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Romaric Godin Grèce

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Grèce : l'ultimatum des créanciers fait "pschitt" La réunion entre le premier ministre grec Alexis Tsipras et le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a donc échoué mercredi 3 juin au soir. Jeroen Dijsselbloem, le président de l'Eurogroupe, convoqué pour retranscrire les termes d'un éventuel accord et convoquer dans la foulée une réunion des ministres des Finances de la zone euro, est donc reparti sans rien avoir à faire. Le blocage persiste, mais les discussions, affirme-t-on, vont continuer. L'échec de cette énième « rencontre de la dernière chance » et le fait même que les discussions continuent prouvent en tout cas que la manœuvre des créanciers consistant à proposer une « dernière offre » à Athènes qui serait « à prendre ou à laisser » a d'ores et déjà échoué.

Un plan en forme de provocation Ce plan soumis par les créanciers mercredi 3 juin au gouvernement grec était, il est vrai, inacceptable pour Alexis Tsipras et son gouvernement. Bluff de l'ultimatum Premières concessions des créanciers Blocage. Grèce : les vraies négociations peuvent commencer. Les créanciers de la Grèce bougent enfin.

Se rendant finalement compte de l'échec de la stratégie d'attente menée depuis quatre mois, Angela Merkel a convoqué une réunion de crise lundi 1er juin au soir, à Berlin. On a donc vu François Hollande, Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, mais aussi Mario Draghi, président de la BCE et Christine Lagarde, pour le FMI, rejoindre la chancelière dans la « machine à laver », comme les Berlinois appellent affectueusement le siège du chef du gouvernement allemand. Parallèlement, à Athènes, le Premier ministre Alexis Tsipras a tenu un conseil de cabinet restreint, tandis que les négociateurs grecs surveillaient de près la réunion berlinoise. Selon l'agence Bloomberg, le but de cette réunion de créanciers était de présenter à la Grèce une proposition concrète qu'elle puisse accepter avant le vendredi 5 juin, date de la prochaine échéance de remboursement au FMI.

En cela, elle a échoué. L'échec du « nœud coulant » Alexis Tsipras signe l'échec du "noeud coulant" européen. Depuis son élection à la tête du pays, voici plus de quatre mois, Alexis Tsipras s'était montré discret dans les médias. Il laissait plus volontiers parler ses ministres, en particulier son ministre des Finances, Yanis Varoufakis, qu'il était toujours possible, ensuite, de démentir. Cette fois, dans une tribune publiée sur le site Internet du Monde, le premier ministre hellénique s'engage directement. Et il ne le fait pas au hasard. Dénouement imminent La partie d'échec qui s'est engagée avec les élections du 25 janvier arrive en effet avec ce mois de juin à son terme. Non seulement le prolongement du programme de soutien à la Grèce décidé le 20 février s'achève le 30 juin, mais il semble désormais certain que l'Etat grec ne pourra pas honorer les quatre échéances de remboursement au FMI pour un total de 1,6 milliard d'euros.

Si le défaut n'intervient pas le 5 juin, il aura lieu le 12... La mise à jour de la stratégie européenne C'est précisément l'inverse qui s'est produit. "L'échec des négociations avec la Grèce serait l'échec de l'Union européenne" La Tribune - Croyez-vous aujourd'hui qu'un accord avec les créanciers sur la base des conditions du gouvernement grec est possible ? Zoe Kostantopoulou - C'est une question de démocratie. Le gouvernement grec a été récemment élu sur un mandat clair : protéger la société contre la crise humanitaire provoquée par les politiques d'austérité imposées par les memoranda ; renforcer l'Etat de droit et l'Etat social ; restaurer les procédures démocratiques qui ont été violées à de nombreuses reprises pour imposer ces mesures et, enfin, créer des bases pour permettre ce qui est un des buts principaux de l'Union européenne : la prospérité de ses peuples et de ses sociétés.

Parallèlement, les négociations se déroulent alors même que ce gouvernement a commencé à mettre en place son programme. Il va de soi que tous les partenaires européens et toutes les institutions qui prennent part à ces négociations doivent respecter ce processus. Et si cela n'est pas possible ? Pourquoi Angela Merkel n'est pas prête au Grexit. Alors que les négociations semblent plus que jamais bloquées entre la Grèce et ses créanciers et que l'on cherche désormais des moyens de repousser des échéances (la Grèce pourrait payer l'ensemble des dettes dues au FMI fin juin), l'issue de la crise repose sans doute dans le choix que fera Angela Merkel. Mardi 26 mai, le quotidien allemand Die Welt, indiquait, comme le suggérait La Tribune depuis quelques semaines, que la chancelière et son ministre des Finances Wolfgang Schäuble sont en désaccord sur la question de la sortie de la Grèce de la zone euro.

Le fond de l'opposition Schäuble-Merkel Cette opposition n'est pas une nouveauté. Les deux responsables allemands veulent conserver l'union monétaire, non seulement pour des raisons politiques, mais aussi pour des raisons d'intérêts économiques. En face, Angela Merkel reste attachée à l'intégrité de la zone euro. Le risque géopolitique L'élément intérieur Reste enfin l'élément interne du choix. Besoin d'une victoire. Europe : l'échec de la stratégie du "containment" Les élections locales espagnoles du dimanche 24 mai signent, au-delà du contexte local, l'échec de la stratégie des Européens depuis le coup de tonnerre de la victoire de Syriza le 25 janvier dernier. Le refus du compromis avec le gouvernement grec a été caractérisé par le rejet complet des « listes de réformes » présenté par Athènes, par la mise en place d'un processus d'asphyxie financière de la Grèce et l'insistance sur des mesures d'austérité que l'on hésitait à imposer au gouvernement conservateur d'Antonis Samaras.

Les buts des créanciers de la Grèce Quel était le but de cette stratégie ? Certainement pas, comme on essaie de le faire croire, assurer le remboursement des dettes contractées par la Grèce auprès de ses « partenaires. » Assure-t-on un tel remboursement en menant un pays au bord du défaut, en réduisant les moyens d'action de son gouvernement et en faisant peser sur sa croissance la menace d'un défaut et d'une sortie de la zone euro ? La stratégie du « containment » Grèce : à quoi joue Wolfgang Schäuble ? Mais que cherche donc Wolfgang Schäuble ? Ce vendredi 22 mai, le ministre fédéral allemand des Finances a « évoqué », selon l'agence Bloomberg, dans « une réunion privée » la mise en place d'une « monnaie parallèle » en Grèce « en cas d'échec des discussions avec les créanciers. » Certes, les « deux personnes » qui ont donné cette information à Bloomberg affirme que Wolfgang Schäuble n'avait pas « soutenu » cette option.

Ce dernier a, du reste, nié la véracité de cette information peu après. Pourquoi une monnaie parallèle De quoi parle le ministre allemand ? Soit la Grèce trouve rapidement un accord pour retrouver l'accès aux financements européens, elle peut rembourser les « IOU » à 100 % de leur valeur et elle revient dans la zone euro à plein. Faire peur à l'épargnant grec Une telle perspective ne peut qu'inquiéter les épargnants grecs qui verront dans l'introduction d'une monnaie parallèle un prélude à une sortie du pays de la zone euro. "Graccident" et "Grexit" Grèce : les créanciers deviennent nerveux.

Certains créanciers de la Grèce commenceraient-ils à paniquer ? En tout cas, ils semblent chercher clairement à trouver une porte de sortie au blocage dans lequel leur propre intransigeance a conduit les discussions actuelles. Selon le quotidien munichois Süddeutsche Zeitung (SZ) de ce jeudi 21 mai, les créanciers européens envisageraient de renouveler « jusqu'à l'automne » le programme d'aide à la Grèce qui, rappelons-le, devait venir à échéance le 31 décembre 2014 et a déjà été prolongé deux fois, de deux, puis de quatre mois, jusqu'au 30 juin. 4 milliards d'euros pour cet été Une victoire pour Syriza ? En revanche, selon la SZ, les réformes du marché du travail et des pensions seraient remises à plus tard, officiellement à l'automne. Division au sein du camp des créanciers Ce plan évoqué par la SZ ressemble à s'y méprendre à celui publié lundi par To Vima. Que fera Angela Merkel ? La décision, comme toujours, est entre les mains d'Angela Merkel.

Grèce: Varoufakis réclame un report du remboursement de la dette détenue par la BCE. Pour Yanis Varoufakis, "c'est clair": le remboursement des quelque 27 milliards d'euros de dette grecque détenus par la Banque centrale européenne (BCE), qui vient à échéance dans les mois ou les années à venir,"doit être repoussé à un délai plus lointain", a affirmé jeudi 14 mai le ministre grec des Finances au cours d'une conférence à Athènes.

"Sur juillet-août, le ministère des Finances devra emprunter 6,7 milliards d'euros à nos partenaires d'une manière ou d'une autre pour rembourser des obligations du programme SMP", a-t-il notamment souligné, en référence aux obligations achetées sur les marchés par la BCE dans le cadre de son "programme pour les marchés de titres" (Securities Markets Programme, SMP) sur la période 2010-2011. En janvier Benoît Coeuré, l'un des directeurs de l'institution de Francfort, avait prévenu que la dette grecque détenue par la BCE ne pouvait pas être restructurée. Au fur et à mesure que les obligations arrivent à échéance, Athènes doit les rembourser. Grèce : un Eurogroupe optimiste pour la forme, mais le blocage persiste. Le ton était volontairement à l'optimisme ce lundi 11 mai au soir à l'issue de l'Eurogroupe, la réunion des ministres des Finances de la zone euro, concernant les négociations de la Grèce avec ses créanciers.

Le court communiqué qui a suivi la réunion des Dix-Neuf « salue les progrès qui ont été réalisés jusqu'ici » dans les négociations. Certes, le communiqué « reconnaît que davantage de temps et d'efforts sont nécessaires pour combler les fossés demeurant sur les problèmes ouverts. » Mais il « salue l'intention des autorités grecques à accélérer leur travail avec les institutions afin d'atteindre une conclusion réussie de la revue en temps et en heure. » Et Yanis Varoufakis, le ministre grec des Finances, s'est, dans la conférence de presse qui a suivi la réunion, livré à un bel exercice d'optimisme affiché. Pourquoi cet optimisme ? Voici donc pour la mise en scène. Blocages persistants Mais qu'en est-il réellement ? Concessions grecques, surplace européen Temps compté.

Grèce : pourquoi Yanis Varoufakis est-il insupportable aux Européens ? Il semble que l'exercice soit devenu le passage obligé de tout journaliste travaillant sur les questions européennes. Depuis quelques semaines, les colonnes des journaux s'emplissent d'articles à charge contre le ministre hellénique des Finances, Yanis Varoufakis. Le dernier en date est celui publié par le journal français de référence, Le Monde, qui titre, avec appel de une, sur « l'exaspérant Monsieur Varoufakis. » L'agacement européen Le schéma de ces articles est souvent le même : l'homme est jugé évidemment compétent (il est difficile de lui contester cette qualité, sauf à contester celle des habituels « clients » des journaux économiques), mais insupportable et absolument nul en négociations. De nombreuses citations issues de Bruxelles suivent pour montrer combien, en effet, cet économiste grec est « agaçant » aux yeux des fonctionnaires et officiels européens, avec ses chemises bariolées, son ton docte et son « fort ego. » Le storytelling européen contre Yanis Varoufakis.

Grèce : les concessions du gouvernement sont-elles le signe d'une capitulation à venir ? L'annonce ce vendredi 15 mai de la relance de certaines privatisations (le Port du Pirée et les aéroports régionaux) par le gouvernement grec a été présentée par le porte-parole de ce dernier comme « une concession faite aux créanciers. » Lundi 11 mai, le ministre hellénique des Finances Yanis Varoufakis avait aussi beaucoup insisté sur le fait que les négociations avançaient grâce aux « importantes concessions » faites par la partie grecque. De plus en plus, le gouvernement grec s'attache donc à montrer qu'il est prêt à avancer et à céder pour obtenir les 7,2 milliards d'euros encore disponibles, jusqu'au 30 juin du programme de 2012. Des concessions « conditionnelles » Mais ces mouvements sont surtout tactiques. Une autre concession importante semble avoir été l'acceptation par la Grèce d'une unification du taux de TVA.

Mais, selon nos informations, les discussions techniques demeurent très difficiles. Avancer en protégeant ses arrières Les réformes impossibles. Le nouveau gouvernement finlandais : un obstacle de plus pour la Grèce ? Et si la crise grecque se jouait finalement... à Helsinki ? Après les élections législatives du 19 avril, trois partis ont entamé en Finlande des négociations en vue de la formation d'un gouvernement. Outre le parti du Centre, de Juhä Sipilä, grand vainqueur du scrutin et pressenti pour devenir le prochain premier ministre, la coalition pourrait également intégrer les Conservateurs de la Nouvelle Coalition (Kokoomus) du premier ministre sortant Alexander Stubb et enfin les Eurosceptiques de droite du parti des « Finnois », ex-« vrais Finnois » de Timo Soini.

Timo Soini, l'adversaire de l'aide à la Grèce Ce dernier est de plus en plus pressenti pour devenir le ministre des Finances du prochain gouvernement finlandais. Son arrivée dans l'Eurogroupe risque de causer une détonation aussi notable que celle de son homologue grec Yanis Varoufakis. Mercredi, les trois partis ont présenté des « positions » communes en vue de la constitution d'un programme gouvernemental. Grèce : Comment Alexis Tsipras tente de contourner les blocages des créanciers. Encore une fois, Alexis Tsipras, le premier ministre hellénique a effectué un mouvement tactique plutôt réussi.

En remaniant l'équipe de négociations avec les créanciers, et éloignant Yanis Varoufakis de ces discussions, il a ôté à la partie adverse un de ses arguments pour bloquer les discussions. Jusqu'ici, les ministres de l'Eurogroupe se plaignait des manières du ministre. Jeudi à Riga, ils ont prétendu qu'il était superficiel et qu'il faisait perdre du temps aux négociations ? Fort bien, Alexis Tsipras leur sacrifie l'homme. Ôter l'excuse Varoufakis Sauf que, désormais, les créanciers de la Grèce n'ont plus guère « l'excuse Varoufakis » pour bloquer les discussions. Montrer la « volonté de réformes » Parallèlement donc au remaniement de l'équipe de négociation, Alexis Tsipras a lancé une nouvelle offensive. Le détail des réformes Améliorer les recettes de l'État Une nouvelle concession athénienne ?

Le dernier point est la possibilité de maintenir l'impôt sur la propriété l'Enfia. Grèce : le dilemme de la BCE. La BCE est de plus en plus piégée par la crise grecque. Mercredi 22 avril, l'institution de Francfort a décidé de ne pas appliquer de décote supplémentaire sur les collatéraux (les titres mis en gage) déposés par les banques grecques. La question devrait cependant revenir sur la table le 29 avril prochain, puisque les conditions du programme d'accès d'urgence à la liquidité (ELA) sont revues chaque semaine.

Selon des sources grecques, « il pourrait y avoir une décision » ce mercredi. Mais le choix auquel est confronté Mario Draghi est cependant très délicat. La stratégie de la BCE : soutenir les créanciers D'un côté, en effet, la BCE est clairement dans le camp des créanciers de la Grèce. Un semi-échec Cette stratégie n'a réussi qu'à moitié. L'impact de la modification de la décote sur les collatéraux Car en modifiant les conditions d'accès du programme ELA de liquidité d'urgence pour les banques grecques, la BCE prend un risque. Le coût de l'ELA Target 2, un financement indirect de l'ELA. Grèce : après trois mois, quel bilan budgétaire pour le gouvernement Tsipras ? Grèce : débats à l'Eurogroupe autour d'un "plan B" La FIFA menace la Grèce d'un Grexit... footballistique ! La BCE renonce à durcir les conditions d'accès à la liquidité des banques grecques.

Grèce : la popularité d'Alexis Tsipras recule, mais reste élevée. Grèce : à quoi joue la BCE ? La Grèce réquisitionne les réserves de cash des entités publiques. Grèce : les Européens sous pression. Facebook. Alexis Tsipras à Moscou ou l'échec de la stratégie du "noeud coulant" Pourquoi la Grèce provoque-t-elle l'Allemagne sur les réparations de guerre ? Grèce : pourquoi Manuel Valls a choisi la passivité.

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