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Mémoire

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Behaviorisme. Béhaviorisme Mouvement de psychologie qui préconise l'utilisation de procédures expérimentales pour étudier les mécanismes psychiques à travers le comportement, considéré comme une réponse à l'environnement (ou aux stimuli).

Behaviorisme

La conception béhavioriste de la psychologie plonge ses racines dans les études sur l'associationnisme des philosophes britanniques. Elle est également dérivée de l'école américaine de psychologie du fonctionnalisme et de la théorie darwinienne de l'évolution, qui, l'une comme l'autre, mettent en relief la façon dont les individus s'adaptent à leur environnement. L'œuvre de Watson Le béhaviorisme fut fondé au début du XXesiècle par le psychologue américain John B.Watson. Watson proposait de faire de la psychologie une discipline scientifique en utilisant seulement des procédures objectives comme les expériences de laboratoire, en vue d'établir des résultats exploitables statistiquement. 3modeles. Source: Arsac, G., Germain, G.

3modeles

& Mante, M. (1988). Problème ouvert et situation-problème. Lyon: IREM n° 64 (Institut de Recherche pour l'Enseignement des Mathématiques), Université Claude Bernard. Les trois modèles très succinctement décrits ci-dessous sont autant de manières d’envisager les processus d’apprentissage. Ils constituent dès lors, pour l’enseignant, trois angles de vue possibles pour observer et tenter de comprendre ce qui se joue dans sa classe. 1. C’est le modèle qui correspond à la conception empirique de l’enseignement. La neutralité conceptuelle de l’élève.

Le rôle de l’enseignant est d’expliquer clairement. Le rôle de l’élève est d’écouter attentivement. Les erreurs de l’élève sont des accidents dus à une écoute insuffisante ou à une mauvaise explication. Avantages : L’enseignement basé sur ce modèle est le plus économe en temps et en moyens. 2. Le présupposé est ici que : Cacographie.

On désigne et l'on a souvent employé dans l'enseignement primaire sous le nom de cacographie une méthode consistant à enseigner la grammaire et l'orthographe au moyen de phrases et de mots écrits incorrectement et qu'on charge l'élève de corriger.

Cacographie

On cite quelques exemples très anciens de « cacographies », — Larousse en mentionne une de 1752 et Littré une autre de Joubert en 1759, — mais c'est seulement depuis le commencement du dix-neuvième siècle que l'usage de ces exercices s'est généralisé. Le procès de la cacographie n'est plus à faire ; ses rares partisans ne la défendent plus même que comme un « mal nécessaire », et l'usage s'en détourne décidément à tous les degrés et dans tous les systèmes pédagogiques.

Nos modernes livres scolaires sont inspirés de cette tendance à rajeunir et à diversifier l'exercice orthographique ; on peut même dire qu'ils doivent quelque chose à la cacographie. Untitled. L'erreur pour apprendre. L’erreur est un impondérable de l’acte d’apprendre.

L'erreur pour apprendre

Omniprésente, multiforme, pernicieuse, maligne, entêtante, saugrenue, obstinée ou accoucheuse, révélatrice, elle est encore souvent mal perçue et sanctionnée dans notre système scolaire. L’erreur a des statuts divers, elle questionne et interpelle. Qui n’a pas connu le découragement en corrigeant des copies qui révèleraient tant les failles des élèves que de l’enseignement, voire de l’enseignant ? Pourtant, les professeurs savent qu’il est nécessaire de prendre en compte les erreurs des élèves pour les faire progresser.

Mais comment faire ? Si les enseignants ont bien conscience que « l’erreur est un outil pour enseigner », pour reprendre les mots de Jean-Pierre Astolfi, savent-ils pour autant comment s’y prendre ? Vous trouverez dans ce dossier des récits et des méthodes issus des expériences de praticiens, mais aussi des articles abordant les différentes dimensions de l’erreur en pédagogie. Les Cahiers pédagogiques. L'erreur : Définition. « L'erreur n'est pas seulement l'effet de l'ignorance, de l'incertitude, du hasard (...) , mais l'effet d'une connaissance antérieure qui avait son intérêt, ses succès, mais qui, maintenant, se révèle fausse, ou simplement inadaptée. » G.

L'erreur : Définition

Brousseau, cité dans la revue Echanger , avril 1994 Définition.