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Financement des partis politiques

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Vérité. A trois semaines du premier tour de l’élection présidentielle, le soupçon demeure.

Vérité

Il s’est même renforcé cette semaine après la publication dans la presse de documents signés par le juge d’instruction bordelais Jean-Michel Gentil. Nicolas Sarkozy a-t-il bénéficié en 2007, de la part de la famille Bettencourt, de financements illégaux pour sa campagne électorale ? Rappelons qu’il n’existe pour l’instant pas de preuve pour l’affirmer. Il faut aussi souligner que l’instruction se déroule dans des conditions d’indépendance a priori irréprochables. Pour Sarkozy, le silence est d’argent. Nicolas Sarkozy ne peut plus se contenter de balayer d’un revers de main les soupçons qui pèsent sur le financement de sa campagne de 2007.

Pour Sarkozy, le silence est d’argent

Son silence ne suffit plus à assurer sa défense. A la veille du premier tour de l’élection présidentielle, des explications sur ses relations avec la famille Bettencourt sont indispensables. Car tôt ou tard, la justice lui demandera la vérité, mais seulement après la levée de son immunité présidentielle. Au plus fort de la campagne, il ne peut laisser les affaires brouiller le débat et entretenir le fantasme d’un complot ourdi par la coalition d’un juge et du Parti socialiste… Rude.

Dépens. Bombe. A présent, alors que la justice a confirmé vendredi le maintien en détention de Patrice de Maistre et renforcé le soupçon d’un financement occulte de sa campagne de 2007, et alors qu’une bombe judiciaire menace d’exploser, le président-candidat ne peut plus faire silence. Eric DECOUTY. Kadhafi a bien financé la campagne de Sarkozy en 2007 ! Kadhafi a bien financé la campagne de Sarkozy en 2007 !

Kadhafi a bien financé la campagne de Sarkozy en 2007 !

Mouammar Kadhafi a-t-il financé Nicolas Sarkozy ? La question, soulevée peu avant la guerre en Libye, vient d’apparaître en toutes lettres dans l’affaire Takieddine. Selon un document consulté par Mediapart, le marchand d’armes Ziad Takieddine, organisateur en 2005 des visites du ministre de l’intérieur et de ses proches en Libye, puis en 2007 du président élu, aurait mis en place les « modalités de financement » de sa campagne présidentielle par le régime de Kadhafi, en lien avec Brice Hortefeux, alors ministre des collectivités locales. Le 18 octobre 2011, les policiers ont versé au dossier d’instruction une note de synthèse sur laquelle figure une référence « GEN/ NS V. MEMO DG », qui contient sans les expliciter les initiales du président de la République. Mediapart s’est procuré l’intégralité de la note « GEN/ NS V. Ci dessous, le verbatim du document « GEN/ NS V. Contacté lundi 12 mars, M.

A l’automne 2006, M. Action française » Attentat de Karachi : plainte contre Accoyer pour «entrave à la justice» 12 novembre 2010 | 1 commentaire Le président de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer a déclaré mercredi que sa décision de ne pas communiquer au juge chargé d'enquêter sur l'attentat de Karachi les auditions des 62 personnes entendues par la mission parlementaire «n'entrave en rien les capacités d'investigation de la justice».

Action française » Attentat de Karachi : plainte contre Accoyer pour «entrave à la justice»

Alors que plusieurs parties civiles ont annoncé à la mi-journée qu'elles allaient porter plainte contre lui, le président Accoyer a souligné qu'il «partageait le souci de vérité des familles» et «comprenait leur douleur», mais que «la décision de l'Assemblée nationale n'entravait en rien les capacités d'investigation de la Justice». Dans une lettre publiée mercredi matin, Bernard Accoyer a signifié au juge chargé d'enquêter sur l'attentat de Karachi son refus de communiquer les auditions des 62 personnes entendues par la mission parlementaire consacrée à cette affaire. Libération - AFP. VERITE-ATTENTAT-KARACHI.ORG. Mercredi 8 Mai 2002, comme chaque matin, à la même heure et suivant le même trajet, le bus, facilement identifiable de la Pakistan Navy, a pris en charge les ouvriers et techniciens de la DCN devant l’hôtel Avary, où plusieurs d’entre eux séjournaient, avant de se rendre devant l’hôtel Sheraton où résidaient les autres expatriés.

VERITE-ATTENTAT-KARACHI.ORG

Tous devaient être acheminés vers l’arsenal de Karachi où ils travaillaient à l’assemblage du 3ème sous-marin Agosta vendu par la France au Pakistan. Une Toyota Corolla se place à côté du bus tandis que les portes se referment. A 7h45 (heure locale), le bus explose faisant 14 morts, dont 11 français, et 12 blessés. Les familles des victimes décédées seront prévenues du décès de leur proche jusqu’à 10 heures après l’attentat. Les corps ont été rapatriés le dimanche suivant, soit 4 jours après, et rassemblés dans une chapelle ardente à l’ancien hôpital militaire de Cherbourg. ATTENTAT KARACHI : Connaitre la vérité.