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Boom et crise du bitcoin

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Après MtGox, Bitcoin prépare sa révolution. 01net. le 21/03/14 à 15h41 « Gox », chronique d’une catastrophe annoncée MtGox, ou plus simplement « Gox », comme la surnommaient les habitués, faisait office de running gag dans le monde du cryptotrading, le terme Goxed étant devenu synonyme de « dépouillé, attrapé ».

Après MtGox, Bitcoin prépare sa révolution

L’importance des volumes échangés, de la relative liquidité du marché et un prix souvent sensiblement supérieur à celui des autres plateformes (comme Bitstamp ou BTC-E) faisaient oublier son interface lacunaire, qui contraignait les utilisateurs à recourir à d’autres services pour visualiser les cours, notamment. Mais Gox restera surtout dans les annales pour avoir joué un rôle de premier plan dans les plus grands crashs de Bitcoin à ce jour : - juin 2011 : un hack de la plate-forme suscite une grave crise de confiance suivie d’une correction prolongée durant laquelle Bitcoin a perdu plus de 90% de sa valeur. - février 2014 : faillite dans des circonstances des plus douteuses.

MtGox était, à bien des égards, une relique. Tracfin révèle la face cachée du Bitcoin et des autres monnaies virtuelles - 4 mars 2014. Depuis six mois, Tracfin, la cellule de lutte contre le blanchiment de Bercy, a demandé à l’une de ses jeunes recrues de plancher de manière approfondie sur les monnaies virtuelles.

Tracfin révèle la face cachée du Bitcoin et des autres monnaies virtuelles - 4 mars 2014

CV du limier : des études en géographie doublées d’une formation d’actuaire… "Nous aimons les profils originaux, les gens qui aiment mener des traques", explique Jean-Baptise Carpentier, qui dirige Tracfin. Et une telle volonté d’enquêter, il en faut pour se plonger dans la jungle des monnaies virtuelles sur Internet. Bitcoin est désormais largement connu, notamment après la faillite retentissante de la plateforme MtGox. Mais on croise aussi sur le web Liqpay, Rupay, Paxum, Intellect money… Une zone grise de la finance se dessine. Les réseaux de malfaiteurs ont leur préférence dans ce portefeuille, selon Tracfin. Ecoin sert à payer les médicaments contrefaits mais aussi les spammeurs chargés d’en faire la publicité, faux Viagra en tête.

Les criminels peuvent faire des dépôts en cash sans aucune vérification. La plate-forme de jeux Zynga renvoie le bitcoin au-dessus des 1000 dollars. Pourquoi les économistes devraient être intéressés par le bitcoin. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nicolas Houy (CNRS) Une bulle ?

Pourquoi les économistes devraient être intéressés par le bitcoin

Un actif purement spéculatif dont la valeur a été multipliée par soixante en 2013 ? Un shéma de Ponzi ? Une monnaie avec une base d'une dizaine de milliards d'euros ? Le dernier système imaginé par les pros de l'évasion fiscale ? Les économistes ont vite fait de mettre le bitcoin dans une catégorie dont ils ont l'habitude de traîter et de le trouver au mieux inutile, le plus souvent néfaste, en tout cas, à éviter. Quel(s) risque(s) prend-on à investir dans le Bitcoin ? Coup dur pour le bitcoin.

Quel(s) risque(s) prend-on à investir dans le Bitcoin ?

La principale plateforme indienne de transaction de la monnaie virtuelle vient d’annoncer qu’elle suspendait ses opérations après une mise en garde de la banque centrale. La monnaie virtuelle commence à inquiéter beaucoup de monde et ce nouveau concurrent commence à émouvoir les banques centrales. En quelques semaines, le bitcoin a touché les plus hauts et frôlé les plus bas. Cette monnaie virtuelle connaît une formidable volatilité. Elle valait moins de 10 euros en janvier 2013, plus de 200 en avril. Si de tels mouvements de yoyo peuvent inquiéter le néophyte, ils sont aussi une indication de l’attention qu'un nombre grandissant d'investisseurs prêtent à cette monnaie électronique.

Comment fonctionne cette monnaie ? Mais quelle est donc cette étrange monnaie? Qui garantit sa valeur? Clap de fin pour le Bitcoin? Fin d'année terne pour la monnaie virtuelle qui a éveillé l'intérêt des investisseurs depuis quelques mois.

Clap de fin pour le Bitcoin?

Après que les Etats-Unis aient mis en garde contre l'utilisation du Bitcoin et que la Chine ait formellement interdit aux institutions financières nationales de frayer avec cette nouvelle devise, entraînant au passage les cours à la chute, c'est au tour de la Norvège de faire part de son scepticisme. Le pays a annoncé que le Bitcoin ne répond pas aux critères nécessaires pour être considéré comme une monnaie et que, de fait, la détention de Bitcoins impliquera l'imposition d'un taxe sur le capital, comme l'a déjà fait l'Allemagne.

Cette taxe, dont le montant n'a pas été précisé pour le moment, devrait être faible et ne pas vraiment conduire à un rejet du Bitcoin par les investisseurs et particuliers. En revanche, on peut s'attendre sans surprise que l'ensemble de la communauté internationale se positionne progressivement vis-à-vis du Bitcoin. Après la Chine, l'Inde démonétise le bitcoin. Le bitcoin semble être entré dans une période agitée.

Après la Chine, l'Inde démonétise le bitcoin

En Inde, la principale plateforme de transaction de la monnaie virtuelle a annoncé ce vendredi qu'elle suspendait ses opérations. Et celles-ci ne reprendront pas "tant que ne sera pas défini plus clairement le cadre réglementaire dans lequel nous pouvons opérer" a précisé BuySellBitCo.in sur son site internet. Cette plateforme enregistrait pour environ 12 millions de roupies de transactions par mois (140.000 euros), selon la presse indienne, et le dernier taux publié par ce site proposait un bitcoin pour 48.039 roupies. Alerte sur le bitcoin! Les autorités monétaires mettent en garde contre les dangers du « bitcoin » Cette monnaie virtuelle peut être utilisée pour blanchir des capitaux et sa conversion en devise légale n’est pas garantie.

Les autorités monétaires mettent en garde contre les dangers du « bitcoin »

Il effraie les parents qui se demandent ce que leurs enfants trafiquent avec leur « compte bitcoin » sur le Web. Il intrigue la planète Internet, sur laquelle son nom fait de plus en plus le « buzz ». À présent, le « bitcoin », une monnaie virtuelle, inquiète la très sérieuse… Banque de France, qui s’est fendue jeudi 5 décembre d’une note sur « les dangers du développement des monnaies virtuelles ».

Le même jour, la banque centrale chinoise a, à son tour, adressé une mise en garde similaire. Explications sur l’origine, l’expansion et les risques de cette monnaie virtuelle. Note de la Banque de France à propos du Bitcoin.