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Sexisme...

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Les 10 attaques sexistes qu'on ne veut plus entendre en 2015. Et si, en 2015, le sexisme devenait ringard ? Des femmes politiques, des militantes, des universitaires* s'emploient à le faire savoir avec délectation, grâce à ces nouvelles armes que sont les réseaux sociaux. Comme ces élues qui brandissent tel un étendard l'insulte essuyée sur le Tumblr "Et sinon, je fais de la politique".

Ou ces féministes 2.0 qui passent à l'action collective avec leur plate-forme, MachoLand.fr, "média d'interpellation" où chacun(e) peut proposer une action, si possible drôle, pour faire la peau au sexisme et ridiculiser ces dinosaures qui le perpétuent. "Les féministes utilisent Internet pour ne plus batailler seules dans la rue, le monde politique, les médias... " explique Caroline De Haas, cofondatrice du site. "Et je constate que l'intolérance au sexisme est plus forte aujourd'hui qu'il y a quatre ou cinq ans.

Avec ces nouveaux moyens de pression, on va le rendre caduc ! " A Marie Claire, on veut bien prendre le pari. 1- "Ce sera plus efficace ! You Don't Have to Hate Women to Be Sexist: Everyday Ways You May Be Sexist Without Knowing It. So you’re a man and you consider yourself an awesome ally to women. You may even identify as a feminist and actively work to further the movement’s goals.

That’s all great, but it doesn’t give you a pass when it comes to sexism — and you may be perpetuating it without even knowing it. “But I’m not sexist. I don’t hate women!” You might say. Let me stop you right there, as I (and likely most other people who have called out sexism) are told this all the time. Loving and respecting women has nothing to do with whether or not your actions are sexist, and you certainly don’t have to hate women to be a sexist.

In reality, the simple fact that you are an active participant in a culture that privileges men, especially white, cis, straight men, over all others means that, at the least, you benefit from sexism, and, at the worst, you actively participate in it. So, no, you don’t have to hate women to be sexist. It’s all in the details, folks. So how can you be sexist without even knowing it? Michel Drucker, Angelina Jolie et le sexisme ordinaire. Médias/Télé Pour son dernier Vivement Dimanche de l'année, Michel Drucker poursuivait sa transition du Tout-Paris vers le Tout-Hollywood sur ses désormais célèbres fauteuils rouges. C'est en effet Angelina Jolie qui était mise sur le gril - enfin, façon de parler, c'est une interview de Michel Drucker - par le dernier dinosaure du P.A.F. Pourtant habitué à voir des courbes féminines poser leur séant sur France 2 sous ses yeux, Michel était visiblement tout ébahi par la présence de l'actrice de plus en plus réalisatrice, venue faire la promotion de son film Invincible.

Au point de flirter, dès la première question, avec madame Pitt et avec le sexisme ordinaire : "Quand on voit cette bande-annonce et que je vous vois sourire, fraîche, belle, comme si vous reveniez de vacances alors que ça a été quelque chose de très dur, je me demande comment vous avez dirigé une telle machine. " "Est-ce que vous sortez de ce film très fatiguée? " Une dernière pour la route? Stéréotypie sexiste. Sexisme & culture de masse. You Don't Have to Hate Women to Be Sexist: Everyday Ways You May Be Sexist Without Knowing It.

Casual sexism: When a shirt is more than a shirt. Last week, the European Space Agency landed a space probe on a comet. It was big news—historic, even. Phil Plait writes Slate’s Bad Astronomy blog and is an astronomer, public speaker, science evangelizer, and author of Death From the Skies! But another event caused a stir at the same time, tangentially related to the event.

Matt Taylor, the Rosetta mission’s project scientist, went on the air to talk about the successful landing. He was wearing a bowling shirt covered in pinup-style drawings of scantily clad women. This upset a lot of people. Yikes. Importantly, the next day, clearly upset he had caused such a fuss, Taylor apologized on air sincerely and graciously for his actions. Photo from the ESA news stream, via @RoseVeleth's Twitter feed But it doesn’t end there. There is much I could say here, but Dr24Hours wrote an excellent summary that aligns fairly well with my thinking. But I have something to add. If you think this is just women complaining, you’re wrong. Eduquer oui mais pourquoi ? "On n'est pas là pour vous éduquer" est la phrase que j'entends le plus souvent (et que je tends à prononcer de plus en plus souvent également) face aux personnes qui ne sont pas féministes.

Il faut tout d'abord que je vous explique comment se passe systématiquement une discussion avec un non féministe. - Non féministe : "moi je suis pour l'égalité homme/femme mais je ne suis pas féministe car les féministes veulent la supériorité des femmes". - Féministe : "ah ? Où as tu lu cela, tu as un nom, une citation" Long silence de 15 minutes car il n'a evidemment aucune source. - Non féministe : "Non mais de toutes façons c'est bon l'égalité est acquise". - Féministe : "Et tu fais abstraction des violences, de l'inégalité des salaires, des tâches ménagères etc etc ? " Il va alors demander des sources sur les tâches ménagères. C'est compliqué putain. Alors est-ce qu'il faut éduquer les sexistes ? Expliquer, non pas pour eux, mais pour nous.