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Affaire megaupload

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Au revoir Megaupload... mais pas adieu le piratage. Quand je pense aux magnats des sites étrangers de partage de fichiers, je m'imagine tout un tas de corsaires d'Internet, aussi malins qu'intouchables —c'est bien pour cela qu'on parle de Pirate Bay, non? Depuis jeudi, l'image a pris du plomb dans l'aile avec la fermeture de Megaupload, l'un des sites d'hébergement les plus importants au monde. Au final, il aura fallu une action conjointe des autorités américaines, hong-kongaises et néo-zélandaises, assistées de la gendarmerie kiwie et d'autres forces de polices internationales, pour venir à bout du site, couper tous ses serveurs et arrêter une demi-douzaine de ses principaux dirigeants.

Parmi les interpellés se trouvait le fondateur de Megaupload, un pirate informatique replet au passé chargé et au goût prononcé pour les filles en bikini, connu sous plusieurs noms tels Kim Dotcom et Kim Tim Jim Vestor (son véritable patronyme est Kimble Schmitz). publicité 7% du trafic internet mondial Différent des sites de torrents Bill Wyman. Megaupload fermé parce qu'il projetait de lancer un service concurrent à iTunes ? Interview exclusive ZDNet.fr - 27/01/2012Emmanuel Gadaix, responsable technique de MégaUpload, ne s'est pas exprimé depuis la fermeture du site. Il revient sur le projet d’offre légale MegaBox, une initiative qui dérangeait selon lui certains groupes d'intérêts. Lire l'entretien Voilà une rumeur qui ne va pas manquer d’alimenter les conversations autour de Megaupload. Le site aurait été fermé non pas à cause du piratage de contenus mais au contraire parce qu’il s’apprêtait à lancer une offre légale qui aurait pu bouleverser le schéma classique de l’industrie musicale, en mettant sur la touche les labels et les associations d’ayants-droit.

Le service en question qui se nomme Megabox a été évoqué en décembre dernier par Torrent Freak qui avait interrogé Kim Dotcom, le fondateur de Megaupload. À l’époque, ce dernier était en conflit avec la RIAA et la MPAA qui avaient publié une vidéo antipiratage dans laquelle il était présenté comme un voyou détroussant les ayants-droit.

High-Tech : Megaupload : la justice refuse de libérer Kim Dotcom. Le patron du site de téléchargement, arrêté jeudi dernier en Nouvelle-Zélande, pourrait être extradé aux États-Unis. Il nie avoir participé à une entreprise de piratage à grande échelle. Le fondateur du site Megaupload reste en prison. Mercredi matin, la justice néo-zélandaise a refusé la libération sous caution demandée par Kim Schmitz, alias Kim Dotcom. Ce dernier sera maintenu en détention au moins jusqu'au 22 février, lors d'un premier examen de la procédure d'extradition souhaitée par les États-Unis. Dans un jugement écrit, le juge David McNaugton a estimé que «la détermination et les ressources financières» du fondateur de Megaupload faisaient peser «un risque de fuite avéré» hors de Nouvelle-Zélande.

Le FBI, qui a gelé 50 millions de dollars d'actifs de l'homme d'affaires et coupé l'accès à ses sites vendredi, n'écarte pas que Kim Dotcom puisse disposer d'autres réserves cachées. Une arrestation mouvementée Les États-Unis demandent son extradition » Comment fonctionnait Megaupload. MegaBox : la vraie raison de la fermeture de MegaUpload par le FBI ? C’est la rumeur qui enfle sur le Web : c’est à cause du lancement qui aurait dû être imminent de MegaBox que le FBI et la Justice américaine sont intervenus. Effectivement, MegaBox aurait mis à mal les services musicaux et vidéos connus, en rétribuant les artistes à hauteur de… 90%.

Ça n’a échappé à personne : MegaUpload (MU) et ses services sont fermés. Les services similaires ou quasi-similaires changent rapidement leurs modèles, mettent des barrières pour éviter de subir le même sort. Mais au fond, risquent-ils vraiment quelque chose ? Car à y regarder de plus près, MegaUpload et son désormais médiatisé fondateur Kim Dotcom seraient tombés à cause de MegaBox. Kim Schmitz, alias Kim Dotcom, à droite sur la photo, fondateur du site Megaupload.com a été interpellé vendredi 20 janvier à Auckland après s'être retranché, armé, dans sa villa.

MegaBox est un service dont les premiers indices sont arrivés sur le Web via TorrentFreak, en décembre 2011. Bref, les majors semblent avoir pris peur. Megaupload founder denied bail by New Zealand court. 25 January 2012Last updated at 03:05 Mr Dotcom's Megaupload site allegedly cost copyright holders at least $500m in lost revenue.

The founder of file-sharing website Megaupload has been denied bail by a New Zealand court. German national Kim Dotcom - also known as Kim Schmitz - was arrested with three others in Auckland on 20 January in a raid requested by the US Federal Bureau of Investigation. He has been accused of internet piracy and money laundering. Meanwhile, US officials said Dutch police had arrested a fifth suspect - Andrus Nomm, 32. A US indictment identifies Mr Nomm as a citizen of Estonia and head of Megaupload's Development Software Division. Mr Dotcom's lawyers have said his company simply offered online storage, and that their client is innocent.

Judge David McNaughton said that Mr Dotcom posed a flight risk and remanded him in custody until 22 February, when US authorities' application for Mr Dotcom's extradition will be heard. Megaupload file-sharing site shut down, founders charged. Megaupload, one of the internet's largest file-sharing sites, has been shut down by officials in the US.

The site's founders have been charged with violating piracy laws. Federal prosecutors have accused it of costing copyright holders more than $500m (£320m) in lost revenue. The firm says it was diligent in responding to complaints about pirated material. In response, the hackers group Anonymous has targeted the FBI and US Department of Justice websites. The news came a day after anti-piracy law protests, but investigators said they were ordered two weeks ago. The US Justice Department said that Megaupload's two co-founders Kim Dotcom, formerly known as Kim Schmitz, and Mathias Ortmann were arrested in Auckland, New Zealand along with two other employees of the business at the request of US officials. The FBI website was intermittently unavailable on Thursday evening due to what officials said was being "treated as a malicious act".

Third-party sites Blackouts.