon, Annika Von Hausswolff, Sarah Jones, Richard Kalvzar, Anna Klamroth, Klara Liden, Erik Van Lieshout, Frederik Van Simaey, Mark Wallinger,

Jérôme Brézillon, Anne Rearick | America on board | Mulhouse. La Filature. Communiqué de presseJérôme Brézillon, Anne Rearick, Pieter Ten HoopenAmerica on board La série photographique On board rend hommage au lien passionné que Jérôme Brézillon entretenait avec le territoire américain. Il avait choisi, pour ce projet resté inachevé, de sillonner le pays à bord de trains et de capturer les paysages et les gens qu'il voyait de sa fenêtre. En regard de cette approche contemplative, les séries Appalachia, USA de Anne Rearick et Hungry Horse de Pieter Ten Hoopen, révèlent une proximité avec des communautés à la marge de la société, habitants de lieux reculés qui, à eux seuls, représentent toute la désolation de l'Amérique actuelle. Fasciné par les grands espaces américains, Jérôme Brézillon y a effectué deux voyages à un an d'intervalle en 2010 et 2011, et avait prévu d'en faire un troisième en 2012.

Disparu prématurément en 2012, il laisse une œuvre photographique inachevée, construite essentiellement en Amérique, territoire de perspectives et de souffle. Exposition "Plossu Cinéma : 1962-2009" de Bernard Plossu à l'Arsenal de Metz du 4 Juillet au 14 Septembre 2014 - Metz - My lorraine. L'œuvre singulière de Bernard Plossu, à la fois cinéaste, photographe et auteur, questionne et redéfinit de nouveaux partages du monde et de l'image.

Présentée à l'Arsenal durant toute la période estivale, l'exposition Plossu-Cinéma 1962-2009 s'organise autour de six thématiques : « Plossu Cinéma », « Le déroulement du temps », « Les cinémas de l'Ouest américain », « Réminiscences », « Train de lumière » « Michèle » Elles sont comme autant de séquences invitant à une déambulation ouverte, libérée de tout repère de temps et d'espace. Rendant compte du rapport singulier qu'entretient cette œuvre photographique avec le cinéma, l'exposition met par ailleurs en exergue cette passion formatrice du regard en parcourant quarante années de carrière. Rendez vous à l'Arsenal de Metz -Galerie d'exposition - 3, avenue Ney Entrée libre . 18e Biennale Internationale de l’image - Metz. Utopies Partagées, Georges Rousse - Lyon. Weegee - Toulouse.