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Chroniques du mensonge ordinaire. Madame Juliette Méadel, Secrétaire Nationale du PS, vient, à propos des élections départementales dont le premier tour a eu lieu le dimanche 22 mars de démontrer sa flagrante inculture économique[1]. Le problème n’est pas l’ignorance sur ce point de Madame Méadel. On a tous des choses que l’on ignore. Le problème est qu’elle est secrétaire nationale d’un parti aujourd’hui au pouvoir. Alors, même si les temps ne sont plus ceux où l’on pouvait s’attendre d’un Secrétaire National qu’il soit qualifié de Coryphée des Sciences, ou la personne ayant cette responsabilité se sentait tenue de montrer qu’elle maîtrisait à peu près les diverses sciences humaines à coup de livres ou d’articles de revue, le degré d’inculture dont Mme Méadel fait preuve est attristant et inquiétant.

La sortie de l’Euro ou comment jouer sur les peurs. La question, bien évidemment porte sur les conséquences d’une sortie de l’Euro. Mais, en réalité, Mme Méadel n’est certainement pas ignorante. Jacques Sapir More Posts. La Tribune - Edition Quotidienne du 05-03-2015 - 38 % des investisseurs pensent que la zone euro ne passera pas l'année. Flushdoc. « Une baisse trop rapide de l’euro ne serait pas une bonne chose » LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Claire Guélaud L’euro est passé, jeudi 5 mars, sous 1,10 dollar, pour la première fois depuis septembre 2003. Pour Patrick Artus, économiste en chef de Natixis, cette dépréciation est une bonne nouvelle pour l’industrie française.

A une condition toutefois : que cette baisse ne soit pas trop rapide. Lire aussi : L’euro au plus bas depuis 2003 face au dollar La baisse de l’euro face au dollar est-elle une bonne nouvelle pour la France ? L’effet net de la dépréciation de l’euro sera positif pour l’économie française, car, compte tenu du niveau de gamme de nos produits, nos exportations sont sensibles à la variation des prix. Néanmoins, il ne faut pas surestimer l’importance du gain lié à la baisse de l’euro. A qui profite l’euro faible ? La dépréciation de l’euro entraîne des transferts massifs. Compte tenu de l’état de l’économie française et de ses fragilités, c’est plutôt une bonne chose de soutenir l’industrie.

Jusqu’où l’euro peut-il baisser ? Les conséquences d’une sortie de l’Euro. Une chaîne publique, France 4 pour la nommer, a décidé de diffuser une série dite « interactive » qui est en réalité une forme particulièrement outrancière de propagande en faveur de l’Euro. Cette série, ANARCHY est supposée connaître 8 épisodes. Elle commence par une description apocalyptique d’une sortie de l’Euro. Il est toujours possible d’aimer se faire peur et d’inventer des terreurs imaginaires. Mais, sur un sujet de l’importance d’une possible sortie de l’Euro, il faut avant toute chose raison garder. Sortie de l’Euro et dépréciation monétaire Il faut ici faire la différence entre une sortie de l’Euro et la dépréciation de la monnaie après cette sortie de l’Euro.

Pour ce qui est des conséquences économiques, une dépréciation de la monnaie enchérit le prix des importations provenant des pays par rapport auxquels on a déprécié, et baisse le prix des exportations vers ces mêmes pays. Tableau 1 Les conséquences économiques Regardons d’abord les conséquences économiques. Tableau 2. Sortir de l’euro ?, par Frédéric Lordon. Beaucoup, notamment à gauche, continuent de croire qu’on va changer l’euro. Qu’on va passer de l’euro austéritaire présent à un euro enfin rénové, progressiste et social.

Cela n’arrivera pas. Il suffirait d’évoquer l’absence de tout levier politique en l’état d’incrustation institutionnelle de l’actuelle union monétaire européenne pour s’en faire une première idée. Mais cette impossibilité tient surtout à un argument beaucoup plus fort, qui s’exprime à la manière d’un syllogisme. Majeure : l’euro actuel procède d’une construction qui a eu pour effet, et même pour intention, de donner toute satisfaction aux marchés de capitaux et d’organiser leur emprise sur les politiques économiques européennes (1). La gauche-qui-continue-d’y-croire n’a donc le choix qu’entre l’impuissance indéfinie… ou bien l’advenue de cela même qu’elle prétend vouloir éviter (le retour aux monnaies nationales), sitôt que son projet de transformation de l’euro commencerait à être pris au sérieux !

Le débat Jacques Sapir / Jean-Luc Mélenchon sur Arrêt sur images (4/7/2013) Debat-euro par asi Un débat important, et je l’espère intéressant, qui montre les points d’accords mais aussi les points de divergences. Suite à ce débat, une note a été publiée sur ce carnet : Dépréciation ou dissolution de l’euro ? Je signale à tous le commentaire écrit par Bertrand Renouvin sur son Blog (chronique n°81). Jacques Sapir Ses travaux de chercheur se sont orientés dans trois dimensions, l’étude de l’économie russe et de la transition, l’analyse des crises financières et des recherches théoriques sur les institutions économiques et les interactions entre les comportements individuels. Il a poursuivi ses recherches à partir de 2000 sur les interactions entre les régimes de change, la structuration des systèmes financiers et les instabilités macroéconomiques. Depuis 2007 il s'est impliqué dans l’analyse de la crise financière actuelle, et en particulier dans la crise de la zone Euro.

More Posts Follow Me: Posté dans : Thématiques, Euro, Médias, Vidéo. Les conséquences d’une sortie de l’Euro. Le Front national et la sortie de l'euro : des simplifications dangereuses. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par David Amiel et Paul-Adrien Hyppolite (élèves à l'Ecole normale supérieure) Si la France venait à sortir de la zone euro comme le propose le Front national, qu'adviendrait-il des des dettes libellées en euros ? L'enjeu est de taille. Car, si nous devions honorer au prix fort – c'est-à-dire en euros – les engagements contractés, nous ne disposerions plus pour le faire que de francs dévalués : notre solvabilité serait sévèrement mise en danger. Dans Le Monde daté du 18 août, un article intitulé « Les nouveaux arguments du Front national pour sortir de l'euro » citait ainsi M. L'existence du principe de lex monetae (« loi monétaire ») y était rappelé à raison.

Mais une première difficulté surgit, dans la mesure où l' « euro » n'est pas uniquement une devise française. Certes, si la France venait à abandonner la monnaie unique, le Parlement voterait des dispositions assurant la conversion des titres aujourd'hui libellés en euros en francs. Les Echos.fr - Actualité à la Une. L'Epargne et la sortie de l'euro: quand les européistes jouent sur les peurs - Site de altereconomie !

Un des arguments favoris des partisans de la monnaie unique consiste à déclarer sur un ton catastrophiste que le retour à la monnaie nationale suivie d’une dévaluation affecterait négativement et dans des proportions extraordinaires l’épargne et le patrimoine des français. De telle sorte, « le pouvoir d’achat de l’épargne » serait réduit par la dévaluation ( voir par exemple le débat Marine Le Pen / Eric Zemmour, ou encore Florian Philippot / Gérard Grunberg). Si cette tournure est économiquement absurde (l’épargne est précisément ce qui n’est pas consommé), elle est de surcroît inexacte. En effet, les valeurs domestiques (et donc l’épargne) ne sont pas affectées directement par le taux de change de la monnaie d’un pays. Seules les relations avec l’extérieur (ce qui rentre et qui sort) sont concernées.

L'exemple français Le taux de change effectif de la France a par exemple beaucoup varié au cours du temps. L'exemple étranger L'effet indirect de la hausse de l'inflation. Sans titre. Zone euro: qui a le plus à perdre d'une sortie de la Grèce? Dans le bras de fer (à distance et via l'Eurogroupe et la BCE) qui se joue, ces jours-ci, entre la Grèce et l'Allemagne, la clé qui décidera in fine de tout, sera la peur du Grexit, la sortie de la Grèce de la zone euro. Sur le papier, personne ne veut de ce scénario, mais dans les faits, tout le monde joue avec la peur de l'autre. Le 4 février, en mettant le système bancaire grec sous perfusion quasi-exclusive de l'aide à la liquidité d'urgence (ELA), la BCE a envoyé ce message aux négociateurs que le Grexit n'était pas qu'une hypothèse d'école. Dans les couloirs du Bundestag, la question est désormais évoquée ouvertement par certains députés conservateurs.

Et le ministre de la Défense grec, Panos Kammenos, le chef du parti des Grecs Indépendants (ANEL), l'allié de Syriza au gouvernement, a parlé hier d'un "plan B" si les Européens se montraient trop intransigeants. Bref, chacun joue avec les nerfs des autres. Qui peut provoquer le Grexit ? La zone euro mieux préparée ? Jouer la montre. Grèce : le coup de force de la BCE. La BCE met la pression sur la Grèce. Ce mercredi soir, l'institution de Francfort a levé l'éligibilité des obligations d'Etat grecques comme collatéraux pour les opérations normales de refinancement dans la zone euro. Ceci signifie que, pour venir retirer des liquidités auprès de la BCE, les banques ne pourront plus donner comme garanties les titres grecs.

Exception levée Cette décision lève en fait une exception qui avait été accordée à la Grèce sous la condition qu'elle suive le programme de la troïka. Normalement, la BCE n'accepte que les obligations d'Etat notées dans la catégorie "d'investissement" par les agences, ce qui n'est pas le cas des titres helléniques. Athènes ayant refusé de collaborer avec la troïka, la BCE, considérant de son propre chef qu'il n'y a pas de perspectives que le programme soit poursuivi, suspend l'exception.

Le dernier fil entre la Grèce et la zone euro : l'ELA Pour le moment, la BCE ne « coupe » pas le robinet à la Grèce. Coup de tonnerre. Le bras de fer entre Athènes et Berlin s'engage. Le jeu d'échec se poursuit. Alors qu'Alexis Tsipras, le nouveau premier ministre grec, et son ministre des Finances Yanis Varoufakis font la tournée des capitales européennes pour présenter leur plan de restructuration de la dette, l'Allemagne contre-attaque. Reuters dévoile ce mercredi 4 janvier, en effet, un document qui devrait être présenté ce jeudi à des officiels des ministères des finances européens lors d'une réunion destinée à définir quelles réponses devraient être apportées aux demandes helléniques. Berlin inflexible Dans ce document, la position allemande est très ferme : on demande au gouvernement grec de renoncer à toutes ces promesses et de revenir aux demandes de la troïka.

C'est une réponse très dure aux propositions helléniques. Mais c'est aussi un jeu stratégique classique : face aux pressions exercées d'emblée par Athènes, Berlin répond par une défense de fer et une fin de non-recevoir. La Grèce maintient la hausse des retraites et du salaire minimum Bras de fer. Dossier : "Pour une nouvelle Europe monétaire" - Economie, Finance, Banque. Auteur : Gérard MAAREK Ce dossier comporte plusieurs articles ou notes de travail, visant à proposer une réforme de la Monnaie Unique. L'euro, dans sa forme actuelle, fait courir un risque existentiel à l'Union Européenne elle-même. Il impose aux pays participants des politiques d'austérité, totalement contre-indiquées dans une phase de récession. Faute de pouvoir compenser par un mouvement du taux de change la perte de compétitivité qu'ils ont subie depuis une décennie, les pays du Sud se sont lancés dans une politique de déflation budgétaire et salariale, socialement insupportable et économiquement vouée à l'échec.

Il est donc urgent de rendre un peu de souplesse au système. Je propose de restaurer les monnaies nationales, qui resteraient toutefois liées entre elles et à l'euro, maintenu comme monnaie de règlement internationale. L'euro est-il une monnaie commune ou une monnaie unique ? La plupart des Français pensent que l’euro est une monnaie unique. Or, ce n’est pas le cas, nous allons le voir ci-dessous. Il n’y a pas qu’en France que l’opinion générale se trompe sur ce sujet ; quel que soit le pays, pratiquement tout le monde – y compris les dirigeants politiques et économiques – est convaincu que l’euro est une monnaie unique.

Pourquoi n’est-ce pas exact ? Les lettres figurant sur chacun des billets en euro témoignent du lieu de fabrication, c’est-à-dire du pays d’origine. Elles ne correspondent pas à des créances sur chacun des pays en question, cela tendrait à accréditer l’idée « euro = monnaie unique ». Les billets en euro – pris dans leur globalité – sont des créances sur chacune des banques faisant partie de l’Eurosystème et cela au prorata de leur part dans celui-ci. Le système européen force toute banque centrale nationale (BCN) à accepter tout billet comme si c’était « les siens ». Les documents précis sur ces questions sont très difficiles à trouver. L'Allemagne entre deux maux. On commence seulement aujourd’hui à bien mesurer ce que la victoire de SYRIZA peut signifier pour le zone Euro. En réalité, cette victoire met l’Allemagne au pied du mur et fait éclater son double langage quant à la zone Euro.

Privée de marges de manœuvres néanmoins, l’Allemagne peut réagir violemment et provoquer, indirectement, la dissolution de la zone, même si elle en est la principale bénéficiaire aujourd’hui. Pour comprendre cela, il faut rappeler ici quelques points. La victoire de Syriza La victoire, véritablement historique, de SYRIZA en Grèce a propulsé son chef, le charismatique Alexis Tsipras sous le feu des projecteurs.

Au-delà du symbole, il y a des actes. Le dilemme allemand Il faut alors chercher à comprendre la position de l’Allemagne. L’Allemagne ne veut pas que la zone Euro se transforme en une “union de transferts”. Une anticipation par le BCE ? Il faut alors revenir sur la conférence de Mario Draghi du jeudi 22 janvier. Jacques Sapir More Posts Follow Me: Quand la BCE acceptait une restructuration de la dette irlandaise. Depuis une semaine, la BCE ne cesse de répéter que le nouveau gouvernement grec ne doit pas compter avec une restructuration de la dette hellénique détenue dans son bilan.

La charge est notamment donnée dans chacune de ses interviews par le membre français du directoire de la banque centrale, Benoît Cœuré. Athènes doit 6,7 milliards d'euros à la BCE cet été La BCE a acheté beaucoup de titres grecs en 2010 et 2011, lors du programme appelé « Securities Markets Program » et qui était destiné, alors, à réduire la hausse des taux. En tout, 7 % de la dette publique grecque est détenue par la BCE, soit une vingtaine de milliards d'euros.

Demande de restructuration Le nouveau ministre des Finances helléniques, Yanis Varoufakis, a, avant sa nomination, refusé ce paiement. La crise irlandaise En novembre 2010, l'Irlande est en pleine tourmente. Le choix de Dublin Le système de la promissory note La BCE fait la sourde oreille Le coup de force irlandais Le succès irlandais Les « spécificités » irlandaises.

Les secteurs gagnants de la baisse de l'euro. Flushdoc.aspx. BCE : un assouplissement quantitatif, faute de mieux. Une fois passés l'enthousiasme et la confusion entre les montants (50 milliards de rachats mensuels de titres souverains, soit un total de 60 milliards compte tenu des opérations déjà annoncés), il convient de remettre en perspective la décision de la BCE de ce 22 janvier de lancer un programme ambitieux d'assouplissement quantitatif (QE). Un bel exercice de communication L'annonce de ce jeudi est un chef d'œuvre de marketing. Mario Draghi devrait absolument ne pas décevoir des marchés qui avaient beaucoup misé sur un QE d'au moins 1.000 milliards d'euros. En insistant sur le chiffre de 60 milliard d'euros mensuels, Mario Draghi a clairement donné l'impression d'un montant « gonflé » par rapport aux informations parues mercredi dans la presse anglo-saxonne de 50 milliards d'euros mensuels. En réalité, le chiffre était bien le même puisque les 60 milliards d'euros incluent les 10 milliards d'euros de rachats de crédits titrisés (ABS) et d'obligations sécurisées déjà annoncées.

Le QE de la BCE. « La baisse de l’euro, c’est surtout une hausse du dollar » La BCE va-t-elle fragmenter la zone euro ? L'Allemagne retire son rating AAA à l'euro. La baisse de l'euro va stimuler la croissance : vrai ou faux. Sortie de l'euro : Bernard Maris vire sa cuti (1) L'euro au plus bas depuis presque 10 ans. La Grèce pourrait être contrainte de sortir de la zone euro. Trichet : "nous avons un problème grec qui est grave" Les 3 facteurs qui expliquent la baisse de l’euro. BCE : pourquoi le programme de Jackson Hole a fait "pschitt" Quand la BCE dictait à l'Espagne sa politique économique... Irlande : la commission d'enquête sur la crise bancaire commence ses auditions, la BCE continue à se taire.

Chute du baril : le contre-choc providentiel. La sortie de l'euro soutenue par deux Nobels, mais ignorée des médias. Twitter. Paywall mobile. Xerfi Canal économie, la chaîne de la réflexion économique. Baisse de l'euro face au dollar : les leçons de l'histoire. Aloïs on Twitter: "Christian Saint-Étienne.: En cas de crise absolue: "Si on doit choisir entre l'€ qui a 15 ans et la France qui a 1.500 ans, ce sera vite vu"" L'euro au plus bas depuis deux ans. La guerre des monnaies ?

Proposition pour changer l'euro dans le cadre des traités existants. Un euro pour un dollar : pourquoi c'est possible. La sortie de l’euro, c’est possible, et pas difficile… Le démontage de l’euro : possible, inévitable et souhaitable. Comment sortir d’une monnaie unique ? Le Monde contre le FN sur l’euro : zéro partout ! Déconnants décodeurs. Checking Out: Exits from Currency Unions by Andrew K. Rose. La rodomontade opportuniste de Manuel Valls sur l'euro. Flushdoc.aspx. Manifeste pour une union politique de l'euro. Pourquoi les Eurosceptiques allemands ont le vent en poupe. Allemagne : les anti-euro s'ancrent un peu plus dans le paysage politique. Non, la dissolution de l'euro n’entraînerait pas un cataclysme financier. La sortie de l’euro, c’est possible, et pas difficile… La dévaluation de l'euro rend le "made in France" plus attractif. BCE : Draghi donne le feu vert au rachat de nouveaux actifs - Les Echos.

Le Monde se trompe, comme toujours: la sortie de l’euro et la dette privée | Altereconomie. Nordvig - rethinking european monetary union.pdf. Aloïs sur Twitter : Contrairement à ce que racontent ces apprentis, la part des dettes privées en droit français est de 61%... Flushdoc.aspx. Petit exercice de fiction : si on sort de l'euro, la dette publique augmentera-t-elle ? Réponse aux « Décodeurs » du Monde. Alois_Nav : Les eurogagas libléraux nous ... Les nouveaux arguments du FN pour sortir de l'euro. En entrant dans l'euro, la Lituanie va bouleverser le fonctionnement de la BCE. La fin de l'Autriche-Hongrie (2/8) : pourquoi l’union n’a pas survécu. La fin de l'Autriche-Hongrie (1/8) : une union monétaire à succès. Dette Bleue et Dettes Rouges pour sauver l’euro.

Why Germany must exit the euro. Horizons.typepad.fr/files/sil-faut-vraiment-sortir-de-leuro-1.pdf. Fiche N° 13 : Une monnaie commune, comment ça marche ? La faillite de l’euro (3/4) : l’impasse fédérale. La faillite de l’euro (4/4) : la solution des monnaies nationales. La faillite de l'euro 3/4. La faillite de l’euro (2/4) : pourquoi ? La faillite de l’euro (1/4) Horizons.typepad.fr/files/leurope-dans-limpasse-1.pdf. Approches théorique et pratique d'une monnaie commune | Fondation Res Publica | Think tank. L'euro monnaie unique peut-il survivre? | Fondation Res Publica | Think tank. Les scenarii de dissolution de l'euro. Cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=69342. Horizons.typepad.fr/files/sil-faut-vraiment-sortir-de-leuro-1.pdf. SAVING A BROKEN EURO | Queries.

Modeste proposition pour résoudre la crise de la zone euro – The Modest Proposal 4.0, published by Les Petit Matins, with a foreword by Michel Rocard. Pourquoi le succès du placement chypriote est inquiétant. Le Kosovo veut abandonner... l'euro. Raymond Aron explique la crise de l’euro. Cessons de faire de la BCE un bouc émissaire, Analyses. Philippe Villin: "j'ai toujours pensé que l'Euro allait être un désastre" Philippe Villin: "François Hollande a surtout fait une opération de maraboutage du patronat" Comment les juges de Karlsruhe ont tué l’OMT de la BCE. Le graphique de la semaine : « Comment l’Euro a désindustrialiser la France, l’Espagne, l’Italie » en un graphe. Olivier Passet, Xerfi - Pourquoi faire baisser l’euro.

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