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Ordinateur à ADN

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Des bactéries programmées pour détecter des maladies. Les chercheurs ont programmé des bactéries pour détecter des molécules particulières. © AJ Cann, Flickr, microbiologybytes.com, cc by sa 2.0 Des bactéries programmées pour détecter des maladies - 3 Photos Les bactéries ont mauvaise réputation et sont souvent considérées comme nos ennemis causant de nombreuses maladies comme la tuberculose ou le choléra.

Des bactéries programmées pour détecter des maladies

Cependant, elles peuvent aussi être des alliées comme en témoignent les travaux de plus en plus nombreux sur notre flore bactérienne, ou microbiote, qui joue un rôle majeur dans le fonctionnement de l’organisme. Depuis l’avènement des biotechnologies, les chercheurs ont modifié des bactéries pour produire des molécules thérapeutiques ou des antibiotiques. Dans ce nouveau travail, elles deviennent un véritable outil de diagnostic.

Le diagnostic in vitro est basé sur la présence dans les liquides physiologiques (sang, urine par exemple) de molécules caractéristiques d’une pathologie donnée. Sur le même sujet. Des cafards chargés de nano-ordinateurs à ADN. Les cafards sont des insectes qui peuvent effrayer, surtout lorsqu’on en retrouve un sous son lit.

Des cafards chargés de nano-ordinateurs à ADN

Des assemblages d'ADN rompus au jeu et au travail. Ce disque dur à base d'ADN stocke des données pendant 1 million d'années › Technologie. Crédits : Philipp Stössel/ETH Zurich Des scientifiques ont trouvé un moyen de conserver des données durant un million d'années, en les stockant dans un fragment d'ADN inséré dans du verre.

Ce disque dur à base d'ADN stocke des données pendant 1 million d'années › Technologie

Les scientifiques savent depuis longtemps que l'ADN est un support de stockage idéal. En théorie, à peine un gramme d'ADN peut permettre de stocker pas moins d'un milliard de gigabits. De quoi y stocker largement les données de tous les utilisateurs de Facebook... Quant à la façon de procéder, elle a été également imaginée depuis plusieurs années déjà : il "suffit" d'affecter la valeur "0" ou "1" aux quatre célèbres bases azotées qui composent l'ADN : l'adénine, la thymine, la cytosine et la guanine. Mais la question est de savoiir comment préserver durablement ces informations ainsi stockées dans le fragment d'ADN. L'ordinateur biologique a enfin son transistor biologique ! Une équipe de bio-ingénieurs de l’Université de Stanford viennent de faire passer l’informatique dans le royaume vivant de la biologie.

L'ordinateur biologique a enfin son transistor biologique !

L’équipe a développé un transistor biologique fabriqué à partir de matériel humain, de l’ADN et de l’ARN. Il s’agissait du dernier maillon permettant de créer un véritable ordinateur biologique. Le transcriptor Ils ont donné le nom de transcriptor à leur transistor biologique. La création de ce transcriptor permet aux ingénieurs de contrôler, par exemple, quand des cellules ont été exposées à certains stimuli extérieurs ou à des facteurs environnementaux.

. « Les ordinateurs biologiques peuvent être utilisés pour étudier ou reprogrammer les systèmes vivants, surveiller l’environnement, et améliorer les thérapies cellulaires. » Drew Endy, PhD, principal auteur de cette recherche. De l'ADN transformé en ordinateur. Mille milliards d'ordinateurs dans une goutte d'eau.

De l'ADN transformé en ordinateur

Agitez, c'est calculé. C'est ce que revendique une équipe israélienne dans la revue Science (1), en annonçant la mise au point d'un ordinateur biologique capable de mener un calcul mathématique très simple sur mille milliards de «nombres». Dossier sagascience - Nanotechnologies et santé. Adn_ordinateur.pdf. Un ADN artificiel pour les ordinateurs du futur - neotrouve sur LePost.fr (10:20) Publié parneotrouve post non vérifié par la rédaction 22/05/2009 à 20h43 - mis à jour le 23/05/2009 à 10h20 | vues | réactions Bienvenue dans la Matrice de la Bio-informatique !

Un ADN artificiel pour les ordinateurs du futur - neotrouve sur LePost.fr (10:20)

Ce n’est ni plus ni moins que le code “ADN” qui est en train d’être testé pour servir de cerveau à des ordinateurs. Et ce n’est pas de la science fiction ! Un système de calcul utilisant de l’ADN s’appuie sur des mécanismes de codage fondamentalement différents de ceux de l’ordinateur conventionnel : Dans nos machines classiques, c’est la manipulation de charges électriques portés par des électrons au sein de dispositifs de commutation électroniques (transistors) qui matérialise l’information codée sous une forme binaire. Ordinateur à ADN. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ordinateur à ADN

L'ordinateur à ADN est une des voies non électroniques actuellement explorées pour résoudre des problèmes combinatoires. Il ne prétend pas à la généralité et à la flexibilité d'un ordinateur général. Il s'agit plutôt d'un dispositif spécialisé comme peut l'être un processeur graphique, une carte son ou un convolveur. Son principe, énoncé par Leonard Adleman en 1994, « consiste à coder une instance du problème avec des brins d'ADN et à les manipuler par les outils classiques de la biologie moléculaire pour simuler les opérations qui isoleront la solution du problème, si celle-ci existe[1]. » Histoire[modifier | modifier le code] Ce domaine a été initialement développé par Leonard Adleman de l’université de Californie du Sud, en 1984[2].

En mars 2013, les chercheurs ont créé un transcripteur (un transistor biologique). Fonctionnement[modifier | modifier le code] Avantages et inconvénients[modifier | modifier le code] En 2002, J.