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Paternité imposée?

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Le magazine plus féminin du cerveau que du capiton - L'Actu Causette. La paternité involontaire face à la justice. Sois père et tais-toi ! (2014) Sois père et tais-toi | Facebook. « Paternités imposées » : des hommes condamnés à être « pères malgré eux » Sois PÈRE et TAIS-TOI ! (extrait Mathieu) - Mardi 13 janvier à 20h35 sur France 5. Le magazine plus féminin du cerveau que du capiton - L'Actu Causette. Sois père et tais-toi ! | France 5 & vous. Paternité imposée : un « enfant dans le dos » ou le droit de ne pas être père - Rue89 - L'Obs. Mary Plard, avocate, qui se présente comme féministe engagée, raconte quel a été son trouble quand un homme, puis plusieurs hommes, sont venus la consulter dans un état de grande détresse.

A chaque fois, le scénario était à peu près le même : un homme, marié ou non, rencontre une femme brièvement, a avec une relation sexuelle en ayant en tête que c’est évidemment sans lendemain, et apprend quelques temps plus tard que cette femme est enceinte et qu’il est désigné comme le père biologique de l’enfant. Au départ, rien qu’un moment agréable... « Paternités imposées, un sujet tabou », de Mary Plard, éd. Les Liens qui libèrent, janvier 2013 Pourtant, entre l’homme et la femme, à l’occasion de leur brève rencontre il n’y a jamais eu ni projet, ni promesse, ni engagement.

Seulement la recherche, au départ, d’un moment agréable librement consenti de part et d’autre, et que tous deux, et au moins l’homme, voulaient sans lendemain. La femme enceinte et sa grande liberté Une paternité sous X ? Mary Plard. La cause du père obligé. Mary Plard aime les anecdotes. Celles qu’on raconte avec des couleurs, des bruits, mimées ou susurrées au gré des émotions. Son combat pour les droits des hommes devenus pères malgré eux, l’avocate aime à l’expliquer par une voix.

Celle de Paul, père d’un enfant non voulu. «Elle exprimait tout, la douleur, l’angoisse», se rappelle Mary Plard, devant son thé - qu’elle choisit vert, puis noir, puis en fait non, vert - à la buvette du palais de justice de Paris. «Puis il a prononcé des mots peu masculins : "abusé", "violé". Les pères malgré eux ? L’homme est quinqua, marié, père de grands enfants. Mary a bien suivi les tribulations de 343 d’entre elles, en 1971.

Etudiante en droit à Nantes, admiratrice de Gisèle Halimi, la légalisation de l’avortement est même son premier combat féministe. «Mary va ouvrir des pistes juridiques dans ce domaine,promet une amie magistrate. Elle éclate d’un rire clair et rocailleux. Son désir d’indépendance, elle le situe un peu plus tôt. En 5 dates. Paternité imposée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une paternité imposée est le processus par lequel une femme donne naissance à un enfant contre la volonté du père biologique, parfois à son insu, ou contre la volonté du conjoint légal. Cas de figure[modifier | modifier le code] Une fois enceintes, certaines femmes disparaissent de la vie de leur compagnon, ne les informent pas du tout de l'état de grossesse, voire vont jusqu'à accoucher sans les en informer. Ils ne peuvent donc se positionner ni par rapport à la grossesse, ni par rapport à la naissance, et parfois n’apprennent jamais qu’ils ont engendré.Une fois enceintes, certaines femmes voient leur compagnon/mari rompre/décider de se séparer au cours de la grossesse.

L’aspect juridique[modifier | modifier le code] Dans cette problématique, il y a inégalité des droits entre hommes et femmes. L'homme dispose en amont de la grossesse des moyens de contraception : le préservatif et la vasectomie. En France[modifier | modifier le code] et que. Interview de Mary Plard, auteur de "Paternités imposées" Parent-Solo : Vous êtes avocate spécialisée dans le droit de la famille et des personnes, ainsi que féministe engagée ; vous publiez "Paternités imposées", dans lequel vous dénoncez ce fait au nom du principe d’égalité homme / femme : n’est-ce pas antinomique par rapport à vos engagements féministes Mary Plard : C'est une question que je me suis posée également, notamment lorsque j'ai été sollicitée par un homme qui me demandait de convaincre une femme d'avorter. Mais rapidement l'injustice et la souffrance que subissait cet homme ont convaincu l'avocate de lui venir en aide.

Peu à peu j'ai aussi entendu qu'il exprimait et décrivait les mêmes situations que celles qui m'avaient bouleversées lorsque, jeune étudiante en droit, je participais aux réflexions sur l'avortement. Je retrouvais la honte, la culpabilité et la même vindicte populaire qui condamnait sans chercher à comprendre. M.P. : Vous avez raison c'est historique avant d'être juridique. Paternite-imposee.blogactifs.com - Blog LES PATERNITES IMPOSEES JUDICIAIREMENT : "PATERNITES IMPOSEES" Pères, à leur corps défendant. Je suis ton père : les paternités imposées. Paternité, deux poids et deux mesures... judiciaires | Mary Plard.

Le vendredi 13 septembre 2013 la Cour de Cassation a rendu deux arrêts [1] touchant au cœur de la "filiation" paternelle. Ces décisions sont passées presque inaperçues alors que le couple et la famille dans tous leurs états continuent à passionner l'opinion publique et qu'est en chantier la réforme de la loi sur la famille. Ce faible écho médiatique est d'autant plus curieux que ces arrêts ont fait l'objet d'un communiqué de presse spécial de La Haute Cour.

La GPA organisée et légalisée en Inde formellement prohibée en France La première chambre de la Cour était saisie de demandes de transcription d'actes de naissance d'enfants nés de mères porteuses, des jumeaux nés en 2010 et un enfant né en 2009. Ces enfants avaient été reconnus avant leur naissance en France, mais nés à Mumbai (Inde) leurs "parents" devaient faire inscrire leurs naissances sur les actes de l'état civil français.

Cette transcription leur avait été refusée. Mais la Cour ne s'est pas contentée de ce rappel à la loi... Accouchement sous X. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. accouchement sous X est traditionnellement défini comme la possibilité pour une femme d’abandonner son nouveau-né aux services de l’État et le droit de demeurer anonyme aux yeux de la société[1]. Cette fiction juridique du droit français permet à une femme, dite parturiente, d'accoucher puis d'abandonner le nouveau-né sans que soit relevé son identité, ni sa responsabilité engagée (délit de délaissement d'enfant, art. 227-1 du code pénal) ; l'accouchement n'ayant censé avoir eu lieu. Le droit français prévoit toutefois, sous de strictes conditions[Lesquelles ?] , la possibilité de lever le secret. Des mécanismes différents (tous ne recourent pas au mécanisme de la fiction juridique), mais à la finalité similaire, existent dans d'autres pays.

La parturiente peut laisser son nom dans une enveloppe scellée en papier, ce qui, en cas de décès durant l'accouchement, facilite la rédaction de l'acte de décès. Comparaisons[modifier | modifier le code]