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57111 - PSYCHASTENIE OU NEVROSE OBSESSIONNELLE

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Névrose obsessionnelle (psychanalyse) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Névrose obsessionnelle (psychanalyse)

La névrose obsessionnelle (ou névrose de contrainte) est une forme majeure de névrose, dégagée par Sigmund Freud en 1894. L'appellation actuelle de trouble obsessionnel compulsif relève d'un tout autre champ de la psychopathologie. Théorie[modifier | modifier le code] Dans l'approche psychanalytique, elle est la deuxième grande maladie nerveuse de la classe des névroses après l'hystérie[1]. L'hystérie telle que définie par Freud, est la manifestation « positive » du complexe d'Œdipe (prépondérance de l'Eros) (désir inconscient d'entretenir un commerce sexuel avec le parent du sexe opposé), la névrose obsessionnelle au contraire exprime avant tout la composante « négative », c'est-à-dire la haine inconsciente envers le rival.

[réf. nécessaire] Modèle[modifier | modifier le code] Première topique[modifier | modifier le code] Seconde topique[modifier | modifier le code] Régression[modifier | modifier le code] Stade anal[modifier | modifier le code] L'homme aux rats. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'homme aux rats

L'analyse de « l'homme aux rats » (Ernst Lanzer) atteint de névrose obsessionnelle est l'une des cinq psychanalyses décrites par Sigmund Freud, avec celle de Dora, du petit Hans, de « l'homme aux loups » et de Schreber. Mais en marge de ces Cinq psychanalyses, Freud a laissé des notes prises au jour le jour, tout au moins pour les sept premières séances, parce qu'après ces notes ne sont plus regroupées qu'au rythme de deux ou trois fois par semaine. Le psychanalyste Patrick Mahony a comparé ces notes et le texte publié et a mis à jour de nombreuses modifications faites par Freud en vue de faire correspondre l'analyse réelle à ses théories[1].

Borch-Jacobsen et Shamdasani[2] ont poursuivi ce travail de comparaison et affirment avoir trouvé d'autres cas de falsification de l'analyse. Description du cas[modifier | modifier le code] En octobre 1907, Freud reçoit en analyse un jeune homme de 29 ans, Ernst Lanzer. . « [ . . . ] « [ . . . ] « [...] L'homme aux loups. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'homme aux loups

L'expression « l'homme aux loups » désigne Sergueï Constantinovitch Pankejeff (1887-1979) connu pour avoir suivi une cure psychanalytique auprès de Sigmund Freud, qui relata son cas dans les Cinq psychanalyses sous l'appellation de « l'homme aux loups ». Sa place est unique dans l’œuvre freudienne dans la mesure où il s’agit d’un compte-rendu du plus long traitement psychanalytique de Freud : cette cure, entamée en janvier 1910, s'est achevée le 28 juin 1914, le jour de l’attentat de Sarajevo.

Après la Grande Guerre, Freud l'adressa à l’une de ses élèves : Ruth Mack Brunswick[1]. Sergueï Pankejeff qualifia l'estimation de sa guérison par Freud de propagande en faveur de la psychanalyse[2], affirmant que sa guérison était inexistante. Biographie et généalogie[modifier | modifier le code] Sergueï est né en Russie méridionale, dans une riche famille de la noblesse terrienne. Freud décide de le prendre en analyse.