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Travail sexuel

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I'm a Sex Worker, and Dating Is Awkward  This post originally appeared on xoJane.

I'm a Sex Worker, and Dating Is Awkward 

By Sovereign Syre When I entered into porn in 2011, I was in a relationship that I thought was going to last forever. So when I found myself single a few years later and decided to enter into the dating world, I realized that my dilemma was twofold; not only did I understand very little about how single people went about being a couple, but when I found one I might want to couple with, I had to figure out how to tell them about my rather unconventional day job. I know plenty of girls in my industry who have partners who are not in the business and who are quite happy. Contrary to what people will tell you, just as there are tons of people who would never date a sex worker, there are also plenty of people in prestigious occupations with designer educations that would LOVE to marry a porn star. "Comment je suis devenue accompagnante sexuelle pour handicapés" I was an escort for 8 years—and I hated it. Before becoming an escort, I had studied to obtain my SSTC in English on and off for years.

I was an escort for 8 years—and I hated it

This plan did not pan out for various logistic reasons and I gave up that dream to become a prostitute. « Les putes sont des hommes comme les autres. » Notes Cf.

« Les putes sont des hommes comme les autres. »

Gail Pheterson, Le prisme de la prostitution, trad. de l’anglais par Nicole-Claude Mathieu, Paris, L’Harmattan, 2001. Telles que Autres Regards à Marseille, le Bus des femmes à Paris, Cabiria à Lyon, ou Grisélidis à Toulouse. Ces associations sont composées à parité de professionnels de santé et de personnes prostituées. Cf. IT HAPPENED TO ME: I Was an Escort for Eight Years, Believing It Would Empower Me, and It Didn’t - xoJane. Before becoming an escort, I had studied to obtain my SSTC in English on and off for years.

IT HAPPENED TO ME: I Was an Escort for Eight Years, Believing It Would Empower Me, and It Didn’t - xoJane

This plan did not pan out for various logistic reasons and I gave up that dream to become a prostitute. Lettre de Grisélidis Réal à Maurice Chappaz : « Moi j'aime la liberté et pouvoir vivre comme je l'entends » Sex Work and Human Rights in the Netherlands. I Am a Sex Worker. Les abolitionnistes sont-ils vraiment gentils ? Les abolitionnistes sont-ils vraiment gentils … ou les contradictions d’un mouvement davantage prohibitionniste qu’abolitionniste.

Les abolitionnistes sont-ils vraiment gentils ?

Les médias nous le répètent à longueur de temps, les associations abolitionnistes seraient des associations « d’aide aux prostituées ». Eux-mêmes nous l’assurent, ils ne veulent que notre bien et militent pour l’abolition de la prostitution afin que nous n’ayons plus besoin de subir une « marchandisation du corps », un « viol tarifé » ou encore un « esclavage sexuel ».

Quand bien même nous avons toujours besoin des revenus que nous gagnons par le travail sexuel, ils exigent la pénalisation de nos clients, malgré nos oppositions et manifestations[1], car ils sauraient mieux que nous ce qui serait bon pour nous, et pour mettre à bien ce grand projet de société que serait l’ « abolition ». Pénaliser nos clients ne serait pas de la prohibition, plutôt de l’abolition. Allez comprendre. Listen to sex workers – we can explain what decriminalisation would mean. This week, the tide turned against attempts to attack sex workers by criminalising their clients.

Listen to sex workers – we can explain what decriminalisation would mean

An amendment by the Labour MP Fiona Mactaggart to the modern slavery bill (based on Swedish prostitution law) was dropped, despite cross-party support. This came after a plea from sex workers that mobilised hundreds of individuals and organisations, including the Hampshire Women’s Institute, Women Against Rape, the Royal College of Nursing, church groups, trade unionists, academics, lawyers and anti-racist and anti-poverty campaigners, to write letters urging MPs to oppose the legislation. Putes, corps désirants et émancipations. Dans son intervention intitulée « Émancipation et égalité : une généalogie critique », donnée lors de la plénière Au-delà du patriarcat du colloque Penser l’émancipation (Nanterre, février 2014), Joan W.

Putes, corps désirants et émancipations

Scott a notamment décrit la manière dont la rhétorique de l’émancipation sexuelle et de l’égalité entre les sexes, en ce qu’elle est soumise à un capital mondialisé qui fait du désir, et de sa capacité à l’assouvir, un préalable à la citoyenneté, contribue à la perpétuation de la domination de « populations minoritaires défavorisées », et notamment des femmes musulmanes. Joan Scott part de l’idée que dans nos états occidentaux, laïcs et démocratiques, c’est le fait d’être déjà émancipé qui confère la citoyenneté : L’émancipation et l’égalité sont des traits présumés inhérents aux individus, des traits qui leur confèrent une capacité d’agir – leur humanité véritable – et les rendent éligibles au titre de membre de la communauté des nations.

Les putes en lutte des classes. Ces dernières semaines, Rosen Hicher, ancienne hôtesse, a parcouru 800 kilomètres pour lutter contre «l’esclavage» que représente la prostitution.

Les putes en lutte des classes

Dimanche, elle est arrivée à Paris, de manière très médiatisée. À lire : un extrait de "Les luttes des putes" de Thierry Schaffauser. Thierry Schaffauser, Les luttes des putes, Paris, La fabrique, 2014.

À lire : un extrait de "Les luttes des putes" de Thierry Schaffauser

Pourquoi le travail sexuel est-il réprimé ? Il ne s’agit pas uniquement, comme nous l’avons vu, d’une forme de contrôle patriarcal sur les femmes mais également d’une forme de contrôle social sur les plus pauvres qui sont maintenus dans l’illégalité, en visant leurs moyens de vivre et de survivre. Ces moyens permettent parfois d’échapper au travail salarié, parfois d’en contourner les difficultés d’accès. La criminalisation du travail sexuel est à comprendre dans le prolongement du système carcéral et comme faisant partie d’un continuum de criminalisation des classes opprimées pauvres et tenues comme inférieures. À titre de comparaison, le recel, la mendicité et la vente de drogues sont aussi des métiers criminalisés parce que pratiqués par des pauvres. Les travailleuses du sexe peuvent-elles penser leur émancipation ? Sur quelques effets excluants des discours abolitionnistes.

Morgane Merteuil et Damien Simonin s'attachent ici à déconstruire les discours abolitionnistes sur la prostitution, en interrogant leurs effets sur la vie des principales concernées : les travailleuses du sexe.

Les travailleuses du sexe peuvent-elles penser leur émancipation ? Sur quelques effets excluants des discours abolitionnistes

Non seulement la prostitution ne peut être appréhendée sous le prisme de la seule violence faite aux femmes, mais il est temps d'entendre la voix de celles et ceux qui se mobilisent pour reconnaître leurs droits à la libre disposition de leur corps. Se pose donc ici la question de savoir comment émanciper la prostitution du discours abolitionniste. Le best-of des abo. Tellement vrai - Prostitution: qui sont vraiment celles qui vivent de leur corps?

Le travail du sexe contre le travail. Alors que dans les pays anglophones, le terme de « sexwork » est devenu tout à fait courant, on constate de grosses réticences à parler de « travail sexuel » chez les intellectuel-le-s et militant-e-s francophones. Que ce soit chez les prohibitionnistes pour qui la prostitution n’est ni un métier ni un travail mais une violence, une atteinte à la dignité des femmes – comme si le « travail » et la « violence » s’excluaient mutuellement – ou chez celles et ceux qui, à l’exemple de Lilian Mathieu, s’opposent à cette prohibition tout en conservent un certain « scepticisme devant la revendication d’une reconnaissance du “travail du sexe”» : ce refus de parler de travail du sexe semble symptomatique des difficultés que rencontrent notamment une partie de la gauche et des féministes à penser le travail des femmes. Si la thématique suscite certes un intérêt croissant, ces difficultés ne sont pas nouvelles.

Le travail du sexe comme travail reproductif La liberté sexuelle n’aide pas. Association prostitution Griselidis - Accueil. Féminisme Et Puterie. Les Dé-chaînées » Islam et prostitution : les féministes, le voile et le string. Les années 2003 et 2004 furent l’occasion pour le féminisme français de revenir sur le devant de la scène avec le voile musulman. Depuis de nombreuses années, on ne parlait plus du féminisme, et politiques et journalistes ne s’y intéressaient que pour hausser un sourcil goguenard. La lutte contre le voile, outil fédérateur d’un féminisme en mal de visibilité Le voile a permis de mettre tout le monde d’accord, et les féministes sont revenues sur le devant de la scène.

Comme le soulignent Ewanjé-Epée et Magliani-Belkacem, le combat contre le voile a souvent été pour les féministes (et ce dès 1890), un moyen d’acquérir du pouvoir dans un monde d’hommes (des hommes blancs, est-il besoin de le préciser ?). Se présenter à la fin du XIXème siècle comme la branche féminine chargée de civiliser les femmes musulmanes a permis aux suffragettes de placer parallèlement le droit de vote sur la table des négociations. Les choses ne furent pas différentes en 2004, lors des lois contre le voile. ‘I’ve Got A Degree. But I Choose To Strip’ Réflexions d’une pute anti-clients, hétérophobe et misandre.

Par Morgane Merteuil Souvent, il y a certaines attitudes de mecs qui me mettent mal à l’aise dans les discussions sur le travail sexuel. Keep we both our liberties, Never false and never true. Des putes. Cet article est un message d’amour à toutes les putes du monde.