background preloader

Biens communs et droit de copie

Facebook Twitter

Biens communs. Revue du web : BIEN COMMUN. Fiches de lecture et références bibliographiques. Master Recherche Infocom Biens communs numériques. Louise Merzeau. Entretiens à propos du Master Recherche Infocom Biens communs numériques by Sylvia Fredriksson. (Biens) communs : Contours et repères. En tant que collectif attaché à la défense et la promotion des biens communs, SavoirsCom1 relaie le texte Contours et repères écrit par le Réseau francophone des biens communs initié par l’association Vecam.

(Biens) communs : Contours et repères

Le Réseau francophone des biens communs est par ailleurs à l’origine de l’événement Villes en Biens Communs auquel s’associe SavoirsCom1. Plus qu’un concept, les biens communs constituent un cadre de pensée pour l’action. Les politiques économiques traditionnelles (néo-classiques, keynésienne…) restent impuissantes. Les citoyens ont perdu confiance dans les institutions politiques représentatives, les corps intermédiaires et les structures économiques comme les banques. La planète secouée de crises – aux conséquences multiples économiques et sociales autant qu’écologiques… – ne peut se réduire à une lecture binaire : marché contre État. Biens Communs. Distinguer bien commun et bien(s) commun(s) Bien commun et bien(s) commun(s) C’est à Thomas d’Aquin que l’on doit la notion philosophique de bien commun, bonum communis.

L’évolution de cette notion demande un rappel historique, et philosophique, pour mieux comprendre la nécessaire distinction entre « Bien commun » et « biens communs ». Ce court texte, cette fiche même, réunit quelques remarques, écrites trop rapidement, que j’espère utiles s’agissant d’une notion extrêmement ancienne, et même chargée historiquement, mais qui n’est utilisée que depuis peu dans notre secteur [1].

La note tourne autour de la distinction nécessaire entre « Bien commun » et « biens communs ». Un peu d’étymologie Non seulement les notions, mais le vocabulaire lui-même proviennent des romains. SavoirsCom1. Veni, vidi, Copy. Si vous gravitez un tant soit peu par conviction, par affinité ou par obligation autour du petit monde des bibliothèques, vous n'avez donc pas pu manquer "the big thing", le truc dont tout le monde parle (encore), je veux bien sûr parler de la Copy-party du 7 mars 2012 organisée à la bibliothèque universitaire du pôle universitaire yonnais (= la roche sur yon).

Veni, vidi, Copy

Chose promise, chose dûe, un billet pour faire le point et répondre à la question : Que retenir de tout cela ? C'EST PAS MOI C'EST EUX. Avec mes deux petits camarades, Silvère Mercier et Lionel Maurel, on s'est gourmandement partagé les diverses interventions médiatiques (j'y reviens plus tard). Mais il faut ici rappeler que si j'ai été enchanté de jouer au GO (gentil organisateur), c'est à eux et à eux seuls que revient l'entière paternité du concept (là c'est plutôt Silvère) et surtout le cadrage juridique de l'opération (là c'est plutôt Lionel).

Au-delà du seul Twitter, et comme le rappelait récemment Lionel Maurel : Sharing (le livre) Je n’ai pas le droit de lire le livre que j’ai acheté. Quand on achète un livre papier, on peut le lire à l'oeil nu, ou avec des lentilles, des lunettes, et ce quelle qu'en soit la marque.

Je n’ai pas le droit de lire le livre que j’ai acheté

Quand on achète un livre numérique, son éditeur vous oblige généralement, non seulement à porter des lunettes, mais également à acheter telle ou telle marque de lunettes, sans quoi vous ne pouvez pas lire le livre que vous avez pourtant acheté... Il y a quelques mois, un éditeur me menaçait, et tenait à préciser que le livre numérique que je m'apprêtais à lire avait été "tatoué" de sorte de surveiller l'utilisation qui en serait faite, et de "retrouver la personne qui dépose de tels fichiers sur Internet"... ce qui avait eu le don de m'escagasser un tantinet (voir Lisez, vous êtes surveillés).

Plus récemment, un autre éditeur m'a expliqué que je n'avais effectivement pas le droit, ni la possibilité, de lire le livre numérique que je lui avais pourtant acheté... Je suis un honnête gens. Conséquemment, je ne télécharge pas de fichier copyrighté. L’INA sur YouTube : le bien et le mieux [Eclats de S.I.Lex] On a appris en début de semaine que l’INA avait décidé d’enterrer la hache de guerre avec YouTube, pour conclure un partenariat prévoyant la diffusion de 57 000 vidéos filigranées, en échange d’un partage de revenus publicitaires.

l’INA sur YouTube : le bien et le mieux [Eclats de S.I.Lex]

Ce faisant, l’INA abandonne les poursuites, qui avaient conduit en 2010 à une condamnation de Youtube en première instance. L’Institut poursuit par ailleurs sa politique de dissémination des contenus sur les médias sociaux, qui l’avait conduit à conclure un premier accord avec Dailymotion en 2010, pour la diffusion de 40 000 vidéos.

(vidéo L’Europe des Cultures de l’INA sur Youtube) Plagiat_scolaire.