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La Terre des Survivalistes. La microconsommation - La fin de la crise. L'auteur de ce concept est Jean-Luc Cadiot dont la page facebook est ici, l'adresse email est clavicule33@yahoo.fr et le numéro de téléphone est 06 83 27 89 35. Vous pouvez me contacter par téléphone de préférence tous les soirs de 17h15 à 21h et durant toute la journée des week-ends et jours fériés. Si vous n'arrivez pas à me joindre c'est sans doute parce que je n'ai pas mon téléphone sur moi. Dans ce cas, n'hésitez pas à me laisser un sms sans oublier de vous présenter. Définition La microconsommation est un concept que j'ai découvert fortuitement lors de l'expérience de survivalisme que j'ai réalisée avec Corinne. Enfin, la dernière caractéristique de la microconsommation est l'autorégulation. La microconsommation permet donc de s'affranchir des services imposés par les multinationales, et donc, de faire face à la crise économique actuelle, elle est une véritable révolte économique citoyenne, un outil puissant pour faire plier ou disparaître les lobbys.

Le Rasage. Contact. Le village. Diviser les français - La fin de la crise. Vivre en autonomie en France : une réalité. Si vous pensez que tout plaquer pour une vie d’aventures n’est possible qu’à l’étranger, détrompez-vous. Pas besoin d’habiter à l’autre bout du monde pour vivre sa liberté. Nico, Marina et leur tribu prouvent que tendre vers l’autonomie n’est pas utopique en France. Vous me direz : C’est bien beau tout ça mais ça demande un certain budget et des conditions.

Tout dépend de ce que vous voulez vraiment être. Nico, expatrié de la société de consommation C’est dans la montagne ariégeoise, sur deux hectares de terrain-forêt que l’aventure de Nico commence. Un village à proximité n’est malgré tout pas de refus Ne le prenez pas pour un ermite, cet ingénieur informatique est un vrai entrepreneur. Avec sa compagne Marina et leurs 5 enfants, ils tendent vers l’autonomie Tant matérielle que psychologique.

Parce que le rapport temps/argent imposé par un système qui s’écroule ne semble plus adapté. Deux amis proches se joignent à la tribu pour l’aventure. Dans des yourtes disséminées à flan de montagne. Yohanaelle Project. Objectif des 2 000€ atteint et même dépassé ! Mille merci à vous tous ! Bonjour à tous et bienvenue sur notre page Ulule, la plupart d'entre vous nous connaisse mais pour certains il est nécessaire de présenter notre projet. Il s'agit d'une création d'un espace agro-écologique culturel autonome basé sur l’expérimentation. Quoi qu'est-ce ?? Quelques petites précisions.... Ce lieu a pour objectifs de : Produire en maraîchage des fruits et légumes biologiques, des herbes aromatiques et des plantes médicinales. Evidemment, il faut commencer par la base, c'est à dire l'espace agro-écologique.

Dans un premier temps, nous souhaitons donc créer un jardin-maraîcher biologique en: S'inspirant de la permaculture, de l'agro écologie et de la biodynamieUtilisant les savoir-faire paysans et en valorisant la traction animaleRéconciliant l'agriculture et la protection de l'environnementUtilisant les énergies nouvelles (solaire, éolien..)S'orientant vers une agriculture plus qualitative que quantitative. Ils ont choisi de vivre en marge - 16/02/2014.

Il y a quelques années, refusant la dictature des marques, un mouvement né au Canada s’est répandu dans le monde entier comme une traînée de poudre : le no - logo s’affichait en tee-shirt pour dire haut et fort son refus de la société de consommation. Par choix, comme les «babas cool» de la vallée de Festes et saint André dans l’Aude, ou «les peluts» d’Ariège, par difficultés économiques aussi, ils sont nombreux a avoir tourné le dos au système.

Mais attention prévient le sociologue spécialiste du post modernisme et des nouvelles tribus Michel Maffesoli, «ils ne sont pas pour autant marginaux». Ce sont des hommes et des femmes qui ont eu un jour envie de prendre un peu de recul. Avec des enfants qui parfois n’avaient rien demandé comme l’explique l’écrivain Djalla-Maria Longa qui raconte son expérience d’enfant chez les «hippies». Ce n’est pas un phénomène qui est l’apanage des campagnes. Ce que résume le sociologue par l’expression «ils ne veulent pas perdre leur vie à la gagner». EVA, projet d’éco-village artistique – RESSOURCE. Le projet EVA est celui de la création d’un centre artistique, culturel, écologique et pédagogique, sous la forme d’un écovillage. Conçu en intelligence avec la Nature et l’Homme, l’écovillage assurera les autonomies énergétique et alimentaire nécessaires à son fonctionnement.

L’objectif principal est de mettre en place l’ensemble des infrastructures et services nécessaires à la réalisation et à la diffusion d’oeuvres artistiques et culturelles, dans un cadre de travail et de vie, enchanteur et préservé. Un zôme studio d’enregistrement, une salle multi-activités, un café culturel, plusieurs espaces scéniques et d’exposition (salles de concerts, amphithéâtre de verdure, musée-galerie d’art), ainsi qu’une trentaine de couchages (maison d’accueil, gîtes, yourtes, earthship, éco-dômes, espace camping…), constitueront le coeur des infrastructures d’hébergement et d’accueil. Une implantation durable : agir local, penser global Charte de valeurs.

Jeux Olympiques, l’enfer du décorum non relayé par les médias. Coupures d’électricité, pollution de l’eau, expulsions… A Sotchi et aux alentours, la population Icône de liens externes locale souffre des conséquences des chantiers olympiques. Reportage dans le village d’Akhshtyr, perché dans les montagnes du Caucase. On accède difficilement au village d’Akhshtyr, à 15 km de l’aéroport de Sotchi, via une petite route cabossée par le passage des camions. « Nous pensions que les Jeux Olympiques allaient nous apporter la civilisation… Les déchets, la saleté, le bruit, c’est tout ce que nous avons eu !

», lance en guise d’accueil Alexander Koropov, l’un des anciens du village. Un village pollué par une décharge de déchets Déçus, en colère, ils pâtissent depuis plus de cinq ans des travaux de l’autoroute et de la ligne de chemin de fer reliant l’aéroport de Sotchi au site olympique de montagne Krasnaya Poliana. . « Les autorités ont confisqué une partie de mon jardin, affirme Alexander. Plus d’eau potable Icône de liens externes . Source : La Vie . .