Video. Jardin plantes. Construire une éolienne à axe vertical. Accueil » Fiches techniques » L'énergie et la motorisation Présentation Cette fiche contient les plans pour vous fabriquer une petite éolienne à vitesse constante.
Le but est d'arriver à la faire avec du matériel de récupération. Elle est capable de faire débiter entre 600 et 700 watts à un alternateur par un vent de seulement 30 km/h. Peu importe d'où vient le vent, de part sa conception, elle est toujours au top. Principe de fonctionnement Quatre pales en forme de godet tournent sous l'action du vent (fig. 10). Liste des matériaux Construction des pales Elles sont au nombre de quatre et sont taillées dans de la tôle de 2 mm d'épaisseur.
Les supports de pales Support inférieur Support supérieur La croix de liaison Biellette et accessoires Le socle Il se compose de quatre pieds reliés par deux plateformes.
Panneau solaire 1. Plans pour construire son four solaire - Fabriquer un cuiseur solaire. Derniers commentaires sur l'Atlas de la Cuisine Solaire: Romain: Bonjour Lulu, je te répond ici car je n'ai pas ton mail.
Construction de cuiseurs solaires. Four solaire de type boite à vitrage incliné Liste des pièces Réflexions sur l’inclinaison du double vitrage.
La NASA développe l'éolien de haut vol. Le secteur de l'éolien fourmille de projets tous plus séduisants les uns que les autres.
Toujours plus hautes, toujours plus performantes. Et si l’avenir appartenait aux éoliennes ? Moins chères à produire, moins longues à installer et plus performantes : les avantages de ce type d’éoliennes par rapport à leurs homologues dites « classiques » sont incontestables. La NASA l’a bien compris, elle qui a construit dans les laboratoires de Langley (Virginie, États-Unis) une turbine ayant vocation à devenir entièrement autonome. Celle-ci, qui sera peut-être l’avenir du secteur éolien, doit pouvoir se mouvoir à 600 mètres d’altitude sans opérateur humain.
Un pas de plus pour les énergies renouvelables Ces engins sont estimés environ 27 fois plus performants que ceux dont nous disposons aujourd’hui. 5 sources d’énergies renouvelables originales. Lorsque l’on évoque les énergies renouvelables, on ne pense en règle générale qu’à l’éolien, au solaire et à l’hydroélectrique.
La production énergétique peut pourtant provenir de nombreuses autres ressources, certaines insoupçonnées. Focus sur cinq sources d’énergies renouvelables “non-conventionnelles” qui donnent une petite idée de l’éventail des possibilités… Les arbres On l’oublie souvent mais les arbres conduisent de l’électricité, comme tout être vivant du reste… Bien que ce ne soit qu’en faibles doses [NDLR : selon des chercheurs du Massachussetts Institute of Technology (MIT) un arbre stocke environ 200 millivolts de tension électrique], l’énergie récoltée peut être conservée jusqu’à ce qu’elle gagne en puissance. En branchant à un arbre un conducteur spécial capable de « suinter » tout juste 20 millivolts d’énergie et de la stocker, il est par exemple possible d’alimenter des petits capteurs.
L’urine humaine : 0,2 millilitre, 1,5 microwatt, 15 heures. Les moyens. Stratégie low-cost (1): La maison la moins chère du monde, 509€, made in India par Tata. La conjoncture est à la réduction des coûts, de l’énergie et des effectifs: faire bien , voire mieux, pour moins, voilà le cri de la guerre économique actuelle.
Domoclick.com vous invite à découvrir des innovations et des chefs d’entreprises audacieux dans une série de sujets sur la stratégie low-cost. Le groupe indien Tata prépare une maison à 500 euros. Sa commercialisation est attendue courant 2012. Après la voiture, le groupe industriel Tata s’attaque au marché immobilier avec sa maison qui ne coûtera que 509 euros (3200 roupies) vendue en kit et facile à monter en une semaine.Comme le remarquait la presse Indienne au moment du lancement, « c’est moins cher qu’une tablette iPad » ou une pompe à chaleur.
Mais plus cher que la serrure d’une porte. Le modèle préfabriqué à 700€ selon Tata house La « Nano », c’est son nom, mesurera 20 mètres carrés. Montpellier, nouvelle « Capitale française de la biodiversité » La capacité de Montpellier à intégrer la nature et la biodiversité dans le tissu urbain a persuadé le jury de Natureparif Le jury avait été séduit l’an passé par une commune nordiste à la renommée étriquée, Grande Synthe, qui contre toute-attente devança quatre-vingt prétendantes pour être désignée « Capitale française de la Biodiversité 2010 ».
Organisé lui aussi par l’Agence régionale pour la nature et la biodiversité en Île-de-France Natureparif, placé sous l’égide de la Commission européenne à travers le programme Life+ – qui le co-finance – et parrainé par le réalisateur Jean-Paul Jaud, le concours 2011 a consacré hier Montpellier (Hérault). Un joli succès pour une métropole qui jouit déjà d’une très bonne réputation auprès de nombre de nos concitoyens de par son climat et la jeunesse de sa population, entre autres (et qui, pour la petite histoire, héberge également la plus vieille faculté de médecine du monde).
Crédits photos : flickr – Chris Yunker / Wolfgang Staudt.