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Archives, traitement archivistique

Why don’t archivists digitize everything? | Archives @ PAMA. Today on the blog we’re tackling one of our most frequently asked questions: “Why don’t you digitize everything?” And its related runner-up, “When will you be putting all your records on the web?” As archivists we like these questions because they tell us that people are eager for access to archival records. They also show that people realize that not everything is digitized. Indeed only a tiny fraction of the world’s primary resources are available digitally. This doesn’t mean that undigitized records are inaccessible or not worth consulting, but you will need to visit us archivists to use them.

In fact, archivists and librarians themselves are behind the abundance of primary sources already available on the internet. In this post we’ll share some of the behind-the-scenes realities of digitizing and uploading rare materials. We also hope that people who are informed about digitization will advocate for archives in the opportunities and challenges they face. But first, a basic question.

Archivage électronique : de l’original à la copie fiable. Le numérique est entré dans le Code Napoléon en même temps que le nouveau millénaire avec la reconnaissance légale de l’écrit et de la preuve électronique par une loi du 13 mars 2000. En 2016, une réforme globale du droit de la preuve a été l’occasion d’introduire dans le Code civil les dernières évolutions des règles technico-juridiques relatives à l’égalité entre l’écrit papier et l’écrit électronique.

Ainsi, le nouvel article 1379 du Code civil affirme qu’une copie électronique « fiable » a la même force probante que l'original. Est présumée fiable jusqu'à preuve du contraire toute copie résultant d'une reproduction à l'identique de la forme et du contenu de l'acte d’origine, et dont l'intégrité est garantie dans le temps par un procédé conforme à des conditions fixées par décret. Ce décret 2016-1673 du 5 décembre 2016 prévoit deux procédés permettant de présumer la fiabilité d’une copie électronique, c'est-à-dire sa fidélité à l'original et son incorruptibilité. 1. Archiviste d’aujourd’hui : analyse critique. Par Jonathan David Ce 1er mai, l’Association des archivistes du Québec publiera la seconde édition du guide Archiviste d’aujourd’hui. Tout comme son précédent, il a pour mandat d’accompagner l’archiviste dans sa gestion de carrière. Oui, une carrière ne se constitue pas d’elle-même! Se gérer soi-même comme une entreprise autonome, voilà un sage conseil qui permet de reprendre le contrôle de nos pensées et actions au quotidien.

Archiviste d’aujourd’hui vient donc à votre rescousse pour vous offrir une mise à jour, que vous soyez un nouveau guerrier ou un vieux vétéran! Car il n’est jamais trop tard pour « apprendre à apprendre » (p.121). Ce livrel est ainsi une ambitieuse tentative pour dresser « le profil de compétences exigées chez les membres de notre profession (p.2) ». Le facteur humain. Dans le cadre de son travail, l’archiviste ne gère pas que des documents; il gère des relations et des conflits. L’archiviste comme communicateur L’archiviste doit être visible. La gestion du changement. Un plan de classement pour quoi faire ? | TRANSARCHIVISTIQUE. Des lois pour se passer enfin du papier. Les cadres légaux se multiplient en Europe autour de la dématérialisation et des procédés électroniques. Après le règlement eiDAS en juillet 2016 autour de l’horodatage, des cachets et de la signature électroniques, un cadre légal entoure désormais la copie numérique en France.

Jusqu’à présent, seules des normes fixaient les règles du jeu. Aujourd’hui, législation et normes se complètent pour accélérer les projets de dématérialisation dans tous les secteurs d’activité et développer le marché de l’archivage électronique. Le Luxembourg réforme son régime juridique La France n’a finalement fait que suivre l’exemple du Luxembourg où depuis plus de dix ans le gouvernement souhaite développer des activités autour de la digitalisation et des datacenter et n’a pas hésité à réformer le régime juridique de l’archivage. Quand le document électronique a la même valeur que le document physique La pièce manquante pour supprimer le papier Un cadre de confiance pour se développer à l’étranger Yes, we can !

Le guide « Valorisation numérique des patrimoines » - Cultureveille. Qui sont les publics des archives ? Ils sont étudiants, chercheurs, généalogistes, visiteurs des Journées du patrimoine... et avant tout curieux. Une étude du service interministériel des archives de France dresse des portraits surprenants des différents publics des archives départementales. Le service interministériel des archives de France publie une étude originale intitulée "Qui sont les publics des archives ? " et sous-titrée "Enquêtes sur les lecteurs, les internautes et le public des activités culturelles dans les services publics d'archives (2013-2014)". L'étude remonte à 2015, mais ses enseignements restent bien évidemment valables. Des profils atypiques L'étude met en évidence "un profil sociodémographique atypique par rapport aux autres publics des patrimoines". Des publics très branchés En termes démographiques, les lecteurs et les internautes sont plutôt âgés (54 ans de moyenne d'âge pour les lecteurs et 60 ans pour les internautes), tandis que les visiteurs des JEP sont un peu plus jeunes (51 ans).

Qu'est-ce qu'un inventaire d'archives ? | PIAF - Portail International Archivistique Francophone. L'appellation « inventaire d'archives » est généralement utilisée pour désigner en réalité un « instrument de recherche ». Cet outil permet de décrire les archives afin de les communiquer au public et ainsi permettre aux chercheurs de trouver les documents dont il a besoin. Concrètement, les archives sont regroupées par fonds, correspondant à l’ensemble des documents provenant du même producteur : - un même service administratif, - une même entreprise, association, famille, personne… Ainsi toutes les archives provenant de l’entreprise Manufrance sont rassemblées dans un même fonds : le fonds Manufrance.

L’instrument de recherche va donner des informations sur l’ensemble des documents d’un même fonds : - qui est son producteur, - quelle est son histoire, - les dates des documents, - la quantité des archives, - comment celles-ci ont été classées … Ainsi l’instrument de recherche concernant Manufrance contient un historique de cette société. Source. MCC RapportComite vf. Rétrospective 2016 : actualités et innovations de l’archive. Par Jonathan David 2016 tire à sa fin et l’heure est au bilan. Convergence vous offre cette année une série de deux rétrospectives, chacune proposant une liste des publications, évènements ou moments marquants de l’actualité qui concernent la profession d’archiviste. Cette semaine, quelques évènements marquants de 2016. En tant que document organique, les archives sont des documents ou des objets qui témoignent des activités qui les ont produites, mais également du mandat pour les préserver et des conditions de leur conservation.

C’est pourquoi elles sont intrinsèquement reliées à l’histoire d’une organisation, d’un individu ou d’une collectivité. Leur utilité et leur longévité sont de ce fait relié d’une manière ou d’un autre à l’actualité, à l’évolution technologique, aux conflits géopolitiques, aux désastres naturels. Outre les faits d’actualité, vous retrouverez également ici des liens vers différentes ressources : actes de congrès, diffusion en ligne, téléchargements, etc. Actualités archivistiques du Web – février 2017  |  Interactions  |  BAnQ. La Society of American Archivist propose une version préliminaire d’un guide pour permettre de standardiser le décompte des fonds et collections d’archives, de même que l’espace utiliser par ceux-ci.

Le document propose des solutions tant pour les unités intellectuelles que l’espace physique utilisé en entrepôt ou sur des serveurs. Le document est actuellement soumis pour commentaires à la communauté archivistique des États-Unis. L’Université de Stanford a un projet pilote pour que les étudiants utilisent plus tôt dans leur cursus les documents d’archives.

L’Université a publié le 6 janvier dernier un article présentant brièvement ce projet, fruit du partenariat entre quelques professeurs et les Archives de l’Université. Le blogue Townswebarchiving présente un guide pour s’y retrouver dans les différentes directives pour les projets de numérisation. Le texte est en anglais. La Australian Society of Archivists a lancé un cours d’archivistique en ligne. La mise en valeur d’archives historiques sur le Web. Par René St-Pierre, archiviste de la Fondation Armand-Vaillancourt* Les archives historiques nous aident à comprendre le monde dans lequel nous vivons. Outre leur fonction première de préservation, elles permettent de témoigner, de commémorer et d’illustrer les traces de l’action humaine. Souvent encore gardées dans des lieux où température et humidité non contrôlées en menacent la pérennité, les archives historiques font depuis plus d’une vingtaine d’années l’objet d’importants projets de numérisation.

Elles sont progressivement rendues accessibles sur Internet, notamment à travers des répertoires de descriptions, des expositions virtuelles* ou encore des dépôts numériques de documents textuels, iconographiques et audiovisuels. La diffusion de documents d’archives s’étant largement démocratisée, elle atteint maintenant un vaste public qui dépasse le cercle jadis restreint des passionnées d’histoire et de généalogie. Contexte et usages d’archives historiques sur le Web Conclusion. Qu’est-ce qu’un document d’archives ? | TRANSARCHIVISTIQUE.

Récemment, dans un réseau social, réagissant à un post de Benjamin Suc sur les fonds d’archives audiovisuelles, une jeune juriste exprimait sa gêne face à l’expression « document d’archives » dans la discipline archivistique, et son choix de ne pas l’utiliser. Ceci est assez surprenant. Il est vrai que, avec la dérégulation de la terminologie archivistique ces dernières années, on peut comprendre que certaines personnes soient déroutées. Une bonne occasion, finalement, de revenir sur cette expression et son sens. Le Dictionnaire des archives, français-anglais-allemand : de l’archivage aux systèmes d’information, publié en 1991 par l’AFNOR et l’École nationale des chartes, donne pour « document d’archives » la définition suivante : « Écrit ou enregistrement qui par lui-même ou par son support a une valeur probatoire ou informative. Singulier du mot archives ». Revenons à chacun des deux termes de l’expression : document et archives. Le document Les archives.