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Culture et nourriture

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Le four solaire à entonnoir. Le four solaire à entonnoir Comment fabriquer et utiliser le four/refroidisseur solaire BYU Par Steven E. Jones, Professeur de physique de l’université Brigham Young (BYU), avec Colter Paulson, Jason Chesley, Jacob Fugal, Derek Hullinger, Jamie Winterton, Jeannette Lawler, and Seth, David, Nathan, and Danelle Jones. Introduction Il y a quelques années, j’ai soudainement réalisé que la moitié des peuples du monde doit brûler du bois ou des excréments séchés pour cuire les aliments. C’est carrément devenu un choc pour moi, quand j'ai connu les maladies provoquées en respirant quotidiennement les fumées, l’impact de la déforestation sur l’environnement – sans mentionner la perte de temps pour les gens (principalement les femmes) collectant du bois et des excréments pour faire cuire leur nourriture.

Le four parabolique implique un plat réfléchissant qui concentre la lumière du soleil en un point où cuire la nourriture. Comment çà marche Comment fabriquer votre propre four solaire à entonnoir 1. MALIN | Comment survivre sans Frigo? « A force de tout stocker dans le réfrigérateur, on en arrive à ne plus savoir conserver nos aliments. ». Cette réflexion, pleine de bon sens, ne manque pas d’arguments: qui sait que la tomate (en bon fruit qui se respecte) ne supporte pas le froid? Qu’on ne mélange pas la laitue avec les clémentines du marché, sous peine de les les voir s’asphyxier d’éthylène et de pourrir prématurément? Rassurez-vous il y a plein de trucs et astuces* pour bien conserver tout ce petit monde – la première étant par exemple de bien séparer les fruits des légumes – ce à quoi s’est brillamment attelée Jihyun Ryou, designer d’origine coréenne, qui propose toute une série d’appliques alimentaires esthétiquement ravissantes et pleines d’astuces pour suppléer au bon vieux garde-manger de nos grands-mères: On ne saurait que trop vous conseiller de reprendre à votre compte ses bonnes idées: et si de votre côté vous avez développé vos propres techniques de survie culinaires, n’hésitez pas à nous les envoyer!

Fiche technique : la tour de pommes de terre. Il existe une méthode qui permet de cultiver des pommes de terre hors sol. Vous pouvez ainsi les faire pousser sur un balcon, dans un petit jardin, ou bien encore sous une serre. Cette technique est bien connue des anglais, qui sont littéralement accro de jardinage "en pot". Le principe est tout simple et consiste à butter les plants pommes de terre tout au long de leur croissance.

Commencez par vous procurer une terre acide (Ph 5,5 - 6) et veillez à garder la terre humide tout au long de la culture, c'est-à-dire entre 3 et 5 mois selon les variétés de pomme de terre. Les pommes de terre vont donc pousser dans un «pot» ayant un peu la forme d'une «tour». Vous pouvez utiliser à cet effet une jarre, un bac, un bac à compost ou même le faire vous même avec du grillage et un sac plastique ou des pneus recyclés. Si vous utilisez une jarre ou autre bac rigide, veillez à bien le mettre à la lumière afin que le germe soit stimulé et puisse grandir.

Notes importantes : Le cycle de vie de la pomme de terre.

Cultures

Recette de survie : le chapati. Ou manière d’utiliser sa farine pour faire une sorte de pain quand on n’a ni levain ni levure à sa disposition : Ingrédients : 225 g de farine à pain - 2,5 ml [1/2 c. à café] de sel - 15 ml [1 c. de table] d’huile - 10 à 20 cl d’eau - Un peu de farine pour rouler les chapatis Préparation : 1. Tamiser la farine dans un bol; ajouter le sel et mélanger. Incorporer l’huile. 2. 4. 5. Grain de blé tendre Recette indienne mélangeant de la farine complète avec de l’ordinaire : La farine est obtenue par un broyage fin des grains de céréales, en général du blé tendre. Le fonctionnement est très simple : on verse une poignée de grains dans la réserve en haut, on ferme le "dôme" de protection en métal, puis on tourne ! L’étape suivante consiste à tamiser le broyat. Mais la poudre obtenue après broyage n’est pas blanche, mais marron clair, à cause de l’enveloppe des grains. Il est possible de "blanchir" la farine en éliminant plus ou moins le son, c’est à dire l’enveloppe des grains.

Démonstration : Guide de Survie Chapitre 2. En cuisinant avec le Soleil. Le sac d'évacuation - La nourriture. Le pain. Le pain est un des pilier de notre alimentation. Chaque culture, et ceci depuis des générations, a étudiée, expérimentée et adoptée un apport nutritif basé sur le mélange d'eau, de sel et de farine. L'histoire du pain commence dès le Paléolithique supérieur (situé entre 35 000 et 10 000 ans avant notre ère…il correspond à la fin de la dernière période glacière). Des traces de pain sans levain ont été trouvées sur plusieurs sites datant de 30 000 av.

J.C. Pour le survivaliste, faire son propre pain est une pratique intéressante a plusieurs niveaux. Tout d'abord, nous utilisons ici des produits de base qui devraient être de nos stocks; eau, farine, sel et levure. Nous stockons ces produits, avec le miel et le sucre par exemple, dans des quantités assez importantes, car nous considérons ces ressources comme piliers de notre prévoyance alimentaire. Et puis bien sur, faire son propre pain est source de plaisir… Voici donc quelques recettes et méthodes… Ingrédients pour la poolish : Méthode : La cueillette - une spécialisation sauvage de taille. Si la Permaculture s'oppose a la monoculture de part son principe…le survivalisme doit s'opposer a l'individualisme. Il m'est impossible de considérer la survie, mais aussi et peut être surtout un future harmonieux et construit sur des principes durables, sans une dimension collective et clanique. Une idée qui transparait systématiquement quand au survivalisme, est cette obsession d'espérer tout connaitre, tout faire, tout penser, tout prévoir, tout gérer… Il me parait bien plus efficace et pragmatique de tendre a un travail d'équipe intelligent, que de se borner a ne jamais devenir "un Homme a tout faire", surtout lorsqu'il est question de s'attaquer a un univers aussi vaste et délicat que celui de la cueillette.

Cette relation a l'énergie dépensée durant la totalité des gestes considérés pour maintenir la vie (chasser, cueillir, laver, préparer…) est une fondation absolument primordiale dans une situation ou chaque goutte d'énergie devient une promesse de vie. #6 - Des pots biodegradables. Alors c'est le printemps. Pour le survivaliste, cette époque est synonyme d'un travail de la terre pouvant contribuer, même maigrement, aux habitudes alimentaires de nos foyers. Faire pousser sa propre nourriture, est non seulement une manière extrêmement efficace d'influencer notre niveau d'indépendance, mais aussi de se procurer une nourriture saine, de passer du temps avec nos enfants, ou encore d'économiser de l'argent… Ce geste est aujourd'hui une véritable révolution, et son impact est bien plus important que nous le pensons…au passage, pensez a stocker des graines!

Une de nos techniques pour commencer nos graines, est de recycler nos rouleaux en cartons comme les rouleaux de papier hygiénique par exemple. Les rouleaux en cartons sont donc remplis de terre et nous y plantons nos graines. Une foi que les plantes sont prêtes a être transplantées dans nos organisations de jardin, les rouleaux sont enterrés, et se désintègrent par eux mêmes. L'organisation du milieu rural. Le milieu rural offre des possibilités énormes quand a l'organisation de notre indépendance envers les systèmes de supports. Quand bien même les possibilités sont ici vastes, cet environnement n'est aucunement vacciné contre certaines tensions. L'avantage du milieu rural est dans sa durabilité. La ou le citadin est plus ou moins soumit a dépendre de notre infrastructure pour ses besoins quotidiens en eau, en nourriture et en énergie par exemple, ceux la qui vivent dans une maison avec un bout de terre, ont la possibilité de pouvoir mettre en place des méthodes soutenables et durables.

Puisque la terre elle même est une richesse de premier ordre, puisque la terre elle même est mère nourricière et promesse du lendemain, elle est par conséquent synonyme d'indépendance. Lorsque nous possédons une terre plus ou moins fertile, plus ou moins riche de matières premières et de ressources, plus ou moins riche politiquement, stratégiquement, nous possédons une richesse de premier ordre. 1- Eau.

10 produits alimentaires pour les réserves. La cigale, la fourmi, et l'organisation alimentaire. Sur la pointe d'une herbe devant l'infini du ciel une fourmi Ozaki Hôsai La cigale et la fourmi, est cette fable qui au premier abords nous raconte l'imprévoyance. L'imprévoyance, s'oppose ici a la prévoyance, comme on oppose deux caricatures ne pouvant exister pleinement sur un terrain de jeu qui s'affirme de certaines réalités.

Les réalités de notre monde, sont bien sur d'une multitudes de loi que nous ne pouvons tricher sans certaines conséquences plus ou moins désastreuses pour notre bien être. Bien avant de pouvoir argumenter d'une philosophie ou d'une autre des sujets plus ou moins existentiels, il nous faut bien admettre que notre machine a penser, notre machine a édifier, doit être pour fonctionner d'un apport plus ou moins régulier en nutriments. Les loi incontournables sont alors d'une priorité physiologique et donc énergétique: respirer, s'abriter, boire, se reposer et manger, sont des piliers de vie qui, si il ne sont pas respectés, nous interdisent la participation. Haiti.